Discuter:Alain Juppé

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Sommaire

[modifier] Neutralité

Autant il est normal qu'une page encyclopédique sur un homme politique fasse état de ses démêlées judiciaires, autant il convient de se limiter aux affaires judiciaires stricto sensu. Dans le chapitre == Affaires Judiciaires ==, il est écrit : "En 2000 et 2001, des manifestations et autres actions de revendication ont eu lieu en faveur d'enfants gitans sédentarisés au nord de Bordeaux, aboutissant au relogement de toutes les familles par la ville de Bordeaux." Cet épisode de politique locale bordelaise n'a rien à voir dans ce chapitre, n'ayant aucune conséquence judiciaire. Pire, de par sa localisation dans ce chapitre, le lecteur peut penser que la ville de Bordeaux a été obligée de par le juge de reloger les familles, ce qui n'en est rien. Cette phrase pourrait donc trouver sa place dans un autre chapitre relatant l'action politique d'Alain Juppé en tant que Maire de Bordeaux, chapitre qui manque.


Je suis tout à fait d'accord avec vous au sujet de ces condamnations qui sont plutôt rédigées de manière neutre. Cependant d'un point de vue encyclopédique, cette page reste assez orientée, pas nécessairement dans le contenu mais plutôt dans les proportions : La moitié du texte est consacré aux affaires judiciaires et peu de choses sur son action en tant que premier ministre (qui a pourtant été importante, en témoigne l'ampleur des manifestations qui ont marqué la fin de son séjour à Matignon).

Plus généralement, beaucoup de pages d'hommes politiques ont des informations très fournies à propos des démélés judiciaires et relativement peu de contenu sur les actions et les idées... donnant une image plutôt négative, et en tout cas peu objective de la politique en général. Ce n'est pas le cas sur la plupart des articles des wikipedia étrangères qui semblent mieux faire la part des choses entre les affaires médiatisées et le fond du sujet politique proprement dit, et donner plus d'informations "intéressantes" au lecteur qui recherche des informations politiques. --Avililui 17 juillet 2006 à 14:45 (CEST)

Qu'en pensez-vous? des bonnes volontés neutre pour ajouter du contenu pertinent?

[modifier] Passage non neutre

L'AFFAIRE DES EMPLOIS FICTIFS DE LA MAIRIE DE PARIS.

Depuis cinq ans déjà, Alain Juppé est mis en examen dans le cadre de l'affaire du financement du Rassemblement Pour la République, dont il fut secrétaire général, tout en étant également, de 1983 à 1995, maire adjoint aux finances de la Ville de Paris. En quoi consiste cette si médiatique affaire ? Tout simplement, le parti gaulliste avait pris l'habitude de faire rémunérer ses cadres par l'intermédiaire de la Ville de Paris, d'une part, et d'autre part par une vingtaine d'entreprises, souvent du BTP. Les salariés ne travaillaient pas pour les entreprises qui les payaient, le RPR quant à lui ne payait rien et bénéficiait de leur travail. Dans cette affaire Juppé est mis en examen en 1998 pour " abus de confiance, recel d'abus de biens sociaux, et prise illégale d'intérêt " : les deux postes qu'il occupait alors faisaient de lui un élément clé de ce système de financement occulte (d'autant que sa secrétaire personnelle au RPR fut elle-même rémunérée par une entreprise - le groupe immobilier SEGUR - puis par la Ville de Paris).

INTERVENTION DU POUVOIR POUR SAUVER LE SOLDAT JUPPÉ

L'enquête suit son petit bonhomme de chemin. Au détour d'un rapport de police, le juge d'instruction, Patrick Desmures, tombe sur une lettre manuscrite, signée de la main du maire de Paris d'alors, également président du RPR, Jacques Chirac : cette lettre prouve la connaissance qu'avait Jacques Chirac du système illégal de financement du RPR, puisque la lettre préconise un avancement pour une secrétaire de la ville, dont le travail était exemplaire… au sein du RPR ! Le pouvoir central (Jacques Chirac), face à ces nouveaux rebondissements, décide alors de muter le procureur chargé de cette affaire, Yves Bot, à la tête du parquet de Paris et nomme à sa place Bernard Pagès. Le juge d'instruction Desmures est quant à lui remplacé par le juge Philibeaux. Le nouveau procureur décide alors d'accorder à Juppé un non-lieu partiel : à rebours de la position de son prédécesseur, il estime que Juppé ignorait que le RPR était financé par des entreprises, tout en connaissant, de par sa fonction, le financement illégal par la Ville de Paris. Seul reste alors le délit de " prise illégale d'intérêt ". D'innombrables affaires sont suivies par la justice en parallèle, concernant le financement du RPR. La plus médiatique est certainement celle des HLM de Paris, dans laquelle, pour ne pas se présenter à la convocation en tant que témoin du juge Halphen, Jacques Chirac fut déclaré " immunisé " contre toute poursuite pénale. Un autre épisode qui prête tout autant à la rigolade est celui de l'hélicoptère dans l'Himalaya, envoyé là-bas pour chercher le procureur pouvant classer une affaire mettant en cause Xavière Tibéri… D'autres emplois fictifs font également l'objet d'une enquête (les " chargés de mission "), la justice se penche aussi sur les marchés des lycées d'Île-de-France, sur les frais de bouche des époux Chirac à la mairie de Paris, les voyages privés de Jacques…

LES APPARTEMENTS DE LA RUE JACOB

Mais revenons à nos moutons : ne peut-on absoudre et pardonner Alain Juppé, simple soldat oeuvrant, désintéressé, dans l'intérêt de son parti, sous les ordres de son chef et modèle, Jacques Chirac ? Peut-on réellement mettre en cause, sur le plan de la probité, cet homme toujours " droit dans ses bottes " ? Pour mieux cerner celui qui se présente comme l'incarnation de l'honnêteté, repenchons-nous un instant sur l'affaire des appartements de la rue Jacob. En juin 1995, le Canard Enchaîné publie un document interne de la ville de Paris, signé de la main de cet homme intègre, donnant ordre à ses services de diminuer le loyer de son fils Laurent, logé dans un appartement relevant des discrètes propriétés de la Ville de Paris, rue Jacob. Cependant, plus de 60 000 personnes attendaient à Paris l'attribution d'un appartement à loyer modéré. De plus, Alain Juppé s'octroya à lui-même, et à d'autres membres de sa famille, un appartement dont le prix au mètre carré défiait toute concurrence. Non content de tant de bonté, il fit réaliser aux frais des contribuables, dans ces mêmes appartements, plusieurs millions de francs de travaux. L'affaire éclata alors, une association de contribuables parisiens saisit le procureur de Paris Bruno Cotte. Celui-ci décida de classer l'affaire, en dépit d'une jurisprudence constante, selon laquelle tout élu ayant accordé des avantages de cette nature à ses enfants avait été condamné.

AUTRE INTERVENTION DU POUVOIR.

Un rapport du Service Central de Prévention de la Corruption, dirigé par le procureur Challe, fut rendu, accablant et pour Alain Juppé et pour le procureur qui avait décidé de classer l'affaire. Ce rapport a bien failli ne jamais être rendu. Alexandre Benmakhlouf, directeur de cabinet du Garde des Sceaux de l'époque, Jacques Toubon, avait en effet convoqué Challe, pour exercer sur lui des pressions " amicales ", lui expliquant le primat des intérêts du pouvoir en place sur la loi et le droit. Le procureur Challe fut à la suite de cet entretien " démissionné " d'office, chose qu'il dut démentir, choisissant plutôt de publier son rapport. L'association des contribuables, au vu de ce rapport accablant, saisit une nouvelle fois la justice. Une fois encore, aucune poursuite ne fut exercée, le procureur se contentant de demander à Alain Juppé de quitter les lieux. Cette jurisprudence d'un nouveau type apparaît fort étrange à nos yeux citoyens, plutôt habitués à voir les auteurs de menus délits envoyés en prison… L'ampleur des affaires concernant le financement du RPR n'a d'égale que le silence de la justice, ou du moins le peu de suites données aux poursuites judiciaires. Le procès d'Alain Juppé est l'occasion de désigner enfin des responsables, non à la vindicte populaire mais à la connaissance des citoyens électeurs. Cela même si le principal responsable est aujourd'hui intouchable. Ce serait un moyen de redonner un peu de crédit au système " politico-judiciaire ", de croire à nouveau à la fameuse séparation des pouvoirs… Car malgré les dénégations continues d'Alain Juppé, " droit dans ses bottes ", " tout le monde savait au RPR " l'illégalité du système de financement.

Une bonne âme pour neutraliser tout ça. Turb 13 jan 2005 à 12:24 (CET)

Monsieur, plutôt que de tout supprimer, ne jugez-vous point utile d'amender le présent texte ? Quelle est votre définition de la neutralité, quelle légitimité est la vôtre d'en juger ? Ce passage permettait de connaître un passage totalement occulté sur le présent site de la biographie d'Alain Juppé. Doit-on nier son existence; ou essayer d'en informer les lecteurs potentiels ? Merci de votre réponse.

J'avais tout à fait l'intention de le neutraliser, mais il est tellement non-neutre (= discours à charge), que, n'ayant pas le temps en ce moment de le neutraliser, je l'ai placé ici en attendant que je trouve ce temps ou que quelqu'un s'en occupe.
J'ai conscience que la plupart des faits sont exacts, mais c'est surtout le ton de l'article — plus journalistique type Canard Enchaîné section opinions qu'encyclopédique — qui marque la non-neutralité. Il faut ajouter à cela un grand nombre de commentaires clairement non-neutres (exemple pris au milieu : « occasion de désigner enfin des responsables »)
Pour ce qui est de ma légitimité, je n'en ai pas plus que chacun des contributeurs de la Wikipédia.
Turb 14 jan 2005 à 21:37 (CET)
 : Excellente réponse, excusez mon emportement. Mais je juge vraiment important de faire connaître ces informations. Enfin, je pense que l'objectivité et la neutralité sont trop souvent revendiquées pour cacher souvent ce que l'on pourrait nommer une censure plus ou moins cachée... Enfin, le Canard Enchaîné est un excellent journal, petit "pilier" de notre démocratie : le ton ne peut pas toujours être reproché, si la relation des faits est exacte, ou veut l'être... Je compte sur vous et les autres contributeurs pour améliorer ce passage, voire le changer totalement, démocratiquement. L'essentiel est d'en parler... Merci!


[modifier] Neutralité

Je suis tout à fait d'accord avec vous au sujet de ces condamnations qui sont plutôt rédigées de manière neutre. Cependant d'un point de vue encyclopédique, cette page reste assez orientée, pas nécessairement dans le contenu mais plutôt dans les proportions : La moitié du texte est consacré aux affaires judiciaires et peu de choses sur son action en tant que premier ministre (qui a pourtant été importante, en témoigne l'ampleur des manifestations qui ont marqué la fin de son séjour à Matignon).

Plus généralement, beaucoup de pages d'hommes politiques ont des informations très fournies à propos des démélés judiciaires et relativement peu de contenu sur les actions et les idées... donnant une image plutôt négative, et en tout cas peu objective de la politique en général. Ce n'est pas le cas sur la plupart des articles des wikipedia étrangères qui semblent mieux faire la part des choses entre les affaires médiatisées et le fond du sujet politique proprement dit, et donner plus d'informations "intéressantes" au lecteur qui recherche des informations politiques.

Qu'en pensez-vous? des bonnes volontés neutre pour ajouter du contenu pertinent?

[modifier] Inégibilité

À ma connaissance, les dix ans d'inégibilité infligé en première instance constituent une peine décidée par le tribunal correctionnel de Nanterre, et non une conséquence immédiate et inévitable de la condamnation à dix-huit mois de prison avec sursis. J'ai donc modifié le passage en conséquence. O. Morand 6 mai 2005 à 23:29 (CEST)

Alain Juppe n'etait il pas au gouvernement lors du drame de Tchernobyl?

[modifier] Mandats électifs

Je relève une légère inexactitude dans la liste des mandats exercés par Alain Juppé. Sont listés dans cette catégorie ses mandats électifs, aussi bien que les fonctions ministérielles qu'il a exercées. Or, les fonctions de Premier ministre et de ministre n'étant pas des mandats politiques, il serait plus judicieux de les regrouper sous le terme "Fonctions ministérielles".

[modifier] Citation

C'est n'importe quoi cette citation... Qu'est-ce qu'elle fait là??

[modifier] Election municipale octobre 2006

On doit effectivement pouvoir trouver une formulation plus neutre que celle de 90.144.122.225, mais il m'apparait évident qu'il faut signaler que :

- d'après tous les "observateurs", le retour de juppé n'a pas été si triomphal, avec moins de 25% des inscrits (si mêem règle que pour les cantonales ou législatives avait été en vigueur pour les municipales, juppé aurait été contriant à un 2nd tour, bien qu'ayant atteint 56%)

- la liste Juppé a perdu un siège au conseil municipal par rapport à 2001

- de fait, la liste juppé a perdu un siège à la Communauté urbaine, alors que juppé espérait au contraire en gagner un (il devait se voir à 65% !)

Ce sont des faits, il faut les traiter. Doremifasol 11 décembre 2006 à 21:17 (CET)

[modifier] Liens

Je note que le lien vers le blog de Juppé figure dans l'article ET en fin de page, alors que le livre de Stéphane Lhomme (Juppé saute sur Bordeaux) a été enlevé sous prétexte qu'il figure sur la page "Stéphane Lhomme". On ne voit pas en quoi l'existence de ce livre devrait être cachée aux lecteurs de la page "Alain Juppé". Je propose donc de remettre l'info sur ce livre. Doremifasol 11 décembre 2006 à 21:22 (CET)

[modifier] Juppé le retour

A Cyrildunant : Heu... Bon... Comment te dire ? Tu as effectivement trouvé une formulation neutre et non polémique. Mais bon... il ne reste presque rien ! A ce compte, l'article ne comptera bien plus que deux mots : Alain Juppé !

Sérieusement : je pense qu'on doit pouvoir dire que d'une part le retour a été réussi (56% c'est un fait) mais d'autre part que cette réussite doit être nuancée parce que :

- 56% avec 44% de participation, ça ne fait que 24% des inscrits (si la règle en vigueur pour les cantonales ou législatives avait été en vigueur pour les municipales, juppé aurait été contraint à un 2nd tour, bien qu'ayant dépassé les 50%) - la liste Juppé a perdu un siège au conseil municipal et un siège à la Communauté urbaine de Bordeaux par rapport à 2001

Ces deux points (le retour réussi mais nuancé) me paraissent clairs, je propose qu'ils soient évoqués.

Doremifasol 22 décembre 2006 à 23:45 (CET)

Ton calcul ne veut rien dire. Alain Juppé n'est pas un dictateur qui a défini les règles de l'élection, il a été élu selon les critères définis, c'est tout. Pas la peine que Wikipédia se fasse l'écho des polémiques de certains piliers de bar frustrés de la chose. Tiens, tu veux t'amuser ? Fais le même calcul (à titre personnel bien entendu, pas pour compléter son article) concernant la représentativité de Jacques Chirac aux dernières présidentielles. Mort de rire Manchot 23 décembre 2006 à 00:08 (CET) (pensée du jour : mais que c'est looonng de se mettre en place une distribution de développement Linux via une pauv' connexion adsl 512k !)
Personne n'a dit que Juppé avait triché. Cependant, le nombre de votants par rapport aux inscrits est un critère très étudié pour analyser les résultats électoraux. Tu sembles exiger que cette information ne soit pas présente. Curieux. Il y a quelque chose qui te gènes ? Crois-tu vraiment que cela entâche l'élection de Juppé ? Par ailleurs, as-tu aussi une interdiction pour le fait de mentionner que la liste Juppé a perdu un siège au conseil municipal et un siège à la Communauté urbaine de Bordeaux par rapport à 2001 ? Doremifasol 23 décembre 2006 à 22:02 (CET)
Y a t'il controverse là-dessus ? Si oui, il faut donner des sources encyclopédiques (déclarations d'opposants dans la presse quotidienne, etc.) pour présenter cela. Sinon Wikipédia n'a pas à inventer une controverse qui n'existe pas. Il y a des élections tout le temps, l'article d'Alain Juppé ne va pas ergoter sur ce genre de détail négligeable en dehors du fait qu'il a été élu au premier tour. Une présentation plus complète de son action comme maire de Bordeaux est bien plus pertinente. Turb 23 décembre 2006 à 22:21 (CET)
Mais... il ne s'agit pas d'une controverse ! Juppé est réélu assez largement (56% dès le 1er tour), cependant ce succès doit être relativisé (taux abstention ; perte d'un siège à la mairie et à la CUB). Ce sont des données qui informent sur le retour de Juppé (titre du paragraphe). Objectivement, je ne vois pas bien ce qui coince. Doremifasol 24 décembre 2006 à 13:33 (CET)
C'est simple, l'intention non neutre est clairement visible avec « doit être relativisé ». Donnons le score et la participation, et ne tentons pas de présenter les choses comme on le souhaiterais. Exemple de formulation non neutre qui se cache « perd un siège par rapport » ou « fait presque aussi bien ». Il faut donner des chiffres sans faire d'extrapolation orientée. Turb 24 décembre 2006 à 14:44 (CET)
précisément ce que j'avais fait avant d'être 2 fois reverté. Une ip c'est d'ailleur permis de le remettre, avec plus de chiffres significatifs qu'à ma connaissance (à vérifier ?)Rhadamante 25 décembre 2006 à 18:09 (CET)
Faudrait quand même pas pousser. La liste Juppé a perdu un siège par rapport à 2001, ce n'est pas une extrapolation, c'est un fait, et même un fait brut. Doremifasol 27 décembre 2006 à 01:22 (CET)

[modifier] Ministre de l'écologie

J'ai modifié la dynastie pour placer Juppé dans la continuité des ministres de l'écologie. Cette position est évidemment sujette à caution vu le champ considérablement élargi des compétences. Cependant, la définition officielle du poste ministériel place bien l'écologie en tête de ses compétences, alors... Pymouss44 18 mai 2007 à 12:30 (CEST)

[modifier] Fin de fonction de Ministre de l'écologie

Inutile de dater la fin de fonction de Ministre d'écologie d'Alain Juppé au 17 juin 2007. Alain Juppé a été battu aux éléctions législatives le 17 juin 2007, mais il reste Ministre de l'Ecologie tant qu'il n'aura pas quitté ses fonctions, c'est à dire après que le Président Nicolas Sarkozy aura accepté sa démission. Alain Juppé devrait remettre sa démission le 18 juin. --SpeedDemon74 17 juin 2007 à 22:36 (CEST)

[modifier] Député de 2e circonscription de Gironde

Bonjour,

Alain Juppé n'a t-il pas été réélu député de sa circonscription de Gironde en 2002 (apparemment si: [1])? Il a donc occupé cette fonction de 2002 à 2004 (mais je ne connais pas la date exacte de démission). Je change ce que je peux mais j'aimerais que quelqu'un me corrige si je fais une bourde. D'avance merci. --Cutter 18 juin 2007 à 00:11 (CEST)

Si si c'est bien le cas. Son exil - et son remplacement - avait sans doute fait oublier qu'il avait été élu. Pour la date exacte, on cherche, mais ce n'est pas essentiel :) (Jlt69006 18 juin 2007 à 00:25 (CEST))