Discuter:François Duprat (homme politique)

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Les dernières modifs ont enlevé la pertinence de l'article, en faisant une "réécriture" idéologique. Dans la version actuelle on ne sait même pas qu'il était négationniste, on ne comprend pas du tout pourquoi il a été assassiné... --Horowitz 21 mai 2006 à 23:04 (CEST)

Et pour cause, on ne sait pas pourquoi il a été assassiné. Les deux groupes terroristes juifs étaient probablement des "faux nez". Il semble établi que François Duprat était ou avait été indicateur de police et d'aucuns pensent que son double jeu est en partie à l'origine de sa mort, mais on ne saura sans doute jamais le fin mot de l'histoire. L'actuelle version de l'article indique qu'il a diffusé des ouvrages négationnistes, ce qui est tout ce que l'on peut dire de lui à ce sujet. Après, il l'était probablement en privé mais c'était avant tout un néo-fasciste, ce que l'article ne cache absolument pas, au contraire. Vous semblez obsédé par le négationnisme : on ne peut pas réécrire tous les articles via ce prisme, qui ne constitue pas l'alpha et l'oméga de toute vie intellectuelle depuis la naissance de la pensée. En conséquence, je considère votre bandeau de non-pertinence comme non pertinent. Nkm 22 mai 2006 à 00:58 (CEST)

La bombe qui a tué Duprat était extrêmement sophistiquée : elle était fabriquée pour se déclancher que lorsque la voiture dépassait 70 km/h (afin d'éviter qu'elle explose en ville). La mort de Duprat coincide avec la publication de son adresse personnelle dans le livre d'escroc Chairoff, préfacé par Klarsfeld. Duprat avait été TRES impliqué dans le combat en faveur de la Palestine libre et du révisionnisme. Deux raisons pour lui valoir la haine de milices juives qui, à cette époque, multipliait les attentats.--Suricate 26 juillet 2006 à 18:40

J'ai entendu dire que c'était le Mossad qui a assassiné le Professeur François DUPRAT. Anonyme 22 Décembre 2006 à 01:10

Tu as raison "anonyme"... Les Juifs sont responsables de tout : des règlements de compte dans l'extrême-droite, du 11 septembre, de la Shoah, de la Seconde et, tant qu'on y est, de la Première guerre mondiale. Et aussi, j'oubliais, de la disparition de l'Homme de Néanderthal, mais là, je suis moins sûr...--D.N. 4 septembre 2007 à 11:57 (CEST)


Sommaire

[modifier] Remommer cet article

Je viens d'ajouter des informations sur le négationnisme du personnage, en prenant le temps de citer et de référencer.

Il me semble qu'il ressort des propres déclarations de Duprat qu'il n'est pas d'abord un historien, mais plutôt un activiste politique qui utilise l'histoire comme une arme pour tenter de réhabiliter le fascisme.

Il me semble qu'on ne peut qualifier d'historien quelqu'un qui nie l'histoire.

Un consensus devrait être trouvé dans un renommage de l'article François Duprat (extrême-droite)

--D.N. 24 août 2006 à 11:08 (CEST)

Duprat était professeur d'Histoire, donc il avait tout à fait droit au titre d'historien. Ses Cahiers d'Histoire du fascisme étaient parait-il fort bien documentés. Après, il n'est ni le premier ni le dernier historien à avoir fait de ses compétences professionnelles un usage discutable. Jean-Jacques Georges 28 août 2007 à 13:21 (CEST)
Duprat enseignait l'histoire au collège. Ce n'est pas la même chose que d'être Professeur universitaire. Ceedjee contact 1 novembre 2007 à 12:06 (CET)

Il y a tout un lot d'historiens reconnus ou de spécialistes d'autres matières, publiés par des maisons reconnues, et qui enseignent dans des lycées. Cela n'a rien de dégradant d'enseigner dans le secondaire.--Steppen 2 novembre 2007 à 12:58 (CET)

[modifier] Revert sur la bibliographie

Je ne lis pas attentivement toutes les notes en bas de page, et il a fallu que j'aille voir la page en anglais pour repérer l'ouvrage de Mme Igounet et la référence à Duprat. Donc il me parait tres nécessaire que cet ouvrage figure dans la biblio . Galufa 24 octobre 2007 à 23:18 (CEST)

Absolument, j'arrive en retard, mais cet ouvrage doit rester dans la biblio et j'en ajouterai d'autres s'il le faut. Eristik επις 24 octobre 2007 à 23:23 (CEST)
Le livre de Chebel d'Appolonia étant disponible sur le net, je vais voir si il peut servir à des ajouts éventuels. Pour celui d'Igounet, je pense que n'étant centré que sur un aspect du personnage, il a plus sa place en référence, qu'exclusivement dans la biblio. Qu'en pensent les autres contributeurs ? Jaczewski 24 octobre 2007 à 23:26 (CEST)
SVP Jaczewski, pas de conflit sur ce point, on a tous les deux contribué beaucoup à cet article récemment. Par respect, pour notre travail commun je souhaiterais que tu remettes la biblio. Cordialement, Eristik επις 24 octobre 2007 à 23:29 (CEST)
Je te remercie, je savais qu'on pouvait s'entendre. Eristik επις 24 octobre 2007 à 23:32 (CEST)

Bravo pour cet accord. Je ne suis pas à l'aise avec le mélange des genres : Nicolas Lebourg est-il aussi un historien ou est-ce un témoin ? Galufa 24 octobre 2007 à 23:42 (CEST

C'est un historien des idées politiques et du négationnisme Cf sa fiche de chercheur. Eristik επις 24 octobre 2007 à 23:50 (CEST)
merci, c'est bon alors Galufa 24 octobre 2007 à 23:59 (CEST)

[modifier] Catégorie Trotskiste

Plutôt que de faire des procès d'intentions sur un article auquel il n'a pas contribué, Black31 est prié d'exposer ses volontés de manière courtoise. Pas question de céder à ses caprices et ses impolitesses sans dialogue. Jaczewski 24 octobre 2007 à 23:14 (CEST)

être à 16 ans ATTIRÉ par les mouvements révolutionnaires, et notamment troskiste, et ne pas y militer mais en être seulement un proche pendant très peu de temps ne suffit pas pour avoir la catégorie trotskiste français et tu le sais très bien. Pou avoir cette catégorie faut au moins y avoir militer pendant un petit peu de temps, là ce n'est pas le cas. Mettre duprat et bensaid/krivine/frank dans la même catégorie est complètement hallucinante ... sinon tu es très comique ta volonté dans toute l'encyclopédie est de pourrir la gauche en son ensemble, tout le monde le sait, c'est juste un constat --Black31 24 octobre 2007 à 23:17 (CEST)
Il suffit donc de discuter, plutôt que d'accuser fallacieusement les autres de volontés néfastes. Merci de rester courtois. Jaczewski 24 octobre 2007 à 23:22 (CEST)
la courtoisie a ses limites, surtout venant de ta part, toi qui ne l'ait jamais et qui multiplie les provocations et les guerres d'éditions partout où tu passes dans l'encyclopédie. Et pas seulement avec moi.--Black31 24 octobre 2007 à 23:23 (CEST)
Si tu es incapable de respecter les autres contributeurs, ça va finir au CAr. Impoli. Jaczewski 24 octobre 2007 à 23:26 (CEST)

[modifier] Appel à commentaires

Cet article ainsi que Waffen-SS et Extrême droite soulèvent des questions plus générales. J'ai cru utile de faire un Appel à commentaires sur ce sujet. Galufa 24 octobre 2007 à 23:49 (CEST)

L'issue ne semble pas faire de doute, puisque tu as mal présenté les faits: Duprat n'est pas un « auteur négationniste », mais un diffuseur de textes négationnistes/révisionnistes. Jaczewski 25 octobre 2007 à 11:00 (CEST)

[modifier] Bricole dans la liste des ouvrages

Sans aucun lien avec les différends actuels au sujet du contenu de cet article (différends auquel je n'ai aucune envie de me mêler), je voudrais signaler une petite rectification à laquelle j'ai procédé dans la liste des ouvrages de Duprat. À une date que je n'ai pas cherché à repérer, la ligne « La droite nationale en France de 1971 à 1975, Paris, Éditions de l'Homme libre, 2002. ((ISBN 2-912104-23-8)) » s'était transformée en une ligne « La droite nationale en France de 1971 à 1975 : défendre les Français, c'est le programme du Front national, Paris, Éditions de l'Homme libre, 2002. ((ISBN 2-912104-23-8)) » ce qui, à mon sens, n'était pas conforme à la réalité du titre.

