Discuter:Dominatrice

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Sommaire

[modifier] Dominatrix ou dominatrice ?

Je ne vois pas trop de reference a Dominatrix, et si c'est dominatrice alors je ne vois pas pourquoi ca ne serait pas dans l'article de BDSM. --Tieno 10 déc 2004 à 17:20 (CET)

On pourrait utilement transférer le contenu dans Dominant Azoée

En français, dominatrix ne veut absolument rien dire. Il ne correspond à rien en français, et il n'est pas utilisé par les vrais pratiquants de BDSM, qui parlent de "Maîtresse", de "Domina", de "Dame", et d'autres termes y compris d'orgine anglaise comme "Mistress". Peut être est-il utilisé dans des BD érotiques d'origines anglo-saxonnes, mais c'est tout.


[modifier] Dominatrix est la traduction anglosaxonne de Dominatrice

Je reviendrai--Françoise Maîtresse (d) 29 mai 2008 à 22:41 (CEST)

[modifier] Qu'est-ce qu'une Dominatrice ?

J’ai répondu, a un anonyme virulent, ceci sur discuter:bondage mais ce texte a toute sa place ici !

Je le cite et je vais revenir sur l’article concernant la dominatrice.
J’ai eu un peu de mal à comprendre en arrivant ici, comment cela fonctionnait.
Ça y est c’est fait : neutralité, encyclopédie, référence etc.
Donc je vais m’y appliquer.
N’étant pas très ancienne, je n’ai pas voulu mettre le fameux bandeau « non neutre » à l’article concernant la dominatrice.
Je trouve cet article pauvre, non neutre et sans référence psychanalytique, philosophique. Lesquelles permettraient de comprendre que des deux côtés du miroir, dominant/dominé, celui qui est le plus impliqué dans le délire c’est le dominé.
Je considère donc, que lorsqu’un homme maso,
-animé en permanence par ses fantasmagories et qui les véhicule depuis 20ans, -
écrit ce type d’article, cela ne peut pas être neutre. Pour rester neutre il ne faut pas véhiculer des propos qui n’arrangent que soi.
Pour rester neutre, il ne faut pas être dans le champs du désir masochiste au moment où l’on écrit l’article.
Vous dites que j’ai un discours cultivé et élaboré, je vous en remercie. Puis, j’ai la pratique.
Je veux donc utiliser les deux pour établir un article neutre avec les références qui conviennent.
Je vais le plus rapidement possible entamer une discussion sur le fil de la Dominatrice.
Concernant l’article actuel Ce que le cercle d’Omphale assure est faux. Ce n’est que le fruit de ses propres fantasmes. Il ne faut pas croire que par hasard un masochiste rencontrerait une sadique.
Qu’il existe de nombreuses femmes dominatrices cachées qui vivent le masochisme dominant au quotidien dans le cocon familial.
Pas du tout, cependant des sadiques violentes il en existe, il existe bien des hommes battus au sens social du terme.
Or la femme dominatrice ne peut-être que l’élément dominant dans l’entité masochiste, la « masochisante » et non pas la sadique cf. Deleuze.
Les masochistes festifs vont en général voir une réalisatrice. Celle qui va les escorter au bord du précipice leur donner un vertige infernal tout en les protégeant de la chute.
La plupart sont à la recherche d’inconnu, de mystère, de suspens, le facteur suspensif cf T.Reik.
La citation de Nietzsche prend tout sa valeur lorsqu’il dit :
"Si on me donnait une place à choisir, très volontiers je le choisirais au paradis – mieux encore devant sa porte."
L’homme masochiste a besoin de cette attente, il a besoin de cette ascension vers la douleur ou l’humiliation qu’il va subir.
Le masochiste a besoin de pacte. Il veut signer explicitement ou implicitement un contrat avec celle qui est chargé d’exécuter son programme. Le masochiste a un programme cf Deleuze Guattari mille plateaux : Le CsO cf Deleuze Guattari mille plateaux. Le CsO http://fr.wikipedia.org/wiki/Mille_Plateaux
Tout ceci est très difficile à vivre en couple femme dominante/homme dominé. Difficile à vivre au quotidien.
Ce qui est possible c’est de le vivre de temps en temps à coup de séances. D’imaginer la rencontre accidentelle, imaginer un scénario, théâtraliser un moment de la vie du couple.
Impossible au quotidien car dans cette situation où l'on renverse les cartes, on vit à l’extérieur de la société. Pas grave s’il s’agit d’un moment théâtralisé. Mais le vivre au quotidien, la plupart du temps serait dans la schizophrénie.
Certaines dominatrices ont vécu le masochisme passif et deviennent actives, masochisantes. (vocabulaire Deleuzien). Elles virent presque toutes vers la vénalité.
