Discuter:La Joconde

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Sommaire

[modifier] 4000 écus

Je ne retrouve pas de trace des 4000 écus de François premier dans les sources que je consulte.(au contraire, on ne sait pas quand il a fait cet achat) Si personne ne fournit de références, je pense que je vais retirer l'information. Fabos 17 mai 2005 à 19:46 (CEST)

Vu la contradiction avec l'article sur en:, je retire l'info. ~~

[modifier] doute

Bonjour,

Visiblement le Da Vinci Code (que j'ai également lu) monte à la tête de beaucoup de contributeurs. Je pense qu'il ne faut pas confondre fiction et réalité.

J'ai mis en commentaire une contribution en fin d'article qui sera éventuellement à rédiger à nouveau en précisant que « le Da Vinci Code émet l'hypothèse que »...

Cela m'étonnerait que l'on ait gratté la peinture de la Joconde pour voir ce qui se cache dessous.

Je préfère que toute réponse soit apportée à ma page de discussion, mais je reviendrai ici quand même. Bonne journée

--Pabix 13 mar 2005 à 10:52 (CET)


Bonjour, pourriez-vous préciser pourquoi la Joconde s'appelle MonaLisa dans TOUS les pays du monde sauf la france? Prn

Je pense que la Joconde désigne le nom du tableau, alors que Mona Lisa est le nom de la personne représentée. Peut-être que ce nom de tabelau n'existe qu'en français ? Weft ¿! 15 avr 2005 à 21:29 (CEST)

[modifier] Sources ?

Entre le Da Vinci Code et l'engouement lancé par ce tableau, je sais pas trop où j'en suis. Quelqu'un a des sources pour cette histoire de procédé photographique ? Ca a l'air intéressant, mais je ne crois pas qu'on en parle dans la page photographie...



Je reste complétement perplexe devant cette envolée sur la photographie. Qu'est ce que ça fait dans un article sur la joconde ???? Fabos 3 mai 2005 à 13:14 (CEST)

Je retire le passage en attendant des sources sérieuses :
Peut être facilitée grâce à l'ancêtre de la photographie comme l'atteste la présence de chlorure d'argent, de "bitume" et d'autres composants photosensibles encore utilisés de nos jours par les photographes argentiques, procédé secret et jalousement gardé jusqu'à sa redécouverte le 28 mai 1816 par "Joseph" Nicéphore (porteur de victoire) Niépce (1765-1833) avant que son associé Louis Jacques Mandé Daguerre (1887-1851) ne s'en accapare la découverte juste après sa mort providentielle.


Passage sur le Da Vinci Code, peut-être à réintégrer :

Mais il y a encore un mystère au sujet de la Joconde les couches de peintures sous la couche final révèlent un médaillon d'Isis (Déesse de la fertilité Égyptienne) peut-être un rapport avec le Prieuré de Sion qui vouait un culte à la Déesse et à la femme. Il y a aussi l'anagramme (Da Vinci Code) MONA LISA -> AMON L'ISA (ISIS) : Amon le dieu de l'amour et Isis déesse de la fertilité.

[modifier] Leonard de Vinci et le Suaire de Turin

La chaîne Arte, à l'occasion de la diffusion d'un fantastique documentaire sur "Léonard de Vinci et le saint Suaire de Turin" a évoquée la manière par laquelle Léonard a utilisé les techniques transmises par les arabes sur l'utilisation de la Camera Obscura ou chambre noire, les lentilles optiques et les matériaux photosensibles. Ceci à fin de réaliser sur commande, un des plus beaux canular de l'histoire. Car n'en déplaise au cul-bénis, le grand Maître Florentin, était souvent travestit dans sa jeunesse, anarchiste avant l'heure, farouchement anticlérical et farceur en plus d'être universellement géniale et charmeur.