On en a confirmation en consultant l'ouvrage lui-même (depuis des années dans ma bibliothèque) et en allant regarder la notice que http://catalogue.bnf.fr/ consacre à ce bouquin.

Dans l'ouvrage lui-même, on ne voit que le titre « La droite nationale en France de 1971 à 1975 », que ce soit sur la couverture, sur la tranche de l'ouvrage, dans les pages de garde ou en en-tête des pages paires (les pages impaires comportant le titre du chapitre courant). Par contre, la mention « défendre les Français, c'est le programme du Front national » figure bel et bien sur la couverture de l'ouvrage, mais sous une forme qui peut difficilement être confondue avec un sous-titre, puisque ce texte, en deux parties, figure en réalité sur une affiche du FN servant d'illustration de couverture : « [haut de l'affiche] DEFENDRE LES FRANÇAIS [bas de l'affiche] C'EST LE PROGRAMME DU FRONT NATIONAL [coordonnées postales et téléphoniques du FN à l'époque] ».

Sur le site de la BNF, on a une fiche bibliographique qui indique, à la rubrique « Titre(s) » : « a droite nationale en France de 1971 à 1975 [Texte imprimé] / François Duprat » puis, plus bas, dans une rubrique « Note(s) » : « La couv. porte en plus : "défendre les Français, c'est le programme du Front national". - Index »

Comme la chose est également visible sur le site de la Bibliographie nationale française, cf. http://bibliographienationale.bnf.fr/Livres/CuM_06.H/cadre320-8.html#FRBNF39301556, il me semble qu'on ne peut pas considérer le texte de l'affiche comme faisant partie du titre de l'ouvrage, et c'est pourquoi il m'a semblé préférable de le retirer. Hégésippe | ±Θ± 25 octobre 2007 à 18:33 (CEST)

Merci Hégésippe pour cette rectification, je n'avais pas en mains une copie du livre lorsque j'ai complété sa biblio, j'avais cru qu'il s'agissait du titre complet (ce qui était possible puisque Duprat a bien été au FN). Cordialement, Eristik επις 25 octobre 2007 à 21:30 (CEST)

[modifier] Historien ?

Me paraît douteux, et même inadmissible pour un diffuseur d'écrits négationnistes. Un historien doit avoir été reconnu par ses pairs, ce ne me paraît pas être le cas. Etre reconnu par ses pairs, ce n'est pas avoir été cité car on peut toujours être cité comme source primaire. Votre avis ? Galufa 30 octobre 2007 à 00:28 (CET)

Etre cité peut suffire pour être une référence mais pas pour être historien.
Ceedjee contact 31 octobre 2007 à 20:35 (CET)

[modifier] En 1970, il se rend en Palestine

Ce n'est pas possible pour 2 raisons :

  • jamais Israel n'aura accordé le visa à une personne aussi proche des milieux négationnistes se rendant ensuite en Syrie
  • en 1970, personne ne parle vraiment de Palestine : tous les territoires sont occupés. Il faudrait donc dire, qu'il se serait rendu dans les territoires occupés par Israël ou mieux enocre de citer les villes. Ceedjee contact 31 octobre 2007 à 20:33 (CET)

[modifier] Sur quelques modifs

Solicité par Ceedjee, je suis venu mettre mon grain de sel. il se trouve que j'ai dans ma bibliothèque le DEA de Nicolas Lebourg et le n° du National de 1973. Je peux donc apporter quelques détails. Entre autre que le texte du National qui parle du révisionisme de Duprat ne peut pas être de Le Pen car celui qui l'écrit évoque des souvenirs communs et des oppositions liées à des groupes auxquels Le Pen n'a pas participé (FEN, Occident, etc). --Steppen 31 octobre 2007 à 22:47 (CET)

