Journaliste sous la Révolution
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La presse connaît une grade effeverscence sous la Révolution. 250 titres de presse sont créés entre le 5 mai 1789 et la fin 1789. En 1790, 350 nouveaux titres voient le jour[1].
Quelques journalistes célèbres :
- Honoré Gabriel Riqueti, comte de Mirabeau, rédacteur du Courrier de Provence, (empoisonné (?) ou de mort naturelle)
- François Louis Suleau, un des rédacteur des Actes des Apôtres, (mort à la prise des Tuileries)
- Simon-Nicolas-Henri Linguet, rédacteur des Annales politiques, (guillotiné)
- Jean-Paul Marat, rédacteur de L'Ami du peuple, (assassiné)
- Antoine-Joseph Gorsas, rédacteur de son Courrier des Départements, (guillotiné)
- Jacques Pierre Brissot, rédacteur de Le Patriote français, (guillotiné)
- Claude Fauchet, rédacteur de la Bouche de fer,(guillotiné)
- Camille Desmoulins, rédacteur des Révolutions de France et de Brabant, Le Vieux Cordelier, (guillotiné)
- Antoine-François Momoro, rédacteur du Journal des Cordeliers, (guillotiné)
- Maximilien de Robespierre, collaborateur du Défenseur de la Constitution, (guillotiné)
- Condorcet, rédacteur de la Chronique du mois, (mort empoisonné ou suicide)
- Fabre d'Églantine, rédacteur des Révolutions de Paris, (guillotiné)
- Jacques René Hébert, rédacteur de Le Père Duchesne. (guillotiné)
[modifier] Références
- ↑
- Jean Tulard, Jean-François Fayard et Alfred Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française. 1789-1799, Robert Laffont, coll. « Bouquins », Paris, 1987 (ISBN 270282076X)