Leonard de Vinci et le Suaire de Turin Documentaire (Sciences et technique). 2001. Etats-Unis. Réalisateur Susan Gray. Durée : 55 min. Dernière diffusion: jeudi 14 avril. France 5. 00h50.

daniela 25 avr 2005 à 03:40 (CEST)

[modifier] Le modèle

Je retire cette affirmation évasive sans sources :
La dernière conjecture a été proposée par des savants allemands et russes et est basée sur un fact positive.
Fabos 9 septembre 2005 à 12:06 (CEST)

[modifier] Les interprétations de la Joconde

Je trouve cet article particulièrement bon (presque AdQ) mais je suis déçu qu'il n'y ai pas des images et des liens vers ses réinterprétations par les surréalistes. Nepomuk 30 octobre 2005 à 16:50 (CET)

elles exist mais ne sont pas libres. elles ont donc été supprimées. Fabos 30 octobre 2005 à 20:29 (CET)

Salut. Je suis zoubir zinai et ce soir je vais vous parler un peu du secret fameux de la mona lisa ou la joconde. Au fond elle est une femme cameleon. un miroir si vous voulez. si je vous dis qu'elle sourit vous allez la voir sourire. si je vous dis encore qu'elle vous meprise; vous allez la revoir meprisante, si je vous dis aussi encore qu'elle est triste; vous allez la trouver triste . etc.. leonard de vinci ou le genie universel s'y connaissait en matiere d'impressions des visages et pour mettre en relief ce phenomene il avait presque opté pour des sourcils disons "invisibles". comme ça la monalisa epousera mieux notre expression qu'on a sur elle. sacré genie . quand je me rappele du film da vinci code - d'ailleurs je ne l'est pas terminé - cela me fait rouler de rire. j'espere en rire encore quand je serais 6 pieds sous terre. enfin j'ai un stock coté rires pour me tenir compagnie en attendant le jour du jugement dernier. de la part de mona lizo.

[modifier] L'origine du sourire de La Joconde

Pour ceux qui sont intéressés, voici l'origine du célèbre sourire de La Joconde. Ceci est la fin heureuse d'une histoire qui avait pourtant bien mal commencée. L'orsque Mona Lisa prit la pose pour Léonard de Vinci, elle venait de perdre sa petite-fille. Ne pouvant la laisser en proie au chagrin, Léonard décida de la distraire en faisant venir des musiciens, des paladins, et des saltimbanques. Ils déployèrent tellement d'efforts, que Mona Lisa finit par donner à Léonard ce qu'il voulait... un sourire. 0000 20 mai


on m'a fait part d'une interprétation de la célébrité du sourire de la joconde : une utilisation du sfumato aux commissures des lèvres (et au niveau des yeux) rend les traits et l'état d'esprit de mona lisa incertains

intuitivement c'est à ces endroits du visage que nous lisons les sentiments des personnes qui sont en face de nous, de vinci était assez génial pour trouver cette utilisation du sfumato

désolé, j'ai oublié la référence

floupix, 02/07

[modifier] Attentat

Je ne trouve pas trace ds votre article de l'attentat qu'elle a subi ni du fait qu'elle est protégée par une vitre pare-balles.

"En 1956, un jeune Bolivien, Ugo Ungaza Villegas, sans pouvoir expliquer sa haine, lui lance une pierre qui n'endommage que le coude gauche de la dame. Depuis, l'oeuvre est placée sous une vitre sécurisée."

Eh bien dans ce cas, ajoutez cette information vous-même, c'est le principe de Wikipédia... ¤ -- Niavlys (CinéNiavlys) -- ¤ [αβγ], le 12 mars 2008 à 22:40 (CET)

[modifier] Ajouts de Droctoaldus supprimés

J'ai un doute sur la pertinence des ajouts de Droctoaldus. Ce texte ressemble plus à une analyse personnelle quà des informations encyclopédiques.
D'autres avis ?
--Fabos 28 septembre 2006 à 17:51 (CEST)
Puisque personne ne réagit, je déplace la partie en page de discussion :

