Ordoño Ier d'Oviedo

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Ordoño.
Statue d’Ordoño Ier à Madrid.
Statue d’Ordoño Ier à Madrid.

Ordoño Ier d'Oviedo (arabe : أردون بن إذفنش) est né en 821 à Oviedo et mort à Oviedo le 27 mai 866.

Ordoño Ier est roi des Asturies de 850 à 866. Il succède à son père Ramire Ier d'Oviedo. Il réduit la révolte du renégat Musa (vers 859-860) et continue la Reconquista. Son fils Alphonse III lui succède au trône.

Sommaire

[modifier] Sa famille

Ordoño Ier est le fils de Ramire Ier d'Oviedo et peut-être d’Urraca. Mais il est élevé en partie par la seconde épouse de son père, Paterna de Castille. Il est le demi-frère de Rodrigo, qu’il va faire premier comte de Castille.

[modifier] Biographie

[modifier] Sa jeunesse

Ordoño Ier d'Oviedo passe les premières années de sa vie à Oviedo, à la cour de Alphonse II des Asturies (760-842), dit le Chaste, roi des Asturies de 791 à 842. Il est probablement associé au trône dès sa jeunesse. À l'âge de neuf ans, il s’installe en Galice avec sa famille, où son père avait été nommé gouverneur. Il complète son éducation à Lugo, et y initie sa formation militaire.

Ordoño Ier est nommé gouverneur provisoire de la Galice. En 842, son père, Ramire Ier d'Oviedo, va en Castille, dans la famille de sa seconde épouse, Paterna de Castille. Pendant ce voyage, Alphonse II des Asturies décède. Népotien, un grand seigneur, marié à la sœur d’Alphonse II des Asturies et disposant de nombreux appuis, se fait élire roi des Asturies, en profitant de l'absence de Ramire.

Ordoño prépare les armées pour combattre l’usurpateur, mais il est reste en Galice comme gouverneur, pour éviter une propagation de la rébellion. Après la victoire de Ramire Ier d'Oviedo, il reste gouverneur.

Il succède à son père à son décès, arrivé le 1er février 850. Ainsi il s'est transformé le premier roi des Asturies qui accède au trône par héritage, et non pas élu par la noblesse..

[modifier] La guerre

[modifier] Guerres contre les Banu Qasi et les Basques

Al-Andalus n’est pas qu’un seul émirat. Si  Muhammed régne au sud ; Muza, un Banu Qasi, possède la partie centrale, qui comprend les provinces actuelles de la Nouvelle-Castille, de l'Aragon et de la Navarre.
Al-Andalus n’est pas qu’un seul émirat. Si Muhammed régne au sud ; Muza, un Banu Qasi, possède la partie centrale, qui comprend les provinces actuelles de la Nouvelle-Castille, de l'Aragon et de la Navarre.

Ordoño Ier d'Oviedo hérite d’une partie du nord de l’Espagne, qui comprend la Galice, les Asturies, la Biscaye et la Ribera del Duero. Celle-ci compte quelques villes : Tuda, León, Astorga et Amaya, où il fait construire ou rétablir des fortifications.

Le nouveau roi Ordoño délègue le gouvernement de ses territoires frontaliers à des membres de sa famille proche. Ceux-ci ont une grande liberté d'action en échange de leur fidélité : son frère Gatón devient comte du Bierzo et son demi-frère Rodrigo, comte de Castille. Au départ, Rodrigo n’est qu'une sorte de gouverneur des possessions asturiennes sur la rive droite de l'Èbre qui atteignent l’ancien limes. Formant une région difficile à défendre, elle est défendue par des châteaux, des castillos, ce qui lui vaut d’être appelée Castille vers l'an 800[1].

L'arrivée d'Ordoño Ier d'Oviedo en 850 au trône coïncide avec une nouvelle rébellion du chef des Banu Qasi, Musa II, qui contrôle la vallée de l'Èbre, entre La Rioja et Saragosse. Musa II, est allié avec son demi-frère Íñigo I Arista, roi de Pampelune et il cherche à créer un royaume musulman indépendant de Cordoue. En 852 les troupes asturiennes et gasconnes font face aux Basques et aux troupes de Banu Qasi dans la première bataille d’Albelda. Les musulmans et leurs alliés gagnent la bataille. Musa II contrôle presque la totalité de La Rioja.