Parle-t-on du même texte ? Moi je n'ai pas le numéro du National mais j'ai le bouquin d'Alain Rollat qui reproduit (ça prend un peu plus d'une page, p. 74-75) un hommage à Duprat (qui commence par « Dans le Manifeste nationaliste révoutionnaire (...) » et se termine par « (...) publié avant et après l'attentat ») qui aurait été publié dans Le National juste après sa mort (le numéro n'est pas spécifié). Ce texte ne contient pas particulièrement de « souvenirs communs ». Est-ce à celui-ci ou à un autre que tu fais allusion ? Touriste 31 octobre 2007 à 22:53 (CET)

C'est bien le même, sauf que Rollat n'en cite qu'une partie (la seconde)--Steppen 31 octobre 2007 à 22:57 (CET)

Oups en regardant ça, je vois que j'avais écrit (hier ou avant-hier je suis de passage par hasard) qu'il le citait « intégralement » sans rien en savoir. Tu es passé juste au bon moment, je corrige tout de suite cette erreur mineure, marrant quand même de voir comment les articles progressent par petits pas. Touriste 31 octobre 2007 à 22:59 (CET)

Je me demande aussi si il cite la fin, car elle aussi contient des indications biographiques qui montrent bien qu'il ne s'agit pas de Le Pen. Par exemple dans l'avant-dernier paragraphe : "Je veux finir par un dernier hommage : après l’inique dissolution d’Ordre nouveau en juillet 1973, et la regrettable scission d’octobre qui s’ensuivit, je demeurai tout l’hiver dans la mouvance de Faire front. Si la forfaiture d’avril 1974 commença de m’ouvrir les yeux, je restai néanmoins de longs mois tel l’âne de Buridan, ne sachant quel parti embrasser, du Parti des forces nouvelles ou du Front national. Ce fut en grande partie grâce à François Duprat, à Alain Renault et aux Cahiers européens que je finis par rejoindre le Front et depuis, je n’ai jamais eu à regretter cette décision."Steppen 31 octobre 2007 à 23:02 (CET)

Non tout ça n'est pas reproduit dans la page du Rollat consacrée à cet hommage. Touriste 31 octobre 2007 à 23:11 (CET)

[modifier] écrivain, historien et homme politique d'extrême droite

En synthèse :

  • écrivain : ok
  • homme politique : je n'ai pas lu qu'il avait été élu. Ce serait donc plutôt un militant.
  • historien : ca n'est pas possible d'écrire cela. Il n'a aucune publication "peer reviewed" mais est juste diplomé d'histoire.

François Duprat est un écrivain, essayiste sur les sujets du fascime et de la Seconde Guerre mondiale et militant politique d'extrême-droite française.
Qu'en pensez-vous ? Ceedjee contact 1 novembre 2007 à 12:16 (CET)

Popur ma part, je ne comprends pas cet acharnement de certains sr le titre d'historien, qu'il faudrait réduire aux seuls universitaires. François Duprat ayant publié des études non négligeables sur le fascisme, reconnus par d'autres historiens, je suis donc favorable à la proposition de Steppen pour préciser "historien des fascismes", ou "historien des mouvement d'extrême-droite". Jaczewski 1 novembre 2007 à 17:54 (CET)
Il n'y a aucun acharnement.
Quelles sont les ouvrages historiques traitant du fascime où son travail est référencé ?
Quelles sont ses ouvrages publiés par des maisons d'édition à comité de lecture ?
Ceedjee contact 2 novembre 2007 à 12:30 (CET)
Je parlais de la démarche wikipédo-wiesenthalienne de celui qui est à l'origine de cette discussion.
Comme je l'ai déjà dit, Duprat est cité notamment par Pierre Giolitto. Je crois qu'il l'est aussi par Pierre Milza, ce que je vérifierai sous peu.
A partir du moment où de nombreux auteurs accordent la qualification d'historien à Duprat, pourrais-je à quel titre savoir Wikipédia l'en déchoirait-il ? Jaczewski 2 novembre 2007 à 12:49 (CET)

Si je prend mon Larousse "Historien : spécialiste des études historiques; auteur d'ouvrages historiques" Duprat correspond à la seconde définition, pas à la première.

