Discuter:DEMOS

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Voila une bonne décision pour calmer les esprits. Je propose de reprendre l'historique tel que Chamole l'avait proposé, et qui n'avait pas l'air de faire problème, puisque le débat porte sur une période plus récente. Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi Chamole l'a enlevé ??? Fredtoc 26 mai 2007 à 11:44 (CEST)

[modifier] Historique

Je l'ai enlevé de l'article car je pense qu'il y a des choses à corriger ou au moins vérifier. C'est ce que j'essais de faire en ce moment, mais ça prend du temps... Je le remets donc dans cette nouvelle page de discussion en espérant que les intervenants auront à cœur de l'améliorer et non polémiquer entre eux sur l'actualité de DEMOS à propos la teneur de certains écris tendent à vérifier la Loi de Godwin

Voici donc le premier jet de l'historique de DEMOS tel que je l'avais mis sur la page de discussion archivée :Chamole 26 mai 2007 à 16:35 (CEST)

Je suis impressionné par la passion que suscite DEMOS dans la Wikipédia, aussi je pense qu'il serait bon de profiter de la présence de nombreux militants de DEMOS pour étoffer l'article, notamment pour lui créer un historique. J'avais l'intension de le faire un jour ou l'autre mais je crois que le moment est bien choisit. Je n'ai pas encore fait de recherche sur DEMOS mais comme j'ai croisé à plusieurs reprise cette sensibilité dans mes travaux sur l'UNEF(-ID). Je pense donc pouvoir proposer un début d'historique que chacun pourra critiquer. Je tiens à rappeler que je n'ai pas encore fait de recherches, il est donc très possible que je me trompe sur un point ou deux mais il serait dommage d'attendre et de ne pas profiter des bonnes volontés qui s'expriment ici.


I Origine fabiusienne

Officiellement, le courant fabiusien fait son entrée à l’UNEF-IDà l’occasion du congrès de 1991. A cette époque, l’UNEF-ID est très marquée par les luttes de courant du Parti socialiste, aussi l’entrée des fabiusiens semble naturelle.

Immédiatement, les fabiusiens se situe dans l’opposition à la majorité de Christophe Borgel. Ils décident donc d’intégrer la TUPI qui regroupe la plus grande partie des opposants. Mais ils peinent à trouver leur place dans cet alliage dominé par l’extrême gauche.

En 1993 une scission dans la majorité (Tendance indépendance et action) conduit à une forte bipolarisation de l’UNEF-ID. Les fabiusiens font alors le choix de soutenir la majorité. Mais le congrès de Clermont-Ferrand n’ayant pas réussit à départager clairement majorité et opposition, une année de crise s’ouvre dans le syndicat étudiant. Les fabiusiens comme les autres entament alors une réflexion sur eux-mêmes les menant à se renouveler.

II DEMOS

Sous la direction d’Arnauld Champremier-Trigano, les fabiusiens de l’UNEF-ID décident de s’émanciper de leur tutelle politique comme l'ensemble des tendances et des sensibilités ayant fait le choix de l'indépendance syndicale. Elle se fait désormais appeler Définition Étudiante d'une Majorité d'Orientation Syndicale (DEMOS). Le choix de ce nom constitue à lui seul une critique de la majorité de Philippe Campinchi. En effet, en réclament une « majorité d’orientation syndicale » DEMOS met en doute le sens des valeurs syndicales de la majorité. Cette analyse, loin d’être isolée, est au contraire la base de l’opposition incarnée par la Tendance indépendance et démocratie. Dans le courant de l’année 1994, DEMOS rejoint donc l’opposition et prend part lors du congrès de Paris au renversement de la majorité. DEMOS participe alors à la nouvelle équipe emmenée par Pouria Amirshahi et Arnauld Champremier-Trigano devient vice-président de l’UNEF-ID.

Au milieu des années 1990, DEMOS se replie sur ses AGE Rouen et Le Havre. La sensibilité entame alors une période de régression perdant le plupart de ses relais en dehors de ces deux villes. C’est ainsi que par exemple elle perd le secrétariat général à Toulouse en 1999.


III La réunification

Dans les années 2000, DEMOS retrouve de la vigueur. La sensibilité évolue et s’ouvre à certains courants alter-mondialistes et non "encartés". DEMOS dispose alors de trois postes dans les instances dirigeantes de l’UNEF, un au Bureau national (BN), un délégué au BN et une place à la commission de contrôle (CC).

Cette sensibilité a notamment été animée par Frédéric Vigouroux, Nathalie Beauval et Guillaume Legal.

Points à éclaircir :

1 date de la création de DEMOS. Sur l’article actuel, il est écris que DEMOS à été fondé dans la TUPI en 1993. Personnellement, il me semble que c’est entre les congrès de Clermont-Ferrand et Paris quand les fabiusiens s’émancipent de leur tutelle politique et rejoignent l’opposition (un peu un scénario à la rocardienne de la Tendance avenir à la Tendance reconstruire).

2 le replis du milieu des années 90 (sans doute entre 1995 et 97). Pourquoi DEMOS a-t-elle agit ainsi ? Il me semble, mais c’est à confirmer, qu’elle a été victime d’un changement statutaire lui faisant perdre le statut officiel de sensibilité ou du moins la possibilité de former une tendance. A partir de ce changement, il faut trois AGE dans deux académie or DEMOS n’a que deux AGE dans une académie. Que faut-il pour former une sensibilité ? Dans ce cas soit DEMOS se sent attaqué par la perte de la possibilité de former une tendance et décide de boycotter les instances nationales, soit la perte du statut de sensibilité condamne DEMOS au rempli.

3 Actuellement DEMOS est reconnue et active (comme le prouve le débat sur la Wikipédia). Si DEMOS a effectivement perdu à l’UNEF-ID le droit à former une sensibilité (encore une fois c’est à vérifier) alors dans l’UNEF réunifiée, elle l’a récupéré. D’où un retour au BN et à la CC et de manière général, un renforcement de l’activité.

4 Quels sont les animateurs de DEMOS hormis Arnauld Champremier-Trigano Frédéric Vigouroux, Nathalie Beauval et Guillaume Legal ? Chamole 7 mai 2007 à 13:32 (CEST) Les autres animateurs en sont Jonathan Halimi (responsable de sensibilité, membre du bn), Boris Chaumette (président de l'AGE de Rouen, délégué au Bn) et Romain Brehier (président de l'AGE du Havre)

D'accord avec Chamole sur la loi de godwin ;), j'avais par ailleurs signalé qu'on trouve aussi Pierre Catan (qui a suivi, semble-t-il, Arnauld Champremier-Trigano) et Benoît Houssin (au moment du congrès de l'UNEF à Lyon en 2003) comme animateur de DEMOS Fredtoc 26 mai 2007 à 16:41 (CEST)


Etant donné l'actualité de démos et de ses débats internes, je pense très malvenu de donner quelquonque légitimité aux nouveaux acteurs d'un camp ou un autre sur la période, et à plus fortement ceux qui ont été désignés par le bn dernièrement, (et non par la sensibilité) , à savoir boris chaumette et jonathan halimi. Seul le président d'AGE du HAvre, éventuellemment, qui ne semble par être sujet à polémiques peut éventuellement être retenu.

L'historique de Chamole, correspond en gros à ce que je sais de l'histoire de ma propre sensibilté, pour l'eclipse entre 98 et 00, elle est due à une rupture dans la continuité des générations militantes, avec le départ quasi-simultané de 3 responsables : Arnauld Champremier-Trigano, Pierre Cattan et Jean-Baptiste Dulos (pdt de l'AGE de Rouen), moi-même je n'arrive à l'UNEF qu'en 1998, et devient très rapidement le seul représentant de la sensibilité au sein de l'UNEF, alors que les 2 AGE (Rouen, Le Havre) entrent en déshérance. EN 2001, suite à un accord avec la fraction non drayiste de la Majorité nationale, j'entre au BN comme responsable de DEMOS à la suite de l'AG de réunification et reprend le suivi des 2 AGE, j'entame alors un travail de reconstruction avec l'aide de camarades locaux.
Pour les responsables de DEMOS : Il y a moi à partir de 2001 (successivement : délégué au BN, Membre du BN, vp de la CC), Benoît Houssin (délégué au BN pendant un an et demi (du congrès de Lyon à juin 2004), puis Nathalie Beauval (au BN du Congrès de Reims à celui de Lille) et Guillaume Legal (délégué au BN pendant la même période), puis actuellement, Jonathan Halimi (membre du BN) et Boris Chaumette (délégué au BN).
Pour revenir sur la discussion, je suis parti durant l'année 2005-2006 à l'étranger, laissant Nathalie Beauval et Guillaume Legal comme responsables de fait, à mon retour, j'ai constaté qu'ils avaient indubitablement attend leur plafond de compétence comme responsables de sensibilité, les militants de l'AGE de Rouen me sollicité alors pour que je les soutienne pour reprendre en mains la direction de la sensibilité, ce que je faits bien volontiers. Lors du Congrès local de l'AGE de Rouen (19-20 mars 2007), une majorité se prononce pour une équipe de direction locale avec Boris Chaumette pour président. Puis lors du Congrès nationale à Lille, les délégués (4/7 de Rouen, et 2/2 du Havre) se prononce pour Jonathan Halimi comme reponsable national et Boris Chaumette comme délégué au BN, et ils me demandent de prolonger mon mandat à la CC. Durant tout ce temps, la minorité conduite par Nathalie Beauval et Guillaume Legal, tant localement à Rouen, qu'au niveau national refuse tout solution de compromis, bien que nous et la direction de l'UNEF poussions en ce sens pour préserver avant tout l'unité de l'organisation. Au contraire, comme le raconte GL dans la discussion précédent, ils contribuent à la "bordélisation" du congrès (heureusement limitée). Au final, la direction de l'UNEF décide de suivre la solution choisi par la majorité de DEMOS, elle le fait lors d'un BN pour officialiser les choses.
Voila toute l'histoire
Frédéric Vigouroux, vp de la CC de l'UNEF, fvigouroux@unef.fr)



Apparemment certaines personnes (IP anonyme) ne comprennent toujours pas qu'une encyclopédie n'est pas là pour régler des comptes. Je crois qu'il vaut mieux ne pas s'abaisser à répondre un fois de plus. Par ailleurs, je suis en accord avec la version sur l'actualité de Demos de Frederic Vigouroux mais je pense qu'il est trop tot pour parler de tout ça dans Wikipedia. Souvent la vérité historique s'affirme avec le temps, quand les esprits se calment. Je propose donc qu'on ne publie pas l'actualité de la sensibilité pour l'instant et qu'on s'en tienne à un historique. Ainsi, je ne suis pas historien et ne dispose pas de sources certaines pour affirmer que la version de Chamole est rigoureusement exacte mais du moins elle correspond à ce que j'ai entendu dire sur notre sensibilité. Je pense que Frederic Vigouroux donne une explication claire sur le "passage à vide" de Demos en 1998-2000 et qui ne me semble pas polémique. Donc la version de Chamole, enrichie par la remarque de Frederic Vigouroux me parait tout à fait publiable. Etes vous d'accord ?

Par ailleurs, je propose qu'on ne publie que les noms des animateurs qui possèdent déjà une page sur Wikipédia pour limiter les noms propres inutiles (en particulier je ne vois pas l'intérêt pour des personnes extérieures à l'unef de savoir qu'untel fut membre du BN ou que je suis moi meme délégué au BN).

Boris Chaumette, président de l'AGE de Rouen, délégué au BN

Merci Boris Chaumette pour ton intervention. Je suis bien contant que l'historique que je propose, avec les corrections de Frédéric Vigouroux, corresponde globalement à ce qui te semble être l'histoire de DEMOS. Avec encore un tout petit peu de travail, je pense que l'historique pourra être publié. Juste un ou deux éléments de réponse sur le fonctionnement de la Wikipédia. D'abord, il me semble que l'actualité d'une sensibilité politique ou syndicale peut tout à fait être publié du moment qu'on le fasse avec un recul non partisan. Par exemple, il serait tout à fait déplacer de juger des qualités personnelles de telle ou telle personne. Mais dire que cette personne a été évincée cela me paraît être une information neutre et publiable sur la Wikipédia. Il suffit par exemple de lire l'article sur l'UNEF pour voir que l'actualité de ce syndicat quand il y a une scission ou une exclusion par exemple est immédiatement ajoutée à la Wikipédia. Deuxièmement, sur les noms des animateurs syndicaux. Il est essentiel de les publier et ce pour plusieurs raisons :
  1. les noms sont connus et publié officiellement sur le site de l'UNEF
  2. c'est un engagement important, public, et chaque cadre a sa personnalité donc sa méthode et cela a un impact sur le fonctionnement du groupe concerné.
  3. beaucoup de cadres syndicaux (pas tous certes mais un nombre non négligeable) ont par la suite une activité publique (politique, presse...) importante. Il est donc nécessaire pour bien connaître leurs parcours de savoir qu'ils ont joué un rôle important dans un syndicat étudiant.

Pour finir, voici l'exemple de la Tendance dite Villetaneuse. C'était une petite sensibilité/tendance de l'UNEF-ID. Dans ce cas, le nom des cadres est systématiquement mentionné de même que le nom des présidents de l'AGE de Villetaneuse, par essence cadre de la tendance. Voici le lien vers l'article Tendance Villetaneuse. Encore merci à tous ceux, Boris Chaumette ou Frédéric Vigouroux, qui participe,t à enrichir l'historique. Chamole 29 mai 2007 à 13:43 (CEST)



      Trois réactions face aux propos de FV :

En premier lieu, je ne le considère pas apte à présumer du degré de compétence des responsables de DEMOS à partir de 2005, en atteste le développement de nos deux AGE, leur poids face aux institutions locales et leur rôle lors de discussions nationales.

En deuxième lieu, la majorité lors du Congrès locale, bien loin d’être franche (entre 3 et 5 voix), s’est faite dans des conditions bien particulières (transmission de fichier, présence d’une personne dans un bureau de vote OBLIGEANT certains étudiants à laisser une procuration à BC, d’ailleurs Frederic doit le savoir, il rédigeait le PV et n’a pas daigné le consigner lors de sa rédaction).

Enfin, lors du congrès de Lille, je me remémore une réunion, mais vous n’avez pu participer au vote, étant mino, vous étiez parti antérieurement… Je me demande dès lors sur quels fondements sont établis ces nominations (et non pas élections !). Devant le poids des militants de Démos opposés à cette nomination, il avait été décidé de ne pas pourvoir aux postes de la sensibilité. Les postes se doivent donc d’être vacants. Quant au comportement du BN, en l’absence de tendances, ayant sûrement choisi le compromis des idées (restons ancrés dans le sectarisme) plus que celui de la démocratie (on le verra dans le temps ;) ), après l’exclusion des JCR, il nomme nos représentants (du jamais vu !!! des personnes extérieurs à un groupe décident de leurs représentants !). 100 ans, l’age de l’expérience, de l’ouverture et de l’indépendance… et à l’UNEF ?

Guillaume Legal


Réponse à Guillaume Legal. D'abord merci de participer à cette discussion de manière non anonyme. Ce n'est bien sûr pas à la Wikipédia de juger de la compétence de telle ou telle personne. Jamais dans l'article DEMOS, à mon sens, on ne trouvera de tels jugements. Si l'on doit parler de l'éviction de Nathalie Beauval et Guillaume Legal on parlera simplement d'un "conflit de personne" sans aller plus loin. En tout cas c'est ainsi que je vois les choses. Je précise toutefois que je fais partie des personnes qui avaient demandé des éclaircissements sur les causes de l'éviction de NB et GL car je soupçonnais une manoeuvre politique. Je suis donc satisfait d'avoir eu plus d'explications. Deuxièmement sur le fonctionnement de l'AGE de Rouen, ce n'est pas non plus à la Wikipédia d'en juger. De manière général, ce n'est pas à la Wikipédia de trancher les différents internes à l'UNEF. A titre informatif, ce n'est pas la première fois qu'un tel problème se pose. Cela a déjà été le cas avec les exclusions de la TTE en 2006 ou la création de la sensibilité UIS (Unitaire - Indépendance - Syndicale). Dans ces deux cas, les wikipédiens ont fait le choix de ne retenir que la version officielle c'est-à-dire la seule ayant des sources sûres. Les autres versions, comme ici, faisait état d'accusations de manque de respect de la démocratie interne sans toutefois pouvoir le démontrer. Or toute personne est innocente jusqu'à preuve du contraire. Donc s'il n'est pas possible de prouver qu'il y a eu des irrégularités, la Wikipédia ne pourra pas les prendre en compte. Si la réunion du congrès n'a pas respecté les statuts de l'UNEF, je vous invite donc à saisir la Commission de contrôle (elle est là pour ça non?) ou d'aborder le problème en CN. Si vous estimez qu'en interne de l'UNEF rien n'est possible, agissez en externe (presse, blog...) en ayant en tête que la direction de l'UNEF risque de ne pas apprécier cette contre publicité. Si l'une de ses actions, ou une autre, permettent de prouver l'existence de fraudes, alors oui, la Wikipédia pourra évoquer le sujet. Une dernière chose, nous sommes là pour écrire en commun l'historique de DEMOS. Si vous avez des éléments sur cet historique, y compris dans la période qui vous concerne, y compris si indirectement cela peut accréditer la thèse de votre bonne gestion (bien entendu ça ne sera pas écris comme ça, on se contentera des faits bruts sans jugement de valeur) n'hésitez pas à nous en faire part. Je veux parler par exemple d'une progression de DEMOS hors la Haute Normandie (on ne fait pas l'historique de l'UNEF Rouen ou Le Havre). Si par exemple vous avez obtenu de nouveaux élus DEMOS dans des bureaux d'AGE. Vous pouvez également signaler une progression de DEMOS dans les instances nationales : augmentation du nombre de poste au BN... l'obtention de responsabilités inédites au BN (présidence d'une commission...) ou l'élections nouvelle de membre de DEMOS dans l'une des grandes institutions françaises de l'enseignement supérieur : CNSER, CNOUS, OVE, LMDE... Chamole 5 juin 2007 à 16:32 (CEST)


En effet, alors tenons nous en à la "version officielle", les postes n'ont pas été pourvus lors du dernier congrès. De ce fait, DEMOS est actuellement sans responsables au sein du bureau national.



Si tu souhaites t'en tenir à la version officielle, les postes ont été attribués : - Jonathan Halimi, membre du BN et responsable de la sensibilité - Frederic Vigouroux à la CC - moi-même (Boris Chaumette) délégué au BN C'est la répartition qui était proposée par 6 délégués de DEMOS sur 9. Ces informations sont vérifiables auprès du BN.

Par ailleurs, puisque nous sommes dans l'historique, les anciens représentants de DEMOS étaient, avant le Congrès de Lille (2007) : - Nathalie Beauval, membre du BN et responsable de la sensibilité - Frederic Vigouroux à la CC - Guillaume Legal, délégué au BN

Boris Chaumette


Pour contribuer sur la question de l'officialité des postes, je ne vois aucune publication officielle de l'unef faisant état de l'attribution de postes au bn à boris chaumette et à jonathan halimi. Par ailleurs, je note que boris chaumette n'est pas m^me signataire du texte de démos au congrès. A ce titre, je m'interroge sur son parcours politique et à l'honnêteté de son appartenance à démos.  ;-)

En contactant Frédéric Vigouroux (vp de la CC suivant le site de l'UNEF) par mail, il confirme bien que Boris Chaumette et Jonathan Halimi sont les 2 nouveaux responsables de DEMOS. On peut considérer que c'est quasi-officiel, et que de toute façon cela sera confirmé, si besoin est lors d'un prochain CN précise-t-il. Sur la sincérité du parcours des uns et des autres, ce n'est pas à wikipédia d'en juger (vu que Guillaume Legal (ne serait-il pas GL d'ailleurs ??) est intervenu en signant, on peut supposer que tu es Nathalie Beauval, mystérieuse IP anonyme ??Fredtoc 7 juin 2007 à 00:11 (CEST)


Cette valse des pseudos en devient agacante n'est il pas, Fred V ou Fredtoc, ou membre de la CC... une seule remarque, la position de juge et partie ne te dérange-t-elle pas, de meme que de te poser des questions par l'intermediaire de ton pseudo (fred étant auteur de la demande à lui même, et qui lui même confirme la véracité de ses dire...) ?

Guillaume



Cela me dérange que certains préfèrent contribuer à la discussion de manière anonyme. Quand on dit des choses sincères, on n'hésite pas à se présenter. En tous cas je trouve la polémique sur la nomination des postes au BN particulièrement inintéressante. Les choses sont claires au BN et personne ne nie l'élection des représentants de Demos à part toi. Dès le début de la discussion sur Wikipedia, des voix se sont élevées pour accuser (à tort) l'Unef d'attitude anti-démocratique justement parce que les postes de Demos avaient été pourvus. Ton attitude se comprend encore moins, Guillaume, puisque tu étais présent lors de la réunion du BN qui nous a élu ; à moins que ton intérêt ne soit pas d'enrichir l'article sur Demos. Si tu souhaites contribuer à l'article, je préférerais que tu nous dises quels étaient les membres de Demos au moment où tu es entré dans le syndicat. Nous pourrons ainsi les interroger pour reconstituer l'histoire de la sensibilité.

Boris Chaumette





Cher Boris, lorsque Guillaume est arrivé à l'unef, soit bien longtemps avant tes quelques semaines passées au sein de démos, frédéric et moi même étions présents. Mais aussi Manes, Elisabeth, Fanny, Jérémy, Julien, Emmanuel, Hadrien, Etienne, Rodrigue, Baptiste entre autres... J'étais à cette époque présidente d'AGE. Dès le départ, Guillaume a sû attester de ses capacités militantes, en obtenant une VPE pourtant dans un contexte bien particulier (un de nos élus, militants en parrallèle au mjs, avait de façon assez surprenante décidé de s'impliquer sur une liste fage- fac verte, en engageant par sa personne l'unef!!). Avec Guillaume, nous avons ensuite poursuivi notre implantation en droit, à l'iut, au madrillet, en lettres, entres autres, si il ne faut parler que de l'université de rouen. Nous avons également très fortement contribué au lancement du mouvement fillon sur rouen, au moment où les lycées parisiens arrivaient en périodes de vacances. NOus avons ensuites participés très activement au mouvement sur le budget de l'université de rouen, sur lequel l'unef au niveau national, ayant d'autres congrès à préparer sans doutes, c'est très peu impliquée. Nous avons ensuites très amplement contribué à lancer la dynamique du moouvement anti-cpe, tu n'y étais pas si je me souviens bien, mais nous avons tenu la première ag avec les situationistes, en fac de lettres, qui a lancé le mouvement sur rouen, quelques jours après le début de squattage d'amphi. Ce n'est pas à moi de te vendre notre implication sur ces deux mouvements d'ampleur nationale, que nous avons tenu à quleques semaines de distances seulement. Je t'invite très fortement à consulter les archives de presse sur ces mouvements, ce qui te permettra de mieux te rendre compte de notre activité et de celle de Guillaume en particulier, dans son implication dans la sensibilité. C'est vrai que lorsque tu as adhéré à l'unef, à la fin du mouvement anti-cpe, alors que tu étais étudiant à la fois sur jussieu et sur rouen, tu n'as sans doutes peut être pas pû te rendre bien compte....

Ensuite, pour continuer sur l'implication de Guillaume dans l'histoire de la sensibilité, guillaume a défendu le souhait de démos d'une implication plus vive de l'unef sur la question du budget universitaire en septemebre octobre 2005, nous avons également demandé une évaluation par l'unef de la répression policière sur le mouvement anti-cpe. Nous avons aussi en début d'année poussé l'unef à faire campagne sur les étudiants étrangers : en plein Cachan, et mouvement resf, nous pensions plus pertinants de faire campagne pour le droit des étudiants étrangers que pour le pouvoir d'achat (par ailleurs, la notion auquelle renvoie le terme "pouvoir d'achat" nous est assez insuportable...) Tu n'es sans doute pas sans savoir que Guillaume, en tant que vpe sur notre age principale, a permis de faire avancer de nombreux dossiers portés par démos et nos a.G.E.. Nous avons par exemple, obtenu la suppression des notes éliminatoires et l'arrêt du contrôle des titres de séjour sur rouen, relancé la question de la gratuité du stationnement pour les étudiants, sur rouen et le havre. De façon générale, Guillaume fait parti de cette génération de démos, qui a choisie de concrétiser enfin les beaux projets de démos pas toujours appliqués. Notre génération s'est démarquée par une application réelle de l'indépendance de la sensibilité ( pour nous,ce n'est que aux militants, adhérents de notre sensibilité et non à des vieux trentenaires défraîchis qui s'emmerdent à toc) de décider de qui doit ou non prendre des responsabiités dans la sensibilité. Nous avons fait le choix des exigences de projets, plus que de compromis (par exemple, filer un de nos postes à des mecs qui ont été débarqués de l'extérieur dans notre sensibiltié sans même jamais y avoir militer ,juste pour préserver le sommeil de bruno julliard, ne nous intéresse pas, puisque de toute façon lorsuqe nous avons eu des ennuis sur le mouvement anti- cpe, comme plus de 4000 jeunes en France, ou lorsque nous avons eu le mouvement sur le budget, la direction majritaire de l'unef s'est toujours moquée de nous, ça ne nous a pas empêcher pourtant d'obtenir, bien que seuls, de belles victoires!).

Tu proposes à Guillaume d'interroger les acteurs de la sensibilité sur notre histoire. Je pense que c'est en effet une très bonne idée, je t'invite moi aussi à contacter Chareille Koka (première présidente de l'unef rouen réunifiée sur rouen), Rodrigue Guautier, Mathieu Brasse, Benoit Toulorge (tous présidents de l'unef au havre), à contacter Etienne Hornecker,Anne Lelandais (anciens trésoriers de l'unef rouen), Angélique, Manes(anciens secrétaires de l'age de rouen), à demander à benoît houssin, assad bouayoun, laurent cousin, marie georges, Lucie delaunay, baptiste clairet à tous leur demander ce qu'il pense de frédéric, de moi même , de guillaume, et de ce qu'ils pensent des problèmes actuels de démos, je pense en effet que les réponses seraient forts intéressantes, peut être un peu surprenantes pour toi... Cependant, compte tenu de ton passage éclair dans démos, tu ne les connais sans doute pas, n'hésites pas à me contacter, je te donnerai leurs numéros très volontiers... Ensuite, tu dis dans ton intervention : "En tous cas je trouve la polémique sur la nomination des postes au BN particulièrement inintéressante". Je suis en effet , que très peu étonnée que les questions directes de démocratie ne t'intéresses pas. Cependant, je me permets de te rappeler, avant que tu ne fasses des remarques que je trouve franchement déplacées à Guillaume, de te rapeler que tu te dois aussi, si tu es réellement là pour apporter des éléments constructifs à la discussion wikipédia, qu'il est nécessaire ici d'apporter des éléments vérifiables (et non, comme le fait fred, des réponses de mail que tu t'écrirais toi -même (de plus d'être une pratique complètement ridicule, c'est aussi une méthode bien peu fiable pour une encyclopédie....) D'ailleurs à ce sujet, détrompes toi, guillaume n'est pas le seul intéressé de connaître le jour du vote de démos, qui chose est sûre ne peux être au moment de la réunion de démos que vous avez quittez avant le vote pour ne pas être mis en minorité (d'ailleurs, j'ai gardé le texto du dimanche matin de caroline qui nous demandait de terminer rapidement notre réunion pour occuper la place dans la salle, frédéric a peut être aussi gardé le sien). Je suis donc mi aussi fort intéressée, en tant que responsable de sensibiltié, de connaître date et heure de ce fameux vote, ainsi que les militants de démos qui y étaient présents.

Enfin, une dernière chose, tu te plains que tous les intervenants ne se présentent pas. Pour ma part, voyant que, et depuis le début, certains, comme frédéric n'hésitent pas à mentir sur leur identité pour mieux pouvoir se parler à eux mêmes (quel humour vous avez quand même...!-)), que d'autres n'hésitent pas à se faire passer pour des militants de ma propre sensibilité, voir même de respectables (bien que malhonnêtes) cadres du groupe de la majorité nationale se faire passer pour des militants lambdas, je n'ai pas saisi l'intérêt de me présenter. De façon générale, si tous les militants de démos ne viennent pas enrichir vos impostures sur le débat de wiki, c'est que nous avons mieux à faire pour notre part (militer sur notre fac par exemple) et que nous avons finalement un peu de pitié pour vous et vos tristes et longues journées d'ennuie, qui vous permettent d'intervenir sur nos réponses à la minute même ou nous sauvegardons nos interventions... Mais bon, aujourd'hui pour toi boris, pour toi fred, cela sera un peu Noël, disons le 14 Juillet pour rester laïque, je vais signer cet article!

Nathalie

La question de ce fameux vote reste un mystère tout du moins pour la majorité des membres de la réunion qui vous ont vu partir "la queue entre les jambes". De meme sur le nombre de délégué. Pour ce qui est de l'histoire, on la connait tous, les stalinien faisaient aussi pitoyable dans le temps, les bureaucrates que vous etes leurs ont fait honneur.

Ce n'est plus la peine de chercher à mentir à tout le monde. On sait très bien que vous n'etes là que vous meme et que votre contribution au syndicalisme étudiant peut aujourd'hui se résume aujourd'hui à peu de chose. Si le piratage d'une sensibilité, la violation des principes fondamentaux du syndicalisme, la trahison des valeurs que portait notre sensibilité sont les seules contributions de votre passage alors oui vous aurez pu apporter beaucoup, sans doute trop. A coté de vous Jean Christophe Cambadélis et Christophe Borgel feraient pales figures en temps que fossoyeurs du syndicalisme étudiant. En ce qui me concerne je peux assurer et témoigner que malheuresement nous avons toujours (peut etre à tord selon certains) fait le choix de défendre les étudiants avant tout. C'est ma position, c'est ce qui a guidé mon engagement, et c'est ce qui le guidera. Malheureusement j'ai pu constater que ca n'était pas la position partagée par tous meme au sein de notre sensibilité (qui devraient pourtant se voir dégager de tout intéret politique). Effectivement entre ceux qui ont toujours revendiqué qu'ils n'attendaient que d'avoir leur petit poste au PS pour trahir, ceux qui préféraient investir l'UNEF pour recruter pour leur petit groupe politique ou ceux qui enfin en mal de sensations fortes préféraient jouer les petits godillots... oui tout ceci nous a quelque peut dégouté mes camarades et moi meme. Mais sachez que nous, nous renoncererons pas à défendre avec ferveur la Laïcité face au communautarisme, la défense des droits et des intérets des étudiants, l'éxigence d'un syndicat Indépendant et émancipé des chapelles politiques, l'assurance d'un syndicat démocratique et universelle. C'est là le premier de nos soucie. Vos petites considérations de "c'est moi le chef, c'est moi qui décide, toi t'es nul, tu me dois obéïssance..." c'est drole 5 mins mais sincerement pour ma part j'ai d'autre chose à faire. Allez, j'ai peut etre la solution pour vous : [[1]].

Hadrien


Intéressant le nouveau forum de DEMOS, chacun y exprime ses états d'âme. Qui est compétant? Qui s'ennuis? D'ailleurs Hadrien sur ta liste des fossoyeurs du syndicalisme étudiant, je suis surpris de trouver J.-Ch. Cambadélis qui est quand même l'un des fondateurs de l'UNEF-ID et son premier président à une période (1980-84) ou l'on pouvait difficilement parler d'abandon des valeurs syndicales. J'imagine que Camba n'est donc ici que comme mentor politique de Borgel et Campinchi (tiens d'ailleurs je suis surpris de pas l'avoir trouvé dans ta liste celui-là ). A ce sujet, il faut que je m'attaque à la bio de ses deux présidents. Mais revenons à nos moutons c'est-à-dire l'article DEMOS de la Wikipédia. Malheureusement, la plupart des intervenants on tendance à l'oublier (pas tous heureusement), à ce sujet merci à ceux qui ont confirmé mes recherches. Voici la dernière version de mes recherches pour la période commençant à la réunification, dites-moi si cela semble correspondre à votre vécu :

[modifier] La réunification

A partir de 2001, DEMOS est à nouveau représenté au Bureau national (BN). Un poste de délégué puis de membre à part entière, est attribué à Frédéric Vigouroux. La sensibilité évolue et s’ouvre à certains courants alter mondialistes et non "encartés". Les AGE de Rouen et du Havre retrouve une activité normale. En 2003, la création du magazine TOC par Arnauld Champremier-Trigano et Pierre Cattan, permet de facilité le recrutement de nouveau cadres parisiens. DEMOS a alors vocation à attirer à elle tous ceux qui militant à l'UNEF et ne se retrouvent pas dans les écoles de pensées structurées dans le syndicat (Emmanuellistes, NG, LCR ou Socialisme et démocratie). C'est ainsi que divers militants s'y retrouvent : des sociaux-démocrates indépendants, des militants d'Utopia, des communistes ou encore des militants associatifs venus par exemple d'ATTAC. DEMOS met alors l'accent sur la laïcité et sur l'extension de l'allocation d'études comme revenu minimum d'existence à l'ensemble de la société. À cette période DEMOS est représenté au BN par Benoît Houssin (membre délégué du congrès de 2003 à juin 2004) puis Nathalie Beauval et Guillaume Legal (la première comme membre du BN le second comme membre délégué du congrès de 2004 à celui de 2007). A noter le cas de Jean-Baptiste Prévost qui, vers 2003, prend ses distances avec DEMOS avant d'occuper diverses responsabilités nationales, notamment le poste de trésorier.

[modifier] Crise de 2007

En 2007, DEMOS traverse une crise. La principale animatrice, Nathalie Beauval, est contestée par la nouvelle direction de l'AGE de Rouen, présidée par Boris Chaumette, et par Frédéric Vigouroux membre de la Commission de contrôle. Ne parvenant pas à s'entendre avant le congrès les membres de DEMOS se révèlent dans l'incapacité de désigner des candidats pour occuper les postes réservés à cette sensibilité au Bureau national (BN) de l'UNEF. Toutefois, peu après les instances nationales de l'UNEF sont définitivement constituées. Elles comprennent pour DEMOS, Jonathan Halimi au Bureau national, Boris Chaumette comme délégué au BN, Frédéric Vigouroux vice-président de la Commission de contrôle et un militant du Havre à la Commission administrative.


Guillaume Legal à l'air de vouloir nier la nomination de J. H. et B. Ch. au BN cela parait pourtant acquis. Toutefois, en l'absence d'une source vérifiable et incontestable, si un consensus ne se fait pas on attendra la mise à jour du site de l'UNEF pour donner les noms des nouveaux représentant de DEMOS au BN. Il me semble toutefois que si chacun y met un peu de bonne fois, le consensus est possible. Chamole 11 juin 2007 à 14:38 (CEST)


Je pense que cette contribution représente assez justement les faits et qu'elle n'est pas polémique. Je voudrais préciser un élément. Les militants de Demos ne sont pas constitués à partir d'un groupe politique ni même d'une alliance mais sur des orientations syndicales. On ne peut donc pas faire une liste des partis auxquels les militants se rattachent. J'ai par exemple constaté que les militants de Demos avaient porté leurs suffrages sur des candidats complètement différents aux élections présidentielles (sauf l'UMP et l'extrême droite). Je pense donc qu'il faudrait supprimer l'énumération de Chamole (PC, Utopia, ATTAC...). En revanche, il faudrait bien signifier que Demos n'est pas associé à des partis mais se structure autour de thèmes syndicaux et sur des méthodes différentes de la majo (plus grande souplesse de fonctionnement). Par ailleurs, le "militant du Havre à la CA" est Romain Delaunay.

Boris Chaumette



Je ne vois pas en quoi cette énumération des courants politiques est gênante, au contraire, elle permet d'affirmer la volonté d'ouverture de démos au moins jusqu'à la fin du mandat de beauval. Ensuite, sur "La principale animatrice, Nathalie Beauval, est contestée par la nouvelle direction de l'AGE de Rouen" n'est pas juste. NI le secrétaire général, ni la vice présidente ne manifestent un désaccord. Ensuite si contestation il y a au sein de démos (c'est à dire, en reconnaissant que Boris Chaumette et Jonathan Halimi font clairement parti de Démos), elle est pré existente au congrès local. En réalité, dans la mesure où le fichier des adhérents est transmis au préalable par la directin de l'unef à Boris Chaumette, alors même que celui ci n'est pas au bureau d'age de l'unef et que cela se fait sans avertir aucun dirigeant de démos ou même de l'age (lors congrès local boris chaumette n'est pas président, ni même au bureau, hadrien régent est président), et à un moment où Boris Chaumette est très clairement en dehors de démos (rappelont qu'il ne fait pas parti des signataires du texte de démos pour le congrès), le problème sur l'age de rouen va donc au delà d'une contestation des représentants, c'est un accord qui est passé entre un groupe dirigé par des anciens dont frédéric vigouroux et arnaud champremier (qui recommande Jonathan Halimi aux responsables de démos, travaillant avec lui dans le magazine Toc)et la direction "majo majo" de l'UNEf dirigé contre la direction majoritaire de démos représentée par Nathalie Beauval et Guillaume Legal. Ne réussisant toutefois pas à dégager une majorité claire au sein de démos malgrès un congrès local très discutable sur les méthodes employées, un accord est passé entre la fraction beauval/legal et celle vigouroux/chaumette par l'intermédiaire de la majo majo pour partager l'age entre les deux groupes. Lors du congrès national, la délégation beauval/legal très clairement majoritaire sur celui chaumette/vigouroux , la direction majoritaire choisi la discrétion sur les accords passés avec vigouroux en décidant de ne pas pourvoir les postes pour démos lors du congrès. Les accords "majo majo"/vieux(vigouroux) dirigés contre les actuels dirigeants de démos (beauval-legal) est entériné lors d'un bureau national suivant. Sans même prévenir les dirigeants de démos, et alors que tous les représentants de l'oppposition ne sont pas présents, la direction de l'unef fait élire par le bureau national les représentants de démos, faisant ainsi élire jonathan Halimi membre du bn et boris chaumette membre délégué.


Bon alors, on est donc tous d'accord sur le fait que, quelque soit leur degré de légitimité sur lequel à titre personnel je ne me prononcerai pas, Jonathan Halimi et Boris Chaumette sont au BN l'un comme membre l'autre comme délégué. Reste deux points en suspend : la liste des courants politique, est-elle nécessaire? Je rappelle quand même que beaucoup de gens font traditionnellement un rapprochement entre pensée politique et syndicalisme étudiant. Ce qui m'a marqué chez DEMOS c'est précisément l'ouverture politique dont la sensibilité fait preuve, ça me semble donc intéressant à noter. Je précise que la liste n'est pas exhaustive et qu'elle concerne 2003, mais je ne vois pas l'intérêt de la mettre à jour pour chaque année, sauf changement de fond. J'ajoute que je crois tout à fait B. Ch. quand il dit que cela existe car il y a derrière une sorte de pacte syndicale et qu'il serait intéressant d'en donner un peu plus de détails. Sur ce point, je vous fais confiance pour donner des précisions car je ne voudrais surtout pas limiter l'histoire du syndicalisme étudiant à un rapport avec la politique. Je reconnais que c'est pas toujours facile, ici nous avons une occasion de mettre en avant le fond syndicale faisons le. Deuxième point la phrase sur l'équipe NB. Si elle vous gène en l'état, je vous propose de la reformuler et on décidera ensemble de la meilleur version. Dernière chose si chacun pouvait signer ses interventions se serait bien, se serait Noël, non pardon 14 juillet ;-) tous les jours… Chamole 13 juin 2007 à 09:07 (CEST)


NOus reconnaissons le procédé stalinien de la direction majoritaire de l'unef nommant sans démos deux membres au bn pour démos. Mais nous ne reconnaissons pas jonathan halimi ni boris chaumette comme représentants de démos, qui de plus est, en tenant leur légétimité exclusivement d'un coup de force de la majo majo et non d'une légitimité investie par les militants de la sensibilité , quittent d'une certaine façon démos pour n'appartenir qu'à la majorité nationale qui en imposant leur volonté dans des cadres extérieurs à la sensibilité et en excluant les membres de démos de cette décision, remets directement en cause l'existence de démos sur ses age et sa reconnaissance au sein de la majorité nationale. Pour ce qui est de la scission, je pense chamole que tu as tous les éléments pour comprendre la situation, je te fais autant confiance que l'on peux le faire en politique, pour trouver une formulation plus représentative de la réalité. Je te laisse proposer, car ma formulation comme celle de fred ou de qui que ce soit de la sensibilité sera forcément orientée. Néanmoins, de toute façon, sur démos, je ne vois pas comment un article pourrait être diffusé en outre passant l'accord de ses militants....! Un dernier petit point sans doute sur la division, si il y a réellement division au sein de démos (ce que je ne vois pas comme ça, pour moi, il y a d'une part l'impossibilité d'un militant angoissé par son avenir, qui alors qu'il entre dans sa dixième année d'unef au moins et qui, depuis l'obtention de sa maîtrise, avant 2001, n'a obtenu aucun autre diplôme à ma connaissance, ne parvient pas à quitter ses fonctions (mais ça reste plutôt pour moi d'un cas individuel et liés à quelques problèmes plus de l'ordre psychologique, et pour le coup je dis ça très sincèrement sans volonté de nuire mais parce que j'en suis convaincue) et d'autre part, une querelle locale et personnelle (entre moi et boris) instrumentalisée et amplifiée [(alors que boris chaumette est marginalisé de l'age de rouen, arnaud champremier envoie jonathan halimi dans démos, jonathan fera une intervention devant l'ensemble des militants de démos lors de la réunion du congrès de lille pour dire qu'il a été envoyé par "quelqu'un avec lequel il travaille (jonathan travaille (ait) à toc ) pour nous (beauval et legal) dégager"...] afin de récupérer la main mise sur une zone géographique intéressante pour la base militante qu'elle représente et sa situation politique contextuelle qu'il sent lui échapper... Au delà de ce qui bien sûre, n'étant qu mon analyse personnelle, bien qu'elle soit largement partagée par mes camarades de démos, il faut noter que ce que tu appelles "division au sein de démos" marque un démarquage entre non cartés (comme guillaume et moi-même) et cartés (frédéric est au ps et ne s'en cache pas, boris dit être au pc, quand à jonaz, le trésorier de l'age de rouen, il milite ouvertement chez les verts, parralèlement à son activité militante (partisianisme ostentatoire inconcevable vis à vis de démos tels que nous le concevons vis à vis de ce qui justement fait notre différence vis à vis des militants du bn de la majo, à qui nous reprochons par exemple de signer des textes du ps et notre exigence d'indépendance et de non cumuls des engagements, au sein de la sensibilité et sur les age). Pour toi Chamole, et parce que je reste persuadée qu'ne réalité nous nous connaissons bien, je signe cette intervention. Mais restant convaincue que cela ne veut strictement rien dire et que cela n'empêche à aucun moments les mensonges et les usurpations d'identité (ou amnésies actives), je te préviens que je ne te ferai malheureusement pas noël ou 14 juillet ou hanouka ou Divâlî ou 9 Décembre, tous les jours!-)) Nathalie


Mais bien sur... Nathalie pourquoi étais tu avec Guillaume à la fédération du PS 76 le soir des résultats des élections présidentielles ? Pourquoi as-tu voulu mettre Hadrien Regent président de l'Unef Rouen alors qu'il a été au BN du MJS (il n'y a qu'à taper son nom dans google pour le vérifier) ?

Pour contribuer à l'écriture de l'article, je propose la version suivante : "A partir de 2001, DEMOS est à nouveau représenté au Bureau national (BN). Un poste de délégué puis de membre à part entière, est attribué à Frédéric Vigouroux. Les AGE de Rouen et du Havre retrouve une activité normale. En 2003, la création du magazine TOC par Arnauld Champremier-Trigano et Pierre Cattan, permet de faciliter le recrutement de nouveau cadres parisiens. DEMOS a alors vocation à attirer à elle tous ceux qui militent à l'UNEF et ne se retrouvent pas dans les écoles de pensées structurées dans le syndicat (Emmanuellistes, NG, LCR ou Socialisme et démocratie). DEMOS regroupe ses militants autour d'une conception syndicale, les laissant libre de leurs opinions politiques. C'est ainsi qu'ont pu s'y retrouver des sociaux-démocrates indépendants, des militants d'Utopia, des communistes ou encore des militants associatifs venus par exemple d'ATTAC même si la majorité de ses membres reste sans étiquette. DEMOS met l'accent sur la laïcité et sur l'extension de l'allocation d'études comme revenu minimum d'existence à l'ensemble de la société."

Il reste à vérifier que l'énumération est exacte, ce que je ne peux malheureusement pas faire. Pour l'heure, les quelques militants de DEMOS ayant une double étiquette se retrouvent au PS, au PC, chez les Verts et au Secours Populaire. Pour Utopia et ATTAC, je ne vois pas de qui il peut s'agir.

Boris Chaumette

Il me semble que la nouvelle équipe, autour de Boris Chaumette à gagner le congrès de Rouen, et que l'AGE du Havre les a unanimement rejoint, on peut donc supposer que c'est elle qui représente la majorité de DEMOS ( majo dans la plus grosse AGE+soutien de la seconde AGE), à moins que l'équipe concurrente ne reconnaisse pas le congrès de Rouen, mais alors, pourquoi avoir signé le PV de ce congrès ? Ce n'est pas très cohérent ni logique.
Par ailleurs, wikipédia n'est pas le porte-parole de tel ou tel groupe, mais essaye d'écrire coopérativement des articles encyclopédiques, les membres d'un groupe n'ont donc pas la possibilité de faire acte de censure, mais peuvent apporter des infos objectives.
Pour revenir à l'article, on peut quand même préciser que tant au vu de ses militants, que des thématiques qu'elle propose, ainsi que de son action, en particulier au niveau rouennais, DEMOS est plus proche d'une vision "Première gauche" de la politique, pour ne pas dire "mitterrandiste" (avec notamment l'engagement privilégié avec la CGT et la FSU (issue de l'ancienne tendance U&A de la FEN), et la volonté d'un rassemblement de toute les forces de la gauche), typique de l'engagement des militants mitterrandistes au sein des organisations syndicales, particulièrement durant les années 70.Fredtoc 14 juin 2007 à 00:13 (CEST)


D'abord merci à Nathalie qui signe pour moi. Je rappelle pour la seconde fois ici mon parcours militant (cf. ma page de présentation). J'ai fait mes études à Besançon. J'ai adhéré à l'UNEF-ID au cours de l'année 1997 (je viens de me rendre compte que ça fait 10 ans... le temps passe). Je me suis rapidement investi dans mon AGE et passionné pour les débats nationaux. Mais je tiens à préciser que je n'ai jamais occupé de responsabilités nationales (uniquement locales). J'ai quitté l'UNEF(-ID) en 2000 peu de temps avant la réunification que j'ai pas vécu. Donc Nathalie si tu as participé à des CN (UNEF-ID) entre 1998 et 2000 on s'est peut-être vu sinon je vois pas d'où on pourrait se connaître car après 2000, j'ai arrêté toutes activités militantes, j'ai bien écris toutes activité militante pas seulement le syndicalisme étudiant.

Sinon pour répondre à B. Ch. Je pourrais justifier chaque courant politique énuméré en 2003, mais je suis pas sûr que les anciens militants de DEMOS aimeraient que leur nom soit associés à un courant politique sur la Wikipédia. Par principe je ne site que les principaux dirigeants alors disons pour commencer que FV me semble social-démocrate tendance mitterrandiste et que Benoît Houssin est passé par ATTAC. Mais je crois que plutôt que l'énumération, la formule de Fredtoc sur la première gauche est meilleure. J'ajoute qu'il me semble important de citer tous les anciens représentant de DEMOS au BN et non seulement FV. Une dernière chose, je répondrais sur la crise de 2007 un peu plus tard. Merci aux intervenants et merci de signer, ce serait disons 22 septembre tous les jours (cf. 22 septembre 1792 date de la proclamation de la République ou plutôt l’an I de l’ère de la Liberté). Chamole 14 juin 2007 à 09:37 (CEST)


Pour en revenir sur la rupture au sein de la sensibilité, les résultats du congrès local de Rouen semblent clairs dans la mesure où l'équipe Beauval/Legal, comme le précisait Fredtoc, a signé le pv de l'AG et que celui-ci a été ar la suite validé par la CNVM. Ainsi donc, la majorité obtenue par l'équipe orientée par B. Chaumette sur l'AGE de Rouen est incontestable. En outre, comment eut-on mettre en cause la légitimité et le caractère démocratique du congrès local alors que le bureau qui était en place aux yeux de la préfecture n'était en aucun cas légitime (Quand s'est déroulé l'AG des militants instituants un changement de bureau? Pourquoi l'ensemble des militants n'ont ils pas été invités?) De ce fait, comme il l'a déjà été remarqué, les délégués au congrès national étaient au nombre de 4 pour B. Chaumette et J. Halimi, joinent des deux délégués havrais, contre 3 délégués pour l'équipe Beauval/Legal. Or, jusqu'à preuve du contraire, ce sont bien les délégués des AGE qui ont un pouvoir de décision lors du congrès national. De même, alors qu'une réunion de sensibilité était organisée par le BN dans le cadre des débats à Lille, juste avant la réunion de tendance, il a été préférait par Beauval/Legal de ne pas y participait et d'organiser une autre réunion sans trop pouvoir dire où et quand (certainement à cause de l'attente de personnes non adhérentes qu'ils ont voulu faire venir dans l'espoir de connaître une majorité non représentative). Il ne faut cependant pas confondre remise en cause des méthodes syndicales de la majo majo et opposition totale avec le cadre de discussion de la structure! Les postes attribués à B. Chaumette et J. Halimi au BN sont donc légitimes. En ce qui conserne les liens militants des membres de la sensibilité, il me semble que cette ouverture de Demos à des gens venant de différents cadre extérieur est ce qui constitue la richesse de la sensibilité et des débats qui s'y joignent. Il me semble que Nathalie se glisse donc là dans une sorte de sectarisme. Les communistes seraient des traîtres, les JCR seraient des traîtres, les Verts seraient des traîtres, en fait tous ceux qui ne suivent pas la totalité de sa pensée seraient des traîtres. Très peu de socialistes seraient ainsi des traîtres (sauf F. Vigouroux selon elle, parce qu'il s'est comme la majorité d'entre nous opposait à l'équipe Beauval/Legal), mais cela s'explique en effet certainement par sa présence à la fédération au à la permanence locale du ps lors des trois dernier dimanche d'élections (22 avril, 6 mai, 10 juin). De même on remarque effectivement le lien entre H. Régent et le BN du MJS. A propos de mon propre engagement politique, je suis fier d'être à l'unef et je suis autant fier d'être chez les verts, car ces deux engements me tiennent à coeur et qu'ils ne sont en rien contradictoires. Je ne me suis jamais caché de ces engagements et j'ai même précisé mon appartenance politique lors de mon adhésion à l'unef, ce qui n'a pas posé de problème. Je sais effectivement faire la part des choses et ne pas mêler les deux mêmes s'ils sont très proches. Demos réunit donc (heureusement) des militants ps, verts, pc, lcr, mais aussi des sympathisants Modem. D'autres sont tournés vers un engagement associatif tel que des missions humanitaires à l'étranger ou des missions sociales locales. Je ne connais cependant pas d'adhérent à rouen qui soit membre d'ATTAC. Chacun de ses militants font partie intégrante de la sensibilité, possèdent le même droit de parole et ne sont en rien marginalisés comme le préconise implicitement Nathalie.

JonaS Didisse

Ps: Je suis désolé mais je ne possède aucune vidéo en lien avec mes propos!!


Après réflexion, plutôt qu'une liste de courant plus ou moins vérifiable ou une allusion à la première gauche chère à François Mitterrand je pense qu'on peut peut-être choisir la formule suivante : "DEMOS se définie alors comme un espace militant de gauche situé en dehors des courants politiques. " J'ai une autre phrase à rajouter, dites moi ce que vous en pensez : "Pour s'assurer de ne plus être assimilé aux fabiusiens certains membres de DEMOS surnomment leur sensibilité "SCALF" pour "Sensibilité carrément anti-Laurent Fabius"." Ce qui donnerai donc comme paragraphe :

"A partir de 2001, DEMOS est a nouveau représenté au Bureau national (BN). Un poste de délégué puis de membre à part entière, est attribué à Frédéric Vigouroux. La sensibilité évolue et s’ouvre à certains courants alter mondialistes et non "encartés". Les AGE de Rouen et du Havre retrouve une activité normale. En 2003, la création du magazine TOC par Arnauld Champremier-Trigano et Pierre Cattan, permet de facilité le recrutement de nouveau cadres parisiens. DEMOS se définie alors comme un espace militant de gauche situé en dehors des courants politiques. Pour s'assurer de ne plus être assimilé aux fabiusiens certains membres de DEMOS surnomment leur sensibilité "SCALF" pour "Sensibilité carrément anti-Laurent Fabius". À cette période DEMOS est représenté au BN par Benoît Houssin (membre délégué du congrès de 2003 à juin 2004) puis Nathalie Beauval et Guillaume Legal (la première comme membre du BN le second comme membre délégué du congrès de 2004 à celui de 2007). A noter le cas de Jean-Baptiste Prévost qui, vers 2003, prend ses distances avec DEMOS avant d'occuper diverses responsabilités nationales, notamment le poste de trésorier."Chamole 15 juin 2007 à 10:44 (CEST) PS : j'ai pas de vidéo non plus...


Bon vu qu'on a l'air à peu près d'accord, je mets l'historique en ligne. Chamole 20 juin 2007 à 15:28 (CEST)