[modifier] Guerres contre Muhammad Ier

La forteresse de Calatrava.
La forteresse de Calatrava.

Pendant ce temps Abd al-Rahman II meurt en 852 et son fils Muhammad Ier est nommé émir. Dans un premier temps, son règne est tranquille mais après avoir nommé vizir Hashim ben 'Abd al-Aziz, le mécontentement s’étend des mozarabes aux muladíes. Et c’est Tolède qui va devenir le centre de la résistance au pouvoir de l'émir. Les mozarabes, dirigés par Eugenio, contestent le gouverneur musulman et conquièrent la forteresse de Calatrava, en demandant aide militaire à Ordoño. Celui-ci envoie au comte Gatón du Bierzo, qui met en échec les partisans de l’émir en Andújar en 853, bien qu’en 854 les troupes asturiennes sont battues lors de la bataille de Guadalacete, au sud-ouest de Tolède. Toutefois, le soulèvement se reproduit en 858. Par la suite les soulèvements se multiplieront dans Al-Andalus.

[modifier] Nouvelles guerres contre les Banu Qasi et les Basques

Miniature de la Reconquista.
Miniature de la Reconquista.

En continuelle rébellion contre Cordoue, Musà ben Musà essaye de s’emparer de la vallée de l'Ebre et de La Rioja. En 855, il effectue une razzia contre Alava et Al-Qilá et après il restaure et fortifie la forteresse d'Albelda de Iregua, dans La Rioja. En voyant la menace que cette forteresse suppose sur les dominions orientaux du royaume asturien, Ordoño Ier lancent une offensive contre Albelda de Iregua.

En 857, il repousse les troupes envoyées par le gouverneur de Tolède Lupus, il s'avance hardiment avec une nombreuse armée sur Logroño, et se prépare aussitôt à mettre le siège devant Albayda. A cette nouvelle, Muza et son gendre Garcias accourent avec une armée considérable pour délivrer la forteresse. Mais Ordoño ne lève point le siège. Il divise son armée : il en laisse une partie pour continuer le blocus de la ville; avec l'autre, il marche au-devant de Muza, qui est campé dans le voisinage, sur la montagne de Laturzo. Dans la bataille sur les bords de l'Ebre. qui s'ensuit, les troupes d'Ordoño Ier d'Oviedo, malgré leur petit nombre, se montrent si supérieur en valeur à celles de Muza , que la victoire ne reste pas longtemps douteuse. Dix mille musulmans et une foule de chrétiens, entre autres Garcia, gendre de Muza, restent sur le champ de bataille. Muza lui- même est grièvement blessé, et ne parvient à se sauver qu'à l'aide d'un ami qu'il a dans l'armée ennemie, et qui lui donne un cheval. Mais il est probable qu'il meurt de ses blessures peu de temps après, puisqu'il n'est plus question de lui dans l'histoire[2]. Toutefois, selon d’autres sources : Muhammad Ier contre son général, lui ôte le gouvernement de Saragosse, et à son fils Lobia celui de Tolède. Les deux walis déposés, comptant sur l'affection des populations qu'ils gouvernaient, nouèrent des intelligences avec les chrétiens de Galice et secouèrent ouvertement le joug de l'Emir[3]. Ce qui n’est qu’en partie exact, comme nous allons le voir.

Tout le camp, où se trouvent réunies de grandes richesses, entre autres le tribut donné par Charles II le Chauve, tombe au pouvoir d' Ordoño Ier. Maître alors de disposer de toutes ses forces, il retourne devant Almayda, et emporte la ville d'assaut après sept jours de siège. Tous les hommes en état de porter les armes qui s'y trouvent sont passés au fil de l'épée, et la forteresse elle-même est rasée. Les enfants, les femmes et le butin sont emmenés comme trophées. Cette bataille sera à l’origine la légende de aire bataille de Clavijo, écrite au XIIe siècle.

[modifier] Changements d’alliances

En 859, les vikings arrivent à Pampelune et kidnappent le nouveau roi García I Iñíguez de Pampelune. Après avoir payé une rançon importante le roi retourne à Pampelune, mais à partir de cela la vieille alliance entre les Basques et les Banu Qasi est rompue et García I Iñíguez de Pampelune devient l’allié du royaume des Asturies. D’ailleurs si Musà II continue à combattre les Navarrais et les armées de l’émirat de Cordoue jusqu'à son décès en 862, son fils, Lope ben Musà, gouverneur de Tolède, rend hommage au roi Ordoño Ier des Asturies.