Un sourire énigmatique et le regard d'un morphopsychologue
La Joconde est le tableau le plus célèbre au monde. Son succès universel vient notamment de l’énigmatique sourire de Mona Lisa. De plus, quel que soit l’angle sous lequel je l’observe, son regard me poursuit toujours. De la loggia où Léonard de Vinci la représente, sourit-elle à un seul personnage ou à tout un groupe ? Dans l’un ou l’autre cas, que veut-elle exprimer ? Sourit-elle vraiment ?
Léonardo da Vinci ne s’en séparait jamais même lorsqu’il vint en France mettre son génie d’artiste et d’ingénieur au service de François 1er. Ce dernier admirait le chef-d’œuvre et il en fit l’acquisition pour son propre compte au décès du peintre.
Pourquoi Léonard de Vinci n’a-t-il jamais voulu se séparer de Mona Lisa ? Pourquoi y tenait-il tant ? Pourquoi cette œuvre a-t-elle, à travers les siècles, connu un succès ininterrompu et universel ?
La phase d'intuition du portrait morphopsychologique
Ce type d’opération est d’autant plus difficile que le visage est familier. Dans ce cas, en effet, nous ne le voyons plus vraiment. La réitération familière des contacts fait que les traits de nos intimes demeurent transparents car, à travers eux, c’est directement avec leur personne que nous sommes en relation. Comment ne pas éprouver cette difficulté avec la Joconde ? Dans un CD-rom de présentation du Musée du Louvre, il est ainsi précisé : « Il est difficile de regarder simplement la Joconde, tant sa célébrité mondiale, les innombrables commentaires, reproductions et parodies, font écran à sa contemplation directe ».
Essayons d’être - s’il en existe encore un - ce « visiteur » qui, n’ayant jamais entendu parler de Mona Lisa, se trouverait, pour la première fois, devant elle.
Voici le résultat de cette opération intuitive.
Le visage et l’attitude de cette femme présentent un mélange de noblesse et de simplicité. Sa noblesse n’a, en effet, rien de hautain. Il émane même de sa personne, à travers la sérénité de sa pose, une bienveillance certaine où perce un soupçon de complicité amusée. Elle nous la propose avec une discrète gaieté. Il faut tout de suite préciser que cette « invite » n’est en rien celle qu’une femme adresserait à un homme. Le personnage de Mona Lisa ne diffuse aucune sexualité. Cela n’est pas sans participer à sa noblesse, mais concourt à élargir les horizons de sa bienveillance puisqu’elle s’adresse aussi bien à l'un ou l’autre sexe. La présence discrète et bienveillante n’est ni vague, ni générale, ce n’est pas à une foule anonyme que Mona Lisa fait face, ni même au seul artiste pour lequel elle pose, c’est à « moi » qu’elle s’adresse, de personne à personne. C’est, sans doute, sur un plan psychologique, la caractéristique centrale de l’œuvre, et la raison de son succès.
C’est sur « moi » que son regard se pose, avec une présence et une bienveillance qui m’assurent qu’elle comprend très bien l’individu, pourtant si particulier, que je suis. Cette reconnaissance m’est d’autant plus précieuse qu’elle provient d’une personne à qui je n’hésiterais pas à accorder toute ma confiance. La tranquillité de sa pose provient, en effet, d’une solidité générale qui n’est pas que morale mais bel et bien physique. Ne remplit-elle pas en toute simplicité, l’ensemble du tableau ?
Voilà résumées, les impressions recueillies. Elles nous livrent la raison la plus probable du succès de ce chef-d’œuvre. Chaque « visiteur » se retrouve, avec la Joconde, devant une personne qui ne regarde que lui, avec une sympathie, voire une empathie, acquise d’avance. Que cette compréhension, que nous attendons le plus souvent, parfois en vain, de notre propre entourage, provienne d’une simple peinture, il y a de quoi rester fasciné !
Si nous avons, intuitivement, approché le ressort du succès de cette œuvre, que va pouvoir nous apporter son portrait morphopsychologique ? Que signifie son sourire ? Sourit-elle vraiment ?
A lire dans "Visage, corps et personnalité" - Jean-Marie Lepeltier & Christophe Drouet - Editions Médicis - Paris - 2006

mes arguments :