Moi c'est essayiste qui me rends mal à l'aise car cela signifie (tjrs le Larousse) "auteur d'essais littéraires" ce que Duprat n'a a priori jamais fait.

Pour homme politique c'est le même problème. L'est-on uniquement si on est élu ? Dans ce cas quid de tous les dirigeants politiques de groupes minoritaires qui ne sont pas élus (je pense à Besancenot, mais aussi à des dirigeants des Verts...)

Lebourg le donne comme "le n° 2, voire le n° 1bis du Front national" (avant son décès) et ne lui conteste pas le statut d'historien.--Steppen 2 novembre 2007 à 12:54 (CET)

Oui. Essayiste ne convient pas mais historien ne va pas non plus. On ne peut pas donner le statut d'historien parce que certains le considèrent comme tel. Ils font soit des éléments objectifs, soit un consensus.
Auteur d'ouvrages historiques me semble bon.
Pour "homme politique", il ne faut pas nécessairement être élu mais il faut quand même un peu plus que d'avoir des idées ou de militer à gauche ou à droite... Où se situe-t-il ?
Et le tout montre bien le paradoxe : on ne peut décemment pas être à la fois un historie, un homme politique et un écrivain qui sont 3 activités à temps-plein et pas à tiers-temps.
Pierre Giolitto n'est pas un pair à mes yeux : Inspecteur général honoraire de l'Education nationale, Pierre Giolitto a publié de nombreux ouvrages relatifs à l'histoire de l'enseignement, notamment une Histoire de l'école (2003), et au régime de Vichy : Histoire de la jeunesse sous Vichy (1991), Histoire de la Milice (1997), Volontaires français sous l'uniforme allemand (1999), Grenoble 40-44 (2001) et Histoire des groupes francs grenoblois (2003. Il a en outre écrit de nombreux romans, dont La maison d'en face et La morale du corbeau.
Si de nombreux auteurs considèrent qqn comme "historien" et qu'aucun auteur ne le conteste alors, il y a moyen d'objectiver la caractérisation.
Ceedjee contact 2 novembre 2007 à 13:02 (CET)

En France, être homme politique et faire autre chose à la fois, c'est le lot commun et nombre de nos hommes politiques sont aussi enseignants...

Etre n° 2 du FN, est-ce etre un homme poltique ? En comparaison Golnisch est il un homme politique ? Stirbois le fut il ?

Auteur d'ouvrages historiques sur les fascismes me semble OK, mais il est inutile de mettre écrivain qui est redondant. Par contre il avait une activité de journaliste.

Lebourg parlant de Duprat dans l'intro de son DEA : "Numéro deux du Front national, ou peut-être plutôt numéros un-bis. (...) Acharné de l’écriture, il fut l’auteur de plusieurs ouvrages, mais aussi d’articles politiques publiés dans une dizaine de journaux de la presse d’extrême-droite, et il créa lui-même une autre dizaine de bulletins et de revues. Il ne se satisfit pas pour autant d’un poste d’intellectuel, et mania de concert la barre de fer, alors qu’en règle générale l’activisme est une phase précédant l’engagement politique classique et non simultanée."--Steppen 2 novembre 2007 à 16:00 (CET)

Je ne savais pas qu'il était n°2 du FN. Ca me semble autoriser le qualificatif d'homme politique. Mais c'est dans l'article ?
Pour le reste, c'est ok pour moi. Ceedjee contact 2 novembre 2007 à 16:08 (CET)
Quelqu'un qui traduit des ouvrages négationnistes ne peut être qualifié d'historien. C'est même un anti-historien, un négateur du travail historique.

Il ne fait produit par ailleurs aucun savoir nouveau sur l'histoire. Je propose comme formule "journaliste intéressé par l'histoire"

Cela donnerait :

François Duprat est homme politique d'extrême droite français et un journaliste intéressé par l'histoire, né le ...

.--D.N. 4 novembre 2007 à 17:01 (CET)

[modifier] citation JMLP

Cette citation n'est elle pas un peu trop longue pour figurer dans le corps d'article comme ca ? — Jrmy [You talkin' to me?] 2 novembre 2007 à 16:47 (CET)

Si. Il serait bien capable de porter plainte pour copyvio. Il vaut mieux résumer. Ceedjee contact 2 novembre 2007 à 16:59 (CET)

A l'origine, je l'avais mise en note, et elle a été intégrée dans le texte par un autre intervenant.--Steppen 2 novembre 2007 à 17:09 (CET)

Faites comme bon vous semble :-)
Ceedjee contact 2 novembre 2007 à 17:13 (CET)

[modifier] Synthèse intro

Au vu des discussions et des informations apportées par ceux qui connaissent le sujet :

  • Cet homme est surtout connu au travers de ses activités politiques. Après sa mort, c'est JMLP qui fit son éloge mais aucun historien ou écrivain. -> en numéro un c'est un homme politique d'extrême droite.
  • Ensuite, cet homme semble connu dans les mêmes milieux pour ses ouvrages : il est donc écrivain spécialisé sur - au vu des ouvrages - le fascime et les waffen-SS.
  • Enfin, vu qu'aucun historien de la 2ème GM ou du fascime ou autre (même à titre polémique) ne le cite et malgré son diplômes, et au vu des thèses qu'il véhicule (pour rappel, les thèses négationnistes ne font pas partie du débat historiographique parmi le monde académique), il ne peut être qualifié d'historien.

Ceedjee contact 5 novembre 2007 à 09:30 (CET)

[modifier] edits par NLebourg

Je fais quelques modifs factuelles quant à quelques erreurs, sans rentrer dans le gros du dossier NLebourg 9 novembre 2007 à 11:37 (CET)


[modifier] Auteur de l'hommage et autres coquecigrues

Je ne vais pas passer mon temps à corriger les corrections de mon correcteur mais j'aimerais beaucoup que l'on ne fasse pas dire à Pierre-André Taguieff et Valérie Igounet ce qu'ils ne disent pas. En ce qui concerne la dernière phrase du texte donc en aucun cas ces auteurs ne citent J-M Le Pen mais André Delaporte. Ce n'est pas à moi d'effacer à chaque fois cette bêtise pour mettre la vérité : que la personne aille chercher le livre et l'ouvre. ça explique par ailleurs le problème évoqué ci dessus quant à l'impossibilité absolue, pour des raisons de détails biographiques donnés en cet hommage, que ce texte soit du président du FN. idem c'est gentil d'effacer le fait qu'il affirme avoir été membre de l'UGS pour remettre qu'il le fut hormis qu'il ya un bug : FD disait y avoir passé 4 ans avant d'entrer à JN, or l'UGS est créé la même année que JN.... et c'est comme ça toute la notice....'y a un paquet d'autres erreurs mais bon c'est déjà mieux~ NLebourg 12 novembre 2007 à 09:34 (CET)

[modifier] François Duprat, un des principaux négationnistes français

Quelques citations du livre de Valérie Igounet, Histoire du négationnisme en France, Edtions du Seuil, 2000, qui devraient à mon avis, contribuer à mieux sourcer l'article :

  • page 129 :

« Sur la quatrième de couverture de son ouvrage, Histoire des SS (Les Sept couleurs, 1967), François Duprat est présenté comme un talentueux historien appartenant à la "nouvelle école révisionniste" et qui, à ce titre, étudie la Seconde guerre mondiale, en dénonçant "un certain nombre d'idées reçues" dont les chambres à gaz. »

  • page 131 :

    « La guerre des six jours initie ce changement fondamental dans la rhétoriue négationniste : la cause palestinienne devient la nouvelle cause à défendre. L'Etat d'Israël est paré des stigmates d'un état raciste. A ce moment, l'utilisations du discours négationniste revêt une autre ampleur, et par là même se dote d'une nouvelle signification : détruire l'Etat "impérialiste" sioniste. le thème d'un peuple allemand victime du mensonge n'est pas abandonné, il est exploité différemment. François Duprat est incontestablement l'initiateur de ce virage. Les juifs se voient doublement incriminés. ils sont accusés d'avoir menti pour obtenir d'un Etat et d'avoir expulsé par la force les Palestiniens de leur territoire. Antisionime, antisémitisme et négationnisme, tryptique du discours d'extrême droite ? La guerre des Six jours pemet à ce tryptique de s'installer durablement dans le discours extrêmiste. François Duprat en est le promoteur : (...) l'exploitation des pseudo "Six millions de morts du national socialisme a arraché à l'Allemagne fédérale un milliard de dollars depuis 1952.(Note 32 en bas de la page 130 "Israel" ibid page 22-25 c'est à dire L'agression Israëlienne- Revue Défense de l'Occident - juillet 1967- cité par Valérie Igounet page 130"  »

  • page 179

    « "Aujourd'hui encore, plusieurs personnalités de l'extrême droite française continuent de rendre hommage au militant nationaliste et à celui qui fut un des principaux négationnistes français"  »

Ce livre a le mérite d'exister, mais il est d'une grande médiocrité; on peut se passer de le citer dès l'introduction de l'article. Jean-Jacques Georges (d) 26 novembre 2007 à 18:25 (CET)
A Jean-Jacques Georges. Vous avez parfaitement le droit de penser que le livre est médiocre. Mais vous ne pouvez pas retirer ainsi cette mention sans donner des sources crédibles qui corrigent Igounet et/ou qui établissent la supposée médiocrité de son livre, ni sans respecter la règle WP:COMMENT qui permet entre autres à tous les wikipédiens qui ont mis cet article dans leur liste de suivi d'avoir tout de suite une indication de ce que vous avez changé. Cordialement Galufa (d) 26 novembre 2007 à 19:58 (CET)


[modifier] Un des principaux promoteurs du négationnisme en France (proposition de paragraphe pour l'article, à améliorer

François Duprat a joué un rôle important dans la mise en place d'une réthorique négationiste au sein de l'extrême droite en France liant antisémitisme, antisionisme et anticommuniste [1] Il a publié une "Histoire des SS" (les sept couleurs, 1967), ouvrage dont la quatrième de couverture présente l'auteur comme un talenteux historien appartenant à la "nouvelle école révisionniste" et qui, à ce titre, étudie la Seconde guerre mondiale, en dénonçant "un certain nombre d'idées reçues" dont les chambres à gaz.[2] Il signe également toujours en 1967 une contribution à la revue Défense de l'Occident du négationniste Maurice Bardèche intitulée "Le mystère des chambres a gaz"[3]

  1. Valérie Igounet, Histoire du négationnisme en France page 131 La guerre des six jours initie ce changement fondamental dans la rhétorique négationniste : la cause palestinienne devient la nouvelle cause à défendre. L'Etat d'Israël est paré des stigmates d'un état raciste. A ce moment, l'utilisations du discours négationniste revêt une autre ampleur, et par là même se dote d'une nouvelle signification : détruire l'Etat "impérialiste" sioniste. le thème d'un peuple allemand victime du mensonge n'est pas abandonné, il est exploité différemment. François Duprat est incontestablement l'initiateur de ce virage. Les juifs se voient doublement incriminés. ils sont accusés d'avoir menti pour obtenir d'un Etat et d'avoir expulsé par la force les Palestiniens de leur territoire. Antisionime, antisémitisme et négationnisme, tryptique du discours d'extrême droite ? La guerre des Six jours permet à ce tryptique de s'installer durablement dans le discours extrêmiste. François Duprat en est le promoteur : (...) "l'exploitation des pseudo "Six millions de morts du national socialisme a arraché à l'Allemagne fédérale un milliard de dollars depuis 1952".(Note 32 en bas de la page 130 "Israel" ibid page 22-25 c'est à dire L'agression Israëlienne- Revue Défense de l'Occident - juillet 1967- cité par Valérie Igounet page 130"
  2. Igounet, idem, page 129
  3. Igounet, idem, page 128

Votre avis sur cette proposition ? Galufa (d) 21 novembre 2007 à 23:53 (CET)

Dois-je considérer qu'il n'y a pas d'opposition à l'introduction de ce paragraphe dans l'article ?Galufa (d) 24 novembre 2007 à 08:23 (CET)
A Necrid Master :
Merci à nouveau de bien vouloir respecter WP:COMMENT et sur une page sensible comme celle-là de bien vouloir modifier en page de discussion avant de modifier l'article lui-même. Bonne soirée. Galufa 30 novembre 2007 à 22:57 (CET)
Je n'ai pas forcément envie de passer beaucoup de temps à travailler sur cette page, mais je tiens à dire que le livre de Valérie Igounet est à mon humble avis très médiocre. Il n'est pas forcément très indiqué de s'en servir comme du Saint Sacrement ou de le citer en introduction. Jean-Jacques Georges (d) 6 décembre 2007 à 15:34 (CET)

[modifier] A vérifier : Duprat joua un rôle majeur au Front national dans les années 70

Duprat joua un rôle majeur au Front national dans les années 70 ce que l'article n'évoque pratiquement pas. Qui voudrait bien compléter à partir du livre d'Igounet ? Voir aussi l'hommage paru dans National Hebdo. Galufa 30 novembre 2007 à 23:11 (CET)

Toute "historienne reconnue" qu'elle est, Igounet commet des erreurs grossières notamment sur le personnage de François Duprat, et je pense qu'il est préférable de chercher des sources plus fiables (et moins engagées). Il est d'ailleurs clairement abusif de commencer l'introduction de l'article par une citation du Monde Diplomatique (aucun article sur Wikipédia ne comporte "selon X" dans son introduction). Jaczewski 1 décembre 2007 à 13:45 (CET)


[modifier] Assassinat

Je crois que l'on devrait intégrer la thèse de Roland Gaucher. Ce dernier ne croit pas à l'implication du Mossad ou d'une quelconque milice juive (même si il y a incontestablement un terrorisme israëlien sur le territoire français à cette époque touchant des personnalités et des organisations pro-arabes et révisionnistes ou négationnistes allant de 1976 à 1983 environ). Roland Gaucher fait un lien avec les réseaux Albertini et pose la question de savoir si le livre que préparait François Duprat sur le financement des partis politiques gênait particulièrement Albertini (Libération fera paraître le synopsis du livre après la mort de Duprat). Il est à noter que la rédaction de Paris-Normandie (Hersant) faisait paraitre immédiatement un article sur le fait que François Duprat était un informateur de la DST (sous le pseudonyme de Hudson). Information paraissant un peu trop rapidement pour ne pas être préparée à l'avance. Roland Gaucher fait référence à une conversation qu'il a eu avec Madelin. Ce dernier affirmait que François Duprat avait été expulsé d'Occident après que lui et ses amis aient découvert qu'il était un informateur des RG. Or lorsque Roland Gaucher lui demanda d'en apporter la preuve, Madelin lui affirma avoir détenu une lettre qu'il aurait arraché des mains de Dupratau moment où ce dernier la postait au RG. Bien entendu, il ne la possédait plus. N'oublions pas que l'extrême-droite était particulièrement divisé et qu'une fraction voyait d'un mauvais oeil une collusion avec les américains. François Duprat était un authentique national-révolutionnaire, souhaitant renverser le système, et ayant des liens avec l'ultra-gauche. ( (en collaboration avec Philippe Randa), Les Réseaux de Georges Albertini, Editions Dualpha, 2004. Ce livre a été réédité avec le premier volume sous le titre Des Rescapés de l'Épuration : Marcel Déat et Georges Albertini, Editions Dualpha, 2007.

Je souhaiterais savoir ce qu'il en a été de l'enquête de police. Qui a enquêté ? Quelles furent exactement les résultats de l'enquête ? Y a t'il eu une pression pour que les commanditaires de l'attentat ne soit pas retrouvé ? PierreRobin 8 mars 2008 à 21:00

[modifier] A vérifier

Il subsiste encore pas mal d'affirmations non sourcées dans cet article~, ou des choses approximatives comme "écrivain spécialisé" sur le fascisme. Il me semble que les éléments au conditionnel doivent soit passer à l'indicatif s'ils sont confirmés, soit supprimés s'ils sont douteux. C'est pourquoi le bandeau "à vérifier" me paraît utile. Galufa (d) 30 mars 2008 à 23:17 (CEST)