[modifier] La fin de son règne

La Reconquista par les ordres militaires.
La Reconquista par les ordres militaires.

La situation alors, surtout si l’on tient compte de la faiblesse relative de l’émirat de Cordoue est propice pour promouvoir l'expansion du royaume asturien vers le sud. Le phénomène du repeuplement est soutenu et est favorisé par le roi, peut-être pour donner une solution aux problèmes liés à l'accueil d'importants groupes de mozarabes accueillis dans son royaume après les rébellions à Tolède et d'autres populations d’Al-Andalus. À la frontière de La Rioja, il conquiert diverses forteresses et villes : Haro, Cerezo de Riotirón, Castil de Carrias et Gruau. Et il bâtît de nouvelles forteresses : Frías, Lantarón... Mais le fait le plus marquant du règne est le repeuplement d'Amaya en 860, ce qui permet de créer un nouvelle ligne de forteresses à Urbel del Castillo, Castil de Peones, Moradillo de Sedano, Oca y Cerasio (Cerezo de Riotirón).

Pour renforcer cette nouvelle expansion, les Asturiens attaquent les positions de l’émirat de Cordoue. Ainsi, Ordoño pille Coria tandis que le comte Rodrigo de Castille passe le col de Somosierra et pille et rase la nouvelle forteresse de Talamanca du Jarama en 863, en faisant prisonniers le gouverneur Murzuk et sa femme Balkaria, qu’il remet en liberté peu de temps après.

Muhammad I, ayant reçu des renforts d'Afrique, n’hésite pas à contre-attaquer. La même année, son fils 'Abd al-Rahmán et le général Abd al-Malik ben Abbas entrent dans les comtés d’Alava et de Castille. Rodrigo de Castille essaye d’empêcher leur retrait dans le défilé de Pancorvo. Mais les Maures se rendent compte du danger et s’enfuient par la rivière Oja. Cette expédition est un échec cuisant pour les Castillans et les troupes du comté d’Alava. Les Arabes, s'il faut en croire leurs historiens, remportent une grande victoire, dévastent tout le pays depuis le Duero jusqu'à Pampelune, et ramènent à Cordoue quantité de captifs. Parmi ceux-ci se trouve un chef navarrais appelé Fortun, auquel le calife rend sa liberté, et qui vivra à Cordoue, riche et honoré, jusqu'à la plus extrême vieillesse.

Les Maures attaquent à nouveau en 865. Cette fois en concentrant leurs attaques surtout en Castille à la bataille de la Morcuera. Ibn Alanthir nous renvoie une nouvelle incursion dans le 866, et de nouveau le prince Abd al-Rahmán dirige l'armée contre Alava et la Castille, expédition dont il revient sans se hâter et sans regretter souffrir de lourdes pertes.

Les chrétiens prennent alors une sanglante revanche en s'avançant jusqu'aux portes de Lisbonne. Ils brûlent Cintra et saccagent les riches campagnes du Tage. Mohammed réunit aussitôt sa cavalerie, et désole la frontière de la Galice. Les chrétiens, frappés de terreur, se réfugient dans leurs nids d'aigles fortifiés sur les montagnes[4].

Le règne glorieux d'Ordoño est également signalé par une expédition navale, la première que les chrétiens des Asturies tenteront Une centaine de vaisseaux vont piller Lisbonne, puis Séville, Cadix, Algerisas, et disparaissent avec leur butin après avoir semé la terreur sur toute la côte d'Andalousie. Les Maures, ayant à leur tour envoyé une flotte en Galice, en 866, sont vaincus par le comte Petrus, qui commande celle des chrétiens. Mais, suivant Conde, la flotte arabe, avant de débarquer, n’est que dispersée par une tempête[5].

Après un règne de seize ans, mêlé de gloire et de revers, le vaillant roi Ordoño meurt de la goutte. La Chronica Albeldensia, écrite à Albelda vers 881 lui donne le beau nom de père du peuple, et vante sa douceur et sa piété autant que son courage. Malgré ses conquêtes, le royaume des Asturies conserve à peu près, de son vivant, les mêmes limites, sans s'étendre dans la plaine[6]. La Reconquista piétine.