  • commence par une introduction historique qui n'a pas sa place dans cette partie de l'article
  • continue avec des interrogations dont le style rompt avec l'article
  • poursuit avec un "portrait morphopsychologique" qui aligne les platitudes et les opinions douteuses ("Mona Lisa ne diffuse aucune sexualité. Cela n’est pas sans participer à sa noblesse")
  • la référence au CD-rom est peu pertinente...
  • le style personnel « moi », « moi », « je suis », « je n’hésiterais pas » ne convient pas
  • termine par une publicité non dissimulée pour un livre hors sujet.

Fabos 29 septembre 2006 à 08:52 (CEST)

[modifier] Nouvel ouvrage sur la Joconde

Bonjour, juste pour signaler un ouvrage trés interessant Au coeur de La Joconde : Léonard de Vinci décodé (Album) chez Gallimard, il s'agit d'une études collective coordonée par le laboratoire du Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France , pour tout savoir sur la technique du peintre il pourrait étre utile dans le cadre de cet article de s'y interresser. Kirtap 29 septembre 2006 à 13:29 (CEST)

[modifier] Le sourire dans le portrait de la renaissance

Intéressante question ! J'ai supprimé l'affirmation comme quoi Leonard invente le sourire dans le portrait. Voir justement les oeuvres de Antonello de Messine

Fabos 15 novembre 2006 à 19:31 (CET)

[modifier] Contradictions et références

L'article suivant 2007/01/20 [1] apporte des précisions et des contradictions avec l'article de wikipédia. .melusin 20 janvier 2007 à 10:48 (CET) M:) J'ai sauvegardé une copie au cas ou

SOSIES

Quel était le modèle de la Joconde ? Les sosies du tableau doivent être nombreux... Je trouve que sur la photo de classe 1C2 du lycée "Paul Doumer" au Perreux,l'élève au 1 er rang ,2 éme en partant de la droite fait penser à Mona Lisa... http://copainsdavant.linternaute.com/photo_groupe/917557/37402/1c2/lycee_paul_doumer/ Le sourire de l'élève au 2 ème rang ,1 ère en partant de la gauche est bien mystérieux... Ce sourire me fait penser à la photo classique du camp de Drancy "vaisselle et lessive": http://perso.orange.fr/d-d.natanson/drancy.htm La jeune fille devant la femme qui sourit ,ebauche un sourire à peine perceptible... Un espoir,un doute,qui aurait pu imaginer le projet de "solution finale" ??? Femmes et enfants font la vaisselle et la lessive dans les installations rudimentaires. Une seule femme, au centre, sourit au photographe allemand. Sur les autres visages, la fatigue et l'angoisse.

En 1969 l'avenir n'est pas tragique à priori...Quels sont les espoirs des lycéennes ? Le bachot l'année suivante...Et un beau mariage !!!L'alliance en pendentif au cou de "Mona Lisa" serait mieux autour du doigt...Le coeur en pendentif sur l'élève à gauche est-il sincère ?

Le soupirant du Perreux.

[modifier] ba bah

vous ne savez pas que la joconde n'est pas le seule portrait à sourire et a regarder les gens de different cotés!!!!!!!!! tout les portraits sont comme ça. 3 mars 2007 à 11:56 (CET)

[modifier] le sourire

En hypothèse le sourire de la Joconde pourrait être du au fait que Léonard commence le tableau au moment où son père meurt, et qu'il rejoint sa mère dans le ciel, car de tous son vivant Léonard n'a jamais vu sa mère et son père ensemble(en raison de son illégimité) le sourire exprime le contentement de les savoirs tout les deux ensemble, la-haut. Ce jugement n'est pas prouvé et est totalement subljectif.