Carabacel

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Le quartier Carabacel est situé directement au nord de la Vieille-Ville au-delà du Paillon, le torrent fluvial qui passe dans la ville (actuellement recouvert par des jardins ou des édifices publics pour sa partie centrale).

Sommaire 1 Histoire 2 Voies du quartier et constructions intéressantes 2.1 A 2.1.1 Alberti (rue) 2.1.2 Arènes de Cimiez (avenue des) 2.1.3 Assalit (rue) 2.2 B 2.2.1 Balestre (rue) 2.2.2 Biscarra (rue) 2.2.3 Blacas (rue) 2.3 C 2.3.1 Carabacel (boulevard) 2.4 D 2.4.1 Desambrois (avenue) 2.4.2 Dubouchage (boulevard) 2.5 E 2.5.1 Émile Bieckert (avenue)(1837-1913) 2.6 F 2.7 G 2.7.1 Galléan (rue) 2.7.2 Gallieni (avenue) 2.7.3 Gioffredo (rue) 2.7.4 Guillaume-Appolinaire (rue) 2.8 H 2.9 J 2.9.1 Jean Médecin (avenue) 2.10 L 2.10.1 Lamartine Rue 2.10.2 Lépante (rue de) 2.11 M 2.11.1 Maréchal-Foch (avenue) 2.11.2 Massingy (rue de) 2.12 N 2.13 P 2.13.1 Paris (rue de) : quartier carabacel 2.13.2 Pastorelli (rue) 2.13.3 Pauliani (avenue) 2.13.4 Pertinax (rue) 2.14 R 2.14.1 Raimbaldi (boulevard) 2.15 S 2.15.1 Saint-Siagre (rue) 2.15.2 Spitalieri (rue) 2.16 T 2.17 Y 2.17.1 Yves-Klein (place

[modifier] Histoire

L'origine étymologique est locale (car en celte = colline, mont, rocher). On pourrait supposer que la colline pouvait servir de carrière (la colline du Château étant réservée à la défense). Au Moyen Âge, le terme de faubourg Saint-Jean-Baptiste est figuré sur les plans et les écrits notariaux.

Ce quartier s'est développé très tôt dès la construction du pont Saint-Antoine, appelé ensuite Pont vieux lorsque le pont neuf situé sur l'actuelle place Masséna soit construit en 1824. Le pont Saint-Antoine permettait l'accés vers la France dont la frontière s'arrêtait aux rives du Var.

Les constructions remplacèrent les potagers du moyen-âge, le plan régulateur du Consiglio d'Ornato, mit fin dans les années 1850 à l'urbanisation anarchique du faubourg. Toutefois, le plan régulateur s'arrêtait - hélas ! - à l'actuel boulevard Dubouchage ce qui donna une certaine cacophonie urbaine au-delà du boulevard dans les années 1860...

Artillerie française installée sur la colline de Carabacel (sièges de 1698 ou 1704)

La colline de Carabacel était cultivée depuis longtemps d'oliviers. Des sentiers muletiers serpentaient vers Cimiez entre les propriétés (il reste l'ancien chemin des arènes et l'avenue des arène de Cimiez). Les troupes françaises du roi soleil utilisèrent son sommet pour y installer leurs pièces d'artillerie destinées à piloner la citadelle. Après le minage des remparts et de la citadelle en 1708, la ville explosa de toutes parts (de vigueur et d'expansion). Les couvents et belles demeures s'y installèrent durant 18e siècle. Avec l'essor touristique, les premiers hôtels se construisirent, de riches étrangers achetèrent des pans entiers de la colline (comme Emile Bieckert) avant revente en lopins urbains et luxueux.

[modifier] Voies du quartier et constructions intéressantes

Code postal : 06000

[modifier] A

[modifier] Alberti (rue)

• n°21 bis : Palais Eldorado

[modifier] Arènes de Cimiez (avenue des)

Classée dans ce quartier pour la partie basse, elle continue vers le quartier de Cimiez où elle débouche sur les arènes antiques romaines.

Départ de l'avenue des Arènes au niveau du boulevard Carabacel / Acropolis.

L'avenue des Arènes partie inférieure. Adroite, carrefour pour descendre vers la vallée du Paillon. Quartier de Cimiez, direction N.

L'avenue des Arènes sur sa partie supérieure, près des arènes de Cimiez. Quartier de Cimiez, direction N

• n°4 : Palais des Arènes : Civalleri et Delserre, architectes - 1908

[modifier] Assalit (rue)

Voie E=>W du boulevard Carabacel vers l'avenue Jean-Medecin. Petits commerces et habitations.

• n°1 (coin avenue Desambrois) : Palais Desambrois

Vue générale - Prise de vue vers le sud

Vue générale dans l'avenue Désambrois

La porte d'entrée nominative

[modifier] B

[modifier] Balestre (rue)

La rue débute à la hauteur de la rue Spitalieri pour terminer avec l'intersection de l'avenue du Maréchal Foch. Jadis, elle s'appelait la rue des Prés (seule la ruelle a conservé son appellation d'origine). Depuis 1933, elle commémore le docteur A.Balestre (1850-1922), professeur émérite, notable et érudit niçois.

La rue du Dr Balestre au carrefour de l'avenue Foch.

Le Castel des Prés dans la rue du Dr Balestre prolongée. Entrée nominative.

• Bergondi (rue) : Petite rue entre l'avenue Pauliani et Acropolis dont le nom provient de la villa du même nom (une famille locale).

Le jardin de la villa Bergondi, rue Bergondi.

L'entrée nominative de la villa Bergondi, rue Bergondi

• Bieckert : voir à Émile-Bieckert

[modifier] Biscarra (rue)

La rue part de l'avenue Jean-Medecin pour rejoindre l'avenue Lépante (circulation W=>E).

• n°9 : Palais Biscarra

[modifier] Blacas (rue)

Nom issu du nom d'un troubadour.

• n°8 (coin rue Pastorelli) : lettres M et L en fer entrelacées au dessus de la porte. Les auteurs parlent du Palais Marie Lévy qui valut à son architecte Charles Dalmas d'être primé en 1906. Voir détail de la porte d'entrée

• n°9 : Palais Pierre Clérissy

  n°10 : Palais Blacas : R. Livieri architecte 1936 ; Cagnoli & Olmi entrepreneurs 1936.

[modifier] C

[modifier] Carabacel (boulevard)

bd Carabacel vers le début SE. De la place Jean-Moulin vers le Bd Dubouchage. Vue NW.

Le boulevard Carabacel, vue en direction d'Acropolis (Est).

Dans les plans d'urbanisation initiaux (vers 1850), le boulevard fut interdit aux commerces et arboré (respecté à ce jour à une exception très acceptable des années 1925 (Voir Maison Charles Veran). Les n° pairs sont du coté de la colline de Carabacel.

• n°6 : Palais Royal

Nice. Bd Carabacel Palais royal. Vue générale extérieure.

Nice. Bd Carabacel Palais royal. Le portail d'entrée sur le Boulevard.

C'est une propriété privative de la famille Costamagna (héritage de la famille Veran).

• n°7 : Maison Charles Veran

• n°8 : Hôtel Impérial, ancienne villa Mayrargues privative d'un banquier parisien. Elle fut construite vers 1880 par l'architecte Sébastien Marcel Biasini.

  n°10 : Théatre de l'alphabet. Cours pour amateurs et parfois spectacles.

  n°14 : La Maison Blanche.

  n° 25 (angle rue Hôtel des Postes) : les auteurs signalent un palais Victor Debenedetti, 1908, dû à l'architecte Jean-Baptiste Bonifassi (1867-????)

  n°28 : Palais de Nice

  n°39 (?) : Palais Lorenzi

• Carabacel (place) : aujourd'hui place Jean-Moulin

• Chauvin (rue)

  n°6 : Maison Danice

[modifier] D

[modifier] Desambrois (avenue)

Nom simplifié de l'intendant sarde Louis des Ambrois de Nevache.

• n°1 : Palais J^es Cauvin : entrée « principale » 2 bd Dubouchage

  n°2 : Mas du Sablonat, 1925 Trachel. Voir image de La « Maison des nains ».

  n°3 : Palais Verda

  n°4 : Palais de Cimiez, Architecte: Honoré Aubert (1885-1974). L'immeuble possède une autre entrée au 1 montée Desambrois portant le nom de Castel de Cimiez. L'immeuble est situé à l'entrée de la montée vers la colline de Cimiez. Images : Vue générale et Entrée nominative.

  n°9 : Palais Stella : R. Livieri arch. 1937. Images : Vue générale et Entrée nominative.

  n°9 bis : Palais Hiverna. Images : Vue générale.

[modifier] Dubouchage (boulevard)

Nom simplifié de Marc Gratet du Bouchage, préfet sous Napoléon Ier Le boulevard Dubouchage constituait la fin septentrionale des plans urbanistiques du Consiglio d'Ornato, dans les années 1850.

• n°2 : Palais J^es Cauvin ; autre entrée au 1 avenue Desambrois
  

  n°4 bis : Palais Jacqueline

• n°6 : Palais de la Paix

• n°14 : Palais E. Amoretti : G. & M. Dikansky architecte DESA, architecte DPLG, Nice 1959

Vue générale

détail nominatif

• n°15 : Palais Dubouchage.

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• n°27 : Villa Rambourg, actuelle bibliothèque du patrimoine

  

  

  Vue générale

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[modifier] E

[modifier] Émile Bieckert (avenue)(1837-1913)

Origine du nom : Ce riche brasseur alsacien fit sa fortune en Argentine où il fonda la première brasserie du pays, la marque de bière est mondialement connue. Propriétaire d'une grande partie des terrains de la colline Carabacel, il y fit construire sa villa aujourd'hui disparue (avenue du Palais). Ses terrains furent fractionnés en parcelles très nombreuses. L'avenue zigzague en difficiles virages en épingle et laissent entrevoir des perspectives magnifiques sur la ville sur sa partie supérieure qui se termine sur le même versant de la colline dans le Bd de Cimiez dont le tracé date des années 1900.
A découvrir et visiter à pieds (environ 45 minutes).

• n°24 : Palais Langham. Près du bd Carabacel.

• n°42 : Palais L'Hermitage, ancien hôtel Hermitage.

• n°68 ex 5 : Palais Juliette

[modifier] F

• Foncet (rue et square) : quartier Carabacel

Au fond de l'image, la bibliothèque depuis 1927, ancienne villa Rambourg. Les jardins de la villa sont devenus ce square.

• n°4 (?) : Victoria Palace : la reine Victoria du Royaume-Uni séjourna plusieurs fois à Nice au soir de sa vie.

[modifier] G

[modifier] Galléan (rue)

les Galléan sont une famille du comté de Nice. Rue à vocation résidentielle.

• n°5 : Palais Galléan : S^te Littoral Construction, A. Hugonnard et Jude entrepreneurs ; H. Malgaud architecte, 1931

la Rue Galléan relie la place Sasserno au boulevard Maréchal-Foch. Sens de circulation E. A gauche, le lycée Calmette.

Vue générale du Palais Galléan au couchant

Portail nominatif du palais Galléan

[modifier] Gallieni (avenue)

Du nom d'un général durant la guerre de 1914-1918 Joseph Gallieni. Ancien quai sur les bords du Paillon lorsqu'il n'était pas recouvert, cette importante voie longe à présent le centre des congrès Acropolis.

• n°22 : Palais-Gallieni : C. Michelin architecte 1930

[modifier] Gioffredo (rue)

Le nom est issu de Pierre Gioffredo , religieux et historien de Nice.
Axe W->E pour le quartier, très commerçant.

• n°23 : Palais Gioffredo : MM. Civalleri et Delserre Architectes - 1907

  n°64 : Palais Gioffredo

[modifier] Guillaume-Appolinaire (rue)

Cette petite rue étroite relie le boulevard Carabacel à l'avenue Maréchal Foch. Malgré son étroitesse est assez fréquentée.

Voir aussi la Rue Massingy

[modifier] H

• Hancy (rue)- Félix Hancy (1829-1890) offrit des terrains pour l'ouverture de la rue. Vice-consul de France à Nice au rattachement.

• n°5 : Maison Saïsi de Châteauneuf. Images : Vue générale, et détail de l'entrée.

[modifier] J

[modifier] Jean Médecin (avenue)

Du nom d'un ancien maire de Nice. Principal axe S=>N entre la place Masséna et la voie ferrée. L'avenue héberge les plus grands magasins aux enseignes réputées.

Dans le découpage des quartiers, elle sépare le quartier Carabacel à l'est du quartier des Musiciens à l'ouest.

• n°43 : Palais du Commerce

  n°66 : (maison) Antoine Orengo

• Jean Moulin (place) : anciennement place Carabacel, près d'Acropolis.

• n°2 : Fanny Palazzo

Fanny Palazzo, 2 place Jean Moulin Nice-Carabacel

Fanny Palazzo, 2 place Jean Moulin, façade. Nice-Carabacel

Fanny Palazzo, portail d'accès Nice-Carabacel

[modifier] L

[modifier] Lamartine Rue

• n°6 : Palais du Centre : Lebègue arch. 1927 ; Hovnanian et C^ie constructeurs 1927

Palais du Centre, 6 Rue Lamartine. Vue NE. Décor de mosaïque entre le RdC et le 1er étage.

Palais du Centre, 6 Rue Lamartine. Plaques nominatives et faience.

• n°7-9 : Palais Reine d'Azur

Palais Reine d'Azur, vue générale panoramique en 4 photos de l'angle Spitallieri/Lamartine, direction W.

Palais Reine d'Azur, vue E de la rue Lamartine

Palais Reine d'Azur, plaque nominative.

• n°24 : Palais Lamartine : J. Sioly architecte, 1903, Faraut frères entrepreneurs

<center

Palais Lamartine, 24 Rue Lamartine Vue générale panoramique en 4 photos	Palais Lamartine, 24 Rue Lamartine	Palais Lamartine, 24 Rue Lamartine	Architecte: Sioly - 1903
Palais Lamartine. Entrée nominative.	Palais Lamartine, 24 Rue Lamartine Détail de l'entrée.

• n°39 : coin du [22] rue de Paris. Daté de 1925 et appelé Palais Adrien Rey du nom de son architecte, le tout par les auteurs.

[modifier] Lépante (rue de)

En mémoire de la bataille navale qui se situa au XVIè siècle au large de cette ville et opposa les flottes de galères chrétiennes unies contre les navires ottomans. Cette énorme bataille navale mit fin à la suprématie arabe en méditerranée.
Importante voie commerçante à double sens sur sa partie sud, puis sens de circulation N=>S sur sa partie septentrionale, après la place Toselli.

• n°2 : Palais Pauline (inscription sur le balcon du 2^e étage donnant sur la place Sasserno), une plaque indique aussi : Propriété J^ques Cauvin. Les auteurs précisent : construit par Bellon entre 1906 et 1911. L'immeuble domine la place Sasserno, du nom d'une poétesse.

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[modifier] M

[modifier] Maréchal-Foch (avenue)

Appelée jadis avenue Beaulieu

• n°8 : Villa Lairolle, 1904. Architecte: Hans-Georg Tersling. Propriété privée.

Villa Lairolle-Façades NE et SW. Style Louis XVI.

Villa Lairolle, 4 avenue Maréchal-Foch, façade SW. Entrée par le porche. Matin, circa 10h.

Villa Lairolle - Plaque nominative, rue d'Auzac.

• n°10 : Palais Foch

Palais Foch. 10 rue Marechal-Foch. Prise de vue circa 16h

Nice-Carabacel. Palais Foch. Entrée de l'immeuble.

• n°14 : Palais Saint Jean

Nice-Carabacel. Palais Saint-Jean. 14 rue Marechal-Foch. Prise de vue circa 16h

Nice-Carabacel. Palais Saint-Jean. Entrée de l'immeuble.

• n°26 : Palais Beaulieu

vue générale	Propriété J. Cauvin sur une plaque	J. Sioly architecte 1897]] sur une autre.	Le portail sur l'avenue
La porte d'entrée dans le jardin	Détail d'architecture]]

• n°28 : Palais Florentin

Vue générale ,et

détail du portail d'entrée

• n°29 : Villa Foch

[modifier] Massingy (rue de)

Le marquis de Massingy fut le propriétaire des terrains construits depuis.

• n°2 bis : Palais Massingy

• n°3 : Villa Lairolle, construite en 1904 par un politicien fortuné de la 3^e république. Encore occupée par un descendant, cabinet d'avocat. Architecte: Hans Georg Tersling.

Villa Lairolle-Façades NE et SW. Style Louis XVI.

Villa Lairolle, 4 avenue Maréchal-Foch, façade SW. Entrée par le porche. Matin, circa 10h.

Villa Lairolle - Plaque nominative, rue d'Auzac.

[modifier] N

• Notre-Dame (avenue) : quartier carabacel

  n°16 : Palais Bréa : les Bréa sont une famille de peintres niçois (François Bréa...).

• n°17 : Maison Fighiera-Martini de Castelnuovo, 1902. Images : Vue générale, et détail de l'entrée.

[modifier] P

• Palais (allée du) : quartier Carabacel-BasCimiez

  cette allée était proche du Palais Carabacel démoli vers 1960 et qui appartenait à Émile Bieckert (une rue porte son nom et se trouve à proximité). Carabacel est le nom d'un quartier et d'un boulevard.

[modifier] Paris (rue de) : quartier carabacel

• n°[22] : voir au 39 rue Lamartine : Palais Adrien Rey

  n°33 : Paris-Palace

[modifier] Pastorelli (rue)

C'est une partie de l'axe Ouest=>Est du centre de Nice. Artère très commerçante, elle regoupe aussi de nombreux locaux tertiaires (médecins, informatique, ...).

13 Rue Pastorelli, direction boulevard Carabacel (direction E)

• n°30 : Immeuble notable

Immeuble sans titre, 30 Rue Pastorelli Vue générale

Immeuble sans titre, 30 Rue Pastorelli Plaque à l'entrée

• n°38 : Villa Gues

[modifier] Pauliani (avenue)

Située à proximité des bords du Paillon (Acropolis), élevée au rang d'une avenue pour des raisons fiscales avec la proximité de la colline de Cimiez/Carabacel, cette voie permet de rejoindre la partie amont de la vallée du Paillon et le quartier Pasteur.

Maisons niçoises :

• n°11 : Maison J. Vissian, n°13 : Maison Charles Mari, n°15 : Maison J. Gancia

Rue Pauliani, vers la place du XVème Corps. Trois maisons dont il subsiste les plaques nominatives.	11 Rue Pauliani. Plaque nominative de la maison Vissian.	Rue Pauliani, maisons aux n° 13 et 15. Style des immeubles niçois de la fin du XIXè siècle.	Rue Pauliani. Plaque nominative au 13 de la Maison Charles Mari.
Rue Pauliani. Plaque nominative de de la maison Gancia au N°15.	Immeuble cossu niçois des années 1880-1910	Immeuble cossu aux initiales du propriétaire.	27 Rue Pauliani. Maison niçoise type 1880-1910.

[modifier] Pertinax (rue)

Petits commerces, siège de la Sécurité Sociale.

• n°20 : Palais Moderne

  n°26 : Palais Pertinax : entrée « secondaire » au 2 rue Saint-Siagre

[modifier] R

[modifier] Raimbaldi (boulevard)

Planté d'orangers, ce boulevard rejoint Carabacel et l'avenue Jean-Médecin et la gare centrale au-delà du carrefour.

• n°3 : Palais Raimbaldi

  n°17 : Maison F^ce Cauvin. Images : Vue générale et Détail nominatif de l'entrée.

  n°26 : Maison Bonfils, 1903. Images : Vue générale, détail de l'entrée .

[modifier] S

[modifier] Saint-Siagre (rue)

Petite traverse entre la rue Pertinax et le boulevard Raimbaldi (S->N)

• n°2 : Palais Pertinax  : entrée «principale» au 26 rue Pertinax

[modifier] Spitalieri (rue)

Du nom d'une famille: les Spitalieri de Cessole. La rue est située près du centre commercial Nice-Etoile, elle est piétonne.

• n°2 : Palais Graziella

Quartier Carabacel-Rue Spitalieri Le palais Graziella. Vue générale.

Le palais Graziella. Détail de l'entrée.

[modifier] T

• Tonduti de l'Escarène (rue) anciennement Tondut de l'Escarène (rue) : quartier Carabacel :

  n°2 : les auteurs (Hervé Barelli) parlent du Palais Audibert de Saint-Étienne ou Palais Renaud de Falicon. Palais construit en 1844-1847 par la famille Audibert possédant le fief de Saint-Étienne-de-Tinée et passé par mariage à la famille Renaud de Falicon (fief à Falicon). Le mode de désignation du bâtiment est semblable à celui des palais du Vieux-Nice.

  n°27 : Maison Pierre Crulli

• Tiranty (rue)

Petite ruelle parallèle à l'Avenue Maréchal Foch au nord.
Le nom : Très ancienne famille du comté de Nice originaire de Levens. Elle possédait de nombreux terrains lottis entre la future place Masséna et la future voie ferrée. La majeure partie de ces terrains, comprenait jardins, prairies, constructions et exploitations commerciales, et composait un domaine important.

• n°1 : Villa Emilie. Probablement appartenant à la famille Tiranty. Le coté nord ne paye pas de mine, mais la belle façade se trouve sur l'Avenue Maréchal Foch, sa façade sud est bien ensoleillée.

Villa Emilie, façade du coté avenue Maréchal Foch

Villa Emilie, entrée rue Tiranty.

[modifier] Y

[modifier] Yves-Klein (place

Quartier Carabacel / Paillon

Le MAMAC. Pl Yves-Klein. Direction SE, le pl Garibaldi se trouve à 50 mètres dans cette direction.

La place Klein située au cœur du MAMAC (prise de vue en direction de la place Garibaldi)

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