[modifier] Sa femme et sa descendance

Statue d'Alphonse III des Asturies, son fils et son successeur.
Statue d'Alphonse III des Asturies, son fils et son successeur.

Ordoño Ier a pour femme, Doña Nuña, appelée par les anciens auteurs Munia Dona. Ceux-ci sont très peu bavards sur cette reine. Nous ne savons rien de sa famille, même si l’on peut penser qu’elle est peut-être une très jeune soeur d’Eneko Arista, premier roi des Vascons, de 824 à 851 ou plutôt sa fille. Il est né vers 790 et elle 820 ou 830, car elle se marie en 847 et a six enfants. Leur mère, soi-disant commune Leodegundia des Asturies, se remarie en secondes noces le Banu Qasi Musá ibn Fortún, qui est tué par un proche d'al-Husayn, vers 802. La plus grande incertitude règne donc sur ses origines. Par contre, ils existent des documents d’archives qui permettent de savoir qu’avec son mari, elle fait beaucoup pour les églises de Saint-Jacques-de-Compostelle, d’Oviedo, et le monastère de Samos en Galice, de 852 à 890. Doña Nuña a six enfants :

Les fils se révoltent contre leur frère aîné. Celui-ci les capture et leur fait arracher pour essayer de les empêcher de nuire. Mais Bermudo s’échappe d'Oviedo, aveugle non seulement dans son corps, mais tout autant au niveau de sa vision des choses, il fait la guerre comme auxiliaire des Maures. Mais, le roi les vainc et ce Bermudo finira misérablement sa vie chez les mahométans.


Urraca (?)
Galicienne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ramire Ier
roi d'Oviedo
(† 850)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Paterna de Castille
(† 848)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ordoño Ier
roi d'Oviedo
(† 866)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Rodrigo
cte Castille
(† 863)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Diego
"Porcellos"

cte Castille
(† 885)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Nuño Rasura
juge de Castille
(† 865)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Plusieurs
fils
 
 
 
Gutina
 
 
 
Fernando Nunez
Niger
 
 
 
Nuno Nunez
cte Castille
(† 915)
 
 
 
Ne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Gonzalo
cte Castille
(† 932)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Muniadomna
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ferdinand
cte Castille
(† 970)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
García Ier
cte Castille
(† 995)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Sanche Ier
cte Castille
(† 1017)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
García II
cte Castille
(† 1029)
 
 
 
Munia Mayor
ctesse Castille
 
 
 
Sanche III
roi Navarre
(† 1029)
 
 
 
Béatrice d'Aybar
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
García IV
roi Navarre
(† 1054)
 
 
 
Ferdinand Ier
roiCastille
(† 1065)
 
 
 
Ramire Ier
roi d'Aragon
(† 1063)


Précédé par Ordoño Ier d'Oviedo Suivi par
Ramire Ier
roi des Asturies 850 - 866
Alphonse III

[modifier] Notes et références

  1. Les noblesses espagnoles au moyen-âge, par Marie-Claude Gerbet, Armand Collin, p.14.
  2. Histoire d'Espagne et de Portugal, depuis les temps les plus reculés... .
  3. Histoire d'Espagne depuis les premiers temps historiques jusqu'à la mort de Ferdinand VII, Rosseeuw Saint-Hilaire, Eugène (1805-1889), p.341.
  4. Histoire d'Espagne depuis les premiers temps historiques jusqu'à la mort de Ferdinand VII, Rosseeuw Saint-Hilaire, Eugène (1805-1889), p.341.
  5. Histoire d'Espagne depuis les premiers temps historiques jusqu'à la mort de Ferdinand VII, Rosseeuw Saint-Hilaire, Eugène (1805-1889), p.341.
  6. Histoire d'Espagne depuis les premiers temps historiques jusqu'à la mort de Ferdinand VII, Rosseeuw Saint-Hilaire, Eugène (1805-1889), p.341.

Ce texte est en partie une traduction de différents articles sur lui et la Reconquista en castillan et en anglais.

  • Barrau-Dihigo, L. Recherches sur l'histoire politique du royaume Asturien (718-910). Revue Hispanique. 52: 1-360 (1921).
  • Pérez de Urbel, Justo. "Los Primeros Siglos de la Reconquista (Años 711-1038)" in España Christiana: Comienzo de la Reconquista (711-1038), vol. 6 of Historia de España [dirigida por Don Ramón Menéndez Pidal] (1964), 204-210.

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes