Discuter:Effet placebo

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Pour Lemoine, je l'ai entendu causer dans le poste, en ces termes, pas plus tard que mardi. J'ai commandé le bouquin.

Pour Latour, en attendant que je fasse une fiche de lecture, je vais te trouver son site et ce qu'il raconte sur la Science comme religion des sociétés développées. Pour Stengers, je m'y remets cet été. J'ai eu des obligations.

Stuart Little 17 jun 2004 à 13:30 (CEST)

Sommaire

[modifier] radiotéléphonie

Cela ne me semble pas un bon exemple pour l'effet nocebo. En effet, l'innocuité n'a pas été démontrée plus que la nocivité.

En revanche, le patrick Lemoine dont je parlais a raconté des effets secondaires suite à l'administration de placebos. Cela me semble plus probant.

C'est exact. L'exemple des antennes est parlant, mais relève plus de l'autopersuasion et de la méthode coué que de l'effet nocebo dont nous pourrions dire un mot, ici ou dans un article dédié ? --Tieum 17 jun 2004 à 14:09 (CEST)

Stuart Little 17 jun 2004 à 14:02 (CEST)

[modifier] Éthique des essais

Peut-être faudrait-il donner une idée du parcours des essais en double aveugle depuis :

  • donner la molécule aux uns
  • donner le placebo aux autres

cas des études sur l'efficacité de la Streptomycine sur la tuberculose pulmonaire en 1947

au principe actuel des études en double aveugle où l'effet des nouvelles molécules est testé de la façon suivante :

  • molécule nouvelle + molécule de référence

contre

  • placebo + molécule de référence

Stuart Little 17 jun 2004 à 14:06 (CEST)

Gros article en perspective si on veut prendre en compte tous les aspects du problème : médical, scientifique, réglementaire, éthique (volontaires sains, animaux), etc. Un travail à partager ? --Tieum 17 jun 2004 à 14:09 (CEST)

Hum.... La dernière fois que j'ai travaillé dans les affaires pharmaceutiques d'un gros labo, c'était en 1991. J'ai peur d'être complètement à la masse, ne serait-ce que par l'évolution de la réglementation européenne.

Mais je te promets mon assistance ponctuelle chaque fois que quelque chose me revient. En outre, je dois aller au grenier vérifier une documentation sur ma spécialité ici, la religion ; si je tombe sur la malette où j'ai rangé tout cela, mon aide sera plus consistante.

Stuart Little 17 jun 2004 à 14:17 (CEST)

[modifier] Le père fondateur

Le français Émile Coué à aussi participé à l'avancé de l'effet placebo, avec ses recherches sur sa méthode Coué.

[modifier] Simplification

Le premier paragraphe devrait être instantanément compréhensible, quitte à être approximatif. C'est pourquoi j'ai ajouté: Dis autrement, « ça marche juste parce que j’y crois », ou l’auto-suggestion appliquée à la médecine. ✒ Répondre (sur Wikipédia ou par mail) à David Latapie 16 avril 2006 à 01:48 (CEST)

Pourquoi pas, on peut user de formules chocs. Moez m'écrire 16 avril 2006 à 02:54 (CEST)

[modifier] Juste une petite remarque

Bonjour, dans le paragraphe "conséquences ...", il est décrit une expérience qui prouverait la réalité de l'effet placebo mais je me permet de mettre un bémol aux conclusions de cette études qui manque de rigueur (et peut être faudrait t'il mettre une mise en garde dans l'article). En effet, cette étude prouve que les patients "rassurés" par le diagnostique confiant du médecin ne sont pas revenus consulter ce dernier mais ne prouve en aucun cas qu'il y ait eu amélioration de leurs états. On peut tout simplement supposer que les patients qui se sont vu diagnostiquer le rétablissement aient changés de médecin et que ceux qui ont reçus un diagnostique flou ont ressenti (et c'est tout à fait logique) le besoin de rencontrer à nouveau le médecin pour surveiller l'évolution de leur santé.

Bonjour. Il ne s'agit en effet pas d'une étude rigoureuse - elle n'est d'ailleurs pas présentée comme telle - mais d'une simple illustration du phénomène. Le commentaire que l'on peut faire concernant l'état réel du malade serait valable pour tout état difficilement mesurable (par exemple la fatigue ou le mal de dos), que le médecin ne peut qu'estimer à partir des dires du patient. Quant au fait d'avoir consulté un autre médecin, rien n'interdit de le penser, mais il serait surprenant que tous les malades dudit groupe l'eussent fait et, de toute façon, cela relève de la simple hypothèse : la différence entre les deux groupes est significative et les chiffres concernent des patients réguliers de ce médecin et non des malades volages. Airelle 2 août 2006 à 00:21 (CEST)

[modifier] Placebo vs effet placebo

L'ai modifié l'introduction pour mettre en valeur la différence entre médicament placebo càd qui ne contient aucune substance active et effet placebo qui est la part ressentie comme subjective de l'efficacité d'un médicament réel. Par ex si je prends du lactose pour un mal de crâne et que je me sens mieux, c'est l'effet du placebo, si je prends une aspirine et que je me sens mieux en 3 minutes, c'est l'effet placebo de l'aspirine, car pharmacologiquement, l'aspirine n'est pas encore arrivée à son site d'action et reste située au niveau de l'estomac. Bon ça décale l'entrée dans le vif du sujet, si quelqu'un a un meilleur plan...Bigomar   Onkôse 30 octobre 2006 à 10:34 (CET)

[modifier] Placebo et Végétaux

Remarque: l'effet placebo fonctionne également sur les végétaux! Ainsi,une étude publiée dans la revue scientifique the lancet vient de montrer que la destruction des feuilles de certaines plantes d'intérieur par des moisissures pouvait étre endiguer simplement par pulvèrisation d'eau minérale sans recourir à des antifongiques chimiques potentiellement toxiques pour l'environnement. C'est-à-dire que l'efficacité de ces deux méthodes sont équivalentes. Les auteurs expliquent leurs résultats par la formation dans certains tissus spécialisés des plantes étudiées de composés naturellement fongicides et fongistatiques inhibant alors le dévelopement des moisissures néfastes à leur survie. Cette étude conclue que l'effet placebo observé n'est en réalité q'une réponse apporter,par un organisme vivant donné,à une agression ou une situation pathologique donnée faisant intervenir des mécanismes biologiques complexes et indépendament de la volonté du sujet ou malade.