L'Inassouvie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
| L’Inassouvie | |
| Titre original | Un Amore a Roma |
|---|---|
| Réalisation | Dino Risi |
| Acteur(s) | Mylène Demongeot (Anna Padoan) (Peter Baldwin) (Marcello Cenni) |
| Scénario | Dino Risi, Ennio Flaiano et Ercole Patti d'après son roman Un Amore a Roma |
| Musique | Carlo Rustichelli |
| Décors | Fortunato Frasca |
| Costumes | Piero Tosi |
| Photographie | Mario Montuori Cadreur : Franco Vitrotti |
| Montage | Otello Colangeli |
| Producteur(s) | Mario Cecchi Gori Artur Brauner (coproducteur) |
| Production | Alfa Film GmbH CEI Incom Fair Film SPA Laetitia Film Cocinor Les Films Marceau |
| Distribution | Constantin Film |
| Format | Noir et blanc 1.37:1 Monophonique 35 mm |
| Genre | Drame romantique |
| Durée | 105 min |
| Sortie | 12 novembre 1960  Italie |
| Langue originale | italien |
| Pays d'origine |  Allemagne France Italie |
| Fiche IMDb | |
L’Inassouvie (Un Amore a Roma) est un film franco-germano-italien réalisé par Dino Risi et sorti en 1960
Sommaire |
[modifier] Synopsis
-
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Marcello Cenni, qui vient juste de rompre ses fiançailles, rencontre à Rome Anna Padoan et c'est le coup de foudre. Mais Anna doit bientôt partir à Capri où elle est engagée pour tourner un film et il est convenu que Marcello la rejoindra dès que possible...
[modifier] Distribution
- Mylène Demongeot : Anna Padoan
- Peter Baldwin : Marcello Cenni
- Elsa Martinelli : Fulvia
- Vittorio de Sica : le réalisateur
- Jacques Sernas : Tony Meneghini
- Claudio Gora : Monsieur Curtatoni, l’ingénieur
- Maria Perschy : Eleonora Curtatoni
- Armando Moreno : Nello D'Amore
- Umberto Orsini : Peppino Barlacchi
- Fanfulla : l’acteur comique
- Maria Laura Rocca : Madame Curtatoni
[modifier] Autour du film
- Titre allemand : Liebesnächte in Rom
- La chanson Uccidimi est composée par Armando Romeo
- Ingénieur du son : Eraldo Giordani
- Mylène Demongeot[1] : « Folle de joie, je retourne à Rome tourner un film avec Dino Risi, metteur en scène que j'admire. Un Amore a Roma, intitulé stupidement en France L'Innasouvie. Mais ce tournage qui devrait me combler vire au cauchemar. Coste[2] est omniprésent, critiquant tout. Dino Risi, homme gentil et courtois, n'ose pas le foutre hors du plateau, mais il est très énervé, je le sens bien, il essaie de m'en parler et, moi, je ne sais plus quoi faire. Je tente bien d'en parler à Coste, mais il ne m'écoute pas. Il est devenu ma Paula Strasberg à moi ! […] Par contre, Coste réussit une série de photos admirables. Je crois que c'est ce qu'il y aura de mieux dans le film... C'est bien dommage tout de même. J'aimerais bien le revoir, cet Amore a Roma. »
[modifier] Notes et références
- ↑ Extrait de son autobiographie, Tiroirs secrets, Éditions Le Pré aux Clercs, Paris, 2001 (ISBN 2842281314)
- ↑ Le photographe Henri Coste, son mari à l'époque.
