Discuter:Économie solidaire

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A noter que Économie solidaire fait également partie du Projet:Altermondialisme et y est d'une importance élévée. (mais je n'ai pas trouvé le lien adéquat...)--Mielle gris (d) 19 janvier 2008 à 17:14 (CET)

Je m'intéresse depuis peu à l'économie solidaire, et m'étonne de ne pas voir apparaître certains éléments dans votre article. Aurait-je mal compris son objet? Mon but n'est pas de bêtement critiquer, mais bien de faire part de mon avis critique, