Dies Iræ

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Dies iræ est une locution latine signifiant Jour de colère.

  • Dies Iræ désigne un célèbre poème apocalyptique écrit en langue latine que certains attribuent au frère franciscain Thomas de Celano (1200-1260). Toutefois cette origine est contestée par la présence de cette séquence dans un manuscrit de la fin du XIIe siècle.
    • L'expression désigne un texte appartenant à la liturgie chrétienne des morts, dont ce sont les premiers mots.
    • Elle désigne également de ce fait en musique la partie d'un requiem composée sur ce texte.
  • Dies iræ est le titre d'une quadrilogie dont le livre "les négriers de Babylone", publié en 2005, est le premier volet. L'auteur est Pierre Léauté. Chacun des quatre tomes évoquera un fléau particulier. Plus de renseignements sur le site suivant [1].
  • Dies Iræ est le nom d'un groupe ayant eu dans ses rangs plusieurs membres de Vader.
  • Dies Irae est le titre d'un livre érotico-pornographique de Charles Bösersach, publié en 2003.
  • Dies Irae est le titre d'un sketch écrit par Pierre Desproges et joué dans son spectacle au théâtre Fontaine en 1984.
  • Dies Irae est le titre d'une musique de Deathgaze, groupe japonais, datant de 2004.
  • Dies Irae est une voie d'alpinisme située sur la face "est" du "mont Rose" (dans les Alpes Valaisannes) et debouchant sur la pointe Gnifetti (ou Signalkuppe);ouverte par "Ferran Latorre" et "Patrick Gabarrou" les 29 et 30 mars 1994


  • L'écrivain américain Philip K. Dick a publié en 1976, en collaboration avec Roger Zelazny, le roman de science-fiction Deus Irae (dieu de colère), dont le titre est une variation sur Dies Irae. Ce roman se situe sur une Terre post-apocalyptique, ravagée par les bombes atomiques.