Contrairement à ce qui est dit dans l’article actuel, les hommes masochistes aiment le plus souvent une ambiance donjon, cuir latex, (ils sont souvent fétichistes) accessoires (pour vous faire une idée vous pouvez aller voir www.Fetters.co.uk).
La dominatrice doit orchestrer des scènes ritualisées, c’est une dramaturge 1° caractère selonT.Reik.
Elle doit jouer du suspens, créer l’angoisse qui va agir sur la tension sexuelle 2° caractère selonT.Reik.
La dominatrice doit écouter le dominé, il a besoin d’exhiber sa douleur « Maîtresse je souffre pour vous » 3° Le trait démonstratif toujours selon T ReiK..
Reik nous dit que le masochiste envoie le sadique en éclaireur. C’est à dire qu’il provoque souvent le dominant. Le masochiste 4° caractère selonT.Reik.
Enfin la dominatrice est formée par le dominé qui lui indique son programme explicitement ou implicitement. Et ce cinquième caractère ajouté au contrat masochiste, .Et ce 5 caractère c'est Deleuze]
Enfin la dominatrice est le bouc emissaire, elle est celle qui endossé le péché, en séance ne dit-il pas très souvent : "Maîtresse je ne suis pas homo, vous savez je suis vierge du cul, mais si vous l'exigez, je veux bien me laisser prendre par votre gode ceinture."
Là il renvoie la faute vers la dominatrice et se déculpabilise du péché.
La majorité des hommes masochistes festifs ne veulent pas le vivre au quotidien et veulent une vie saine et rangée. Puis s’envoler de temps en temps vers un moment d'extase. Dans un besoin de spiritualité, il va déifier une simple humaine l’espace d’un instant. Il ressort libéré et dans bien des cas, jure qu’il n’y retournera pas.
Certaines femmes non vénales ayant échoué dans leur vie sentimentale tentent des rencontres dominantes. Mais si elles n’ont pas le feeling nécessaire cela ne marchera pas plus que dans leur vie passée.
D’autres femmes mariées le font par amour, pour faire plaisir, pour ne pas que leur mari aille en voir une autre. Avec plus ou moins de réussite… Mais toujours cela ne peut pas être vécu à temps complet.
Nous concluons provisoirement que dans la relation masochiste dominant/dominé. La dominatrice ou le dominateur n’est que le Maître en apparence.
En revanche si nous regardons la relation sadique Dominant/dominé. Le Maître est celui qui enseigne, contrairement à l’entité masochiste. Il s’agit d’une relation institutionnelle où le contrat n’a plus sa place.
De la volonté d'un maître ou d'une maîtresse qui chercherait à gouverner entièrement son partenaire. Il arriverait également à un paradoxe, celui d'abêtir sa compagne, son compagnon. On a longtemps refusé aux femmes, aux esclaves le droit d'apprendre. Pendant des millénaires on a cherché à ce que la femme soit un robot, à la maison pour les tâches ménagères. Aujourd'hui encore, il existe des hommes qui ne supportent pas les femmes carriéristes, libres, cultivées. Dans les relations SM, certains cherchent à posséder pleinement leur esclave. Ils voudraient les voir enfants, exactement comme notre société nous incite à l'abêtissement en nous montrant des émissions de télévisions débiles.
Certains maîtres, maîtresses sont sûrement amoureu(x) (ses), sincères et ne cherchent finalement qu'à posséder totalement l'être aimé. En oubliant la régression dans laquelle ils ou elles l'installent.
Dans son livre "l'exil intérieur " édition Puf :Roland Jaccard relève cette citation de Devereux :.
"L'infantilisme est, lui aussi, profondément enraciné dans notre modèle socioculturel. On sait que les schizophrènes - et même certains schizoïdes - paraissent pas leur âge. Or, curieusement, notre société voue un culte proprement fétichiste à cette apparence juvénile, nous incitant systématiquement penser, sentir et agir en enfants de 10 ans; de là à la régression foetale du schizo, il n'y a qu'un pas, et c' est le premier pas qui coûte. Mais des adultes intelligents et mûrs, voilà bien ce qu'aucun pays dit civilisé ne se soucie d'obtenir, car rien n'est plus difficile à gouverner que des adultes intelligents », Comment ne pas faire le rapprochement…
Mais voilà je m’échappe vers le sadisme social, il est très difficile de traiter , la dominatrice, le sadisme, le masochisme le maître sadique etc. séparément, j’en profite parce-que je suis sur une voie de discussion.
Ce que j’ai écris ci-dessus n’est qu’un brouillon qui servira peut-être à un article.
J’allais oublier de citer Roland Jaccard lui-même article paru dans Libération en 1991.


« Tout en haut de cette échelle, Sacher-Masoch place l'Amazone, la femme surgie de nulle part, qui ne craint pas les jugements d'autrui, ne dépend ni du père, ni du mari, ni de l'amant ; elle est la femme souveraine, qui signe avec les hommes des contrats à durée déterminée. Le plus curieux des livres réédités est la Femme séparée, où Julian le masochiste entreprend de faire l'éducation d'Anna, la femme faible, dépendante, inconstante dans ses entreprises et soumise aux préjugés, pour en faire une Wanda qui ne " vit que pour ses caprices, que pour ses fantaisies,... qui se joue de lui et qui dévore sa vie comme un vampire. " Chez Sacher-Masoch, l'esclave éduque le maître. Le contrat est d'abord un contrat d'apprentissage. La violence permet la rédemption et le vice y est, comme dirait Cioran, " une envolée de la chair hors de sa fatalité. " Roland Jaccard in Libération 1991.
Et une autre celle-ci est de mémoire, mais je rechercherai son origine, en tous cas elle est de Jean Ristat, fils spirituel de Louis Aragon :
"Le sadisme est universel et le masochisme est clandestin".
Là, c'est fini pour aujourd'hui, copie à travailler

--Françoise Maîtresse (d) 8 juin 2008 à 13:02 (CEST)

[modifier] Question

[modifier] L'auteur de l'article sur la dominatrice est-il prêt à donner les références réclamées par wikipedia?

1 ° Citation de l’article actuel concernant la Dominatrice.

"Ainsi, contrairement à l'idée répandue selon laquelle la domination serait obligatoirement une pratique rare, tarifée et entourée d'un luxe d'accessoires et de tenues hors de prix (Romain Bouteille: "Ou tu as le talent, ou tu as les accessoires!..."), la plupart des femmes dominantes officient, de fait, sans se revendiquer comme telles, dans le secret de leur relation de couple conjugale ou extraconjugale, sans publicité, ni donjon, ni "habit de lumière."

Il faut déjà arriver au bout de cette phrase sans fin. Mazette si c’est encyclopédique çà ! Je vois qu'on a demandé des références à ce que dit l’homme qui écrit au nom du cercle d’Omphale. Personnellement, je suis curieuse, j’attends.

2° citation

"La Maîtresse ou dominatrice se trouve souvent[réf. nécessaire] partager les points de vue du féminisme radical"

Là aussi, j’attends, pourquoi la dominatrice serait-elle dans le féminisme radical. L’amalgame est de taille. Allez donc direaux chiennes de garde qu’elles fricotent avec des dominatrices du monde érotique. J’imagine la réaction. J’attends des explications des notes philosophiques ou psychanalytiques pour étayer les dires de l’auteur, voire encore un vécu bien précis.--Françoise Maîtresse (d) 9 juin 2008 à 13:45 (CEST)

[modifier] A propos de Lune de fiel et des rapports masochites ludiques

Lorsque l’auteur de l'article sur la dominatrice nous donne en référence Lune de fiel, je crois qu’il mélange tout et qu’il s’agit d’un très mauvais exemple.

Lune de fiel est un film qui met en scène une relation passionnelle « amor à mort ». Les acteurs font preuve d’un sadisme aux frontières du crime. Rien à voir avec ce que vivent les partenaires dans une relation massochiste festive dominant /dominé --Françoise Maîtresse (d) 9 juin 2008 à 14:21 (CEST)


[modifier] A propos de l'archétype du masochiste qui forme sa dominatrice

L’article actuel semble être signé par l’organisateur du cercle d’Omphale.
Qui est-il ?
Il a longtemps écrit sur minitel et a envoyé des articles un peu partout plus ou moins publiés dans des magazines spécialisés. En suivant lien on retrouve un discours sans cesse renouvelé depuis vingt ans. On y retrouve certaines candides et par hasard une plus réelle qui, elle, crédibilise le cercle, sans vraiment en faire partie.

Nous aurions pu croire à l’innocence voire la sincérité de ce cercle. Du reste nombre de personnes et des mieux placées du monde BDSM s’y sont laissé prendre l’espace d’un court moment.

Voici une citation trouvée ici et qui ne manque pas d’audace
"Les conditions d'adhésion ne sont pas faciles. Pour être admise (les hommes en sont par principe exclus...) et pouvoir se revendiquer d'y appartenir ( il n'y a pas de cotisation ni de critère d'âge ou de physique...) il faut faire ses preuves de Maîtresse avec un soumis attitré. Cette appartenance (toujours temporaire, jamais définitive...), dépend essentiellement de la vérification continue de l'adhésion des intéressées aux principes fondateurs du Cercle, de sorte que les dérives, les personnes profiteuses, etc soient écartées."
Il faut donc faire ses preuves avec un soumis attitré. Il refuse les hommes, bien évidemment la maîtresse en herbe devra être l’espace d’un moment (toujours temporaire, jamais définitive) la dominatrice de l’organisateur qui va la former en tant que dominatrice.
Il propose donc implicitement une formation. Ceci est fort intéressant, car ce monsieur est archétype du Masochiste festif selon Deleuze. Il est un vrai Maître maso. Un clone de Sacher Masoch (je m’en expliquerai à propos de Masoch). Evidement, il ne veut pas de profiteuse, puisque « la profiteuse » c’est lui.
Il ne cherche ni une liaison style mariage, surtout pas une professionnelle. (il y a dans ses longs monologues sans fin une haine sous-jacente de celle qu’il nomme « la profiteuse ».
Il donne l’impression d’un homme voyeur dans une autre sexualité plurielle qui dirait à une femme qu’elle a les seins qui tombent ou qu’elle a de la cellulite ; uniquement, afin que cette femme se dénude pour prouver le contraire.
Il ne donne rien et prend tout.
Il est comme un gourou qui cherche à provoquer besoin de faire ses preuves pour avoir le contrôle. Mettre sans cesse le sujet en évolution. Garder le contrôle est aussi une technique de mari pervers.
L’évolution de cet individu sur ce plan là est assez intéressante et met vraiment en scène ce que nous dit Deleuze à savoir que le masochiste œuvre de pédagogie envers sa dominatrice.

Avant de toucher à l’article, je vais toucher à la rubrique cinéma qui mérite un peu plus d’explications et je vais le faire ici. Ensuite je rédigerai un nouvel article en totalité parce qu’un administrateur de wikipedia, me l’a conseillée.--Françoise Maîtresse (d) 10 juin 2008 à 10:49 (CEST)

[modifier] La dominatrice et le masochisme au cinéma

Il existe très peu de films underground traitant de la dominatrice dans le masochisme festif. On en note trois principaux. :


Bob_Flanagan Sick: The Life & Death of Bob Flanagan]est un documentaire : Se sachant atteint d’une maladie douloureuse et incurable, il va soulager le mal par le mal, c’est un documentaire mettant en scène des pratiques extrêmes, il combat sa maladie par le SM]

Parmi les films grand public : deux films importants :

  • La secrètaire- USA (2002) de Steven Shainberg avec James Spader, Maggie Gyllenhaal, Jeremy Davies, Amy Locane, Lesley Ann Warren.

Celui-ci concerne la relation dominateur à femme masochiste. Un excellent film grand public La jeune femme est une masochiste sociale et totalement déséquilibrée. Lorsqu elle sort de l’hôpital psychiatrique, elle est embauchée par un avocat dominateur. On a l’impression qu’il la sent, la respire. Il commence à la dominer, l’humilier, l’obliger à certaines pratiques d’obéissance. Il la fesse, elle devient accroc. Elle se soumet, là le mal encore est soigné par le mal. Elle va renoncer à se mutiler. C’est même le maître qui l’exige. Il la construit. Le masochisme mortifère se transcende en masochisme orgiaque. La masochiste et le dominateur fondent dans une relation follement amoureuse. Véritable petit comte de fées SM.

- Un autre film grand public où c’est la femme masochiste qui forme son bourreau, il s’agit de la pianiste interprétation prodigieuse d’Isabelle Huppert. Un professeur de piano de quarante ans, froide et autoritaire, vit une relation trouble avec une mère très possessive. Elle tombe amoureuse de son élève Benoit Magimel.. Habituée à l’automutilation, elle aussi. Elle provoque celui qu’elle choisit pour Maître, lui présente des objet de torture. Elle veut le former. Elle se détruit, mais tente également de le dérouter par tous les moyens. Ce film est d’une grande ambiguïté, il démontre aussi que la frontière entre le masochisme moral et le masochisme ludique est tenue. Cela finit mal. Les différentes fiches lues sur internet ne font qu’une petite approche et ne détaillent pas vraiment le masochisme dans le film, pourtant il y aurait beaucoup à dire. [1]


Parmi les films grand public on retrouve énormément de scènes que l’on peut attribuer au BDSM, et même Dans lune de fiel, ce qui est troublant à un moment, lorsque l’homme se cagoule en animal on croit y être. Mais ce n’est qu’illusion on est dans un tout autre univers.
Depuis une certaine évolution des mœurs dont Barbet Schoeder fut l'un des pionniers, on voit des scènes réellement masos au cinéma, mais ce sont juste de courts passages. Une scène de domination dans un donjon par exemple. Bien avant le sadisme et le masochisme étaient mis en scène de façon plus inaperçue. Notre société n'imaginait-elle pas encore que les images de chatiments puissent être perverties pour le bonheur du masochisme ?
Torture de pirates, scènes de fouet, les fessées de John Wayne etc.--Françoise Maîtresse (d) 11 juin 2008 à 16:59 (CEST)

[modifier] Debut du changement dans l'article

J'ai changé les quatre premieres lignes. Je dois mabsenter pour un deuil en province je pense finir fin de semaine prochaine--Françoise Maîtresse (d) 11 juin 2008 à 18:42 (CEST)

Vous le savez Françoise, je vous soutiens pour la rédaction de cette page. Le problème en l'état actuel c'est que l'article parle d'une chose qui n'existe pas, ou alors il n'y a de différence entre une dominatrice et une femme qui porte la culotte. La domination, lorsqu'elle se pratique, se pratique par sessions plus ou moins longue. Il m'est arrivé de rencontrer quelques personnes ayant vécu une de ces "appartenances" dans lesquelles l'élément soumis du couple ne cesse jamais de l'être. Le seul hic, c'est qu'à ma connaissance cela ne s'accompagne jamais de vie commune. Ce sont des relations faites de sorties et de rencontres à l'initiative du dominant (il peut être bon par ailleurs de noter que les appartenances semblent se produire bien plus souvent entre Maître et soumise qu'en Maîtresse et soumis). Quand il y a vie commune, les séances SM sont nécessairement entrecoupées de phases de vie de couple normale. A noter que le basculement vers la domination n'est jamais spontané et insensible, il est toujours verbalisé ou acté par un rituel convenu. On entre dans un autre monde. La séance est un acte transgressif qui rompt avec le déroulement de la vraie vie, c'est pour cela qu'on parle toujours de la "scène." La dominatrice joue un rôle très différent de celui qu'elle incarne à la ville ou au foyer.Stacy33 (d) 12 juin 2008 à 08:11 (CEST)

Merci c'est exactement dans ce sens que j'ai envie d'écrire l'article..--Françoise Maîtresse (d) 12 juin 2008 à 09:02 (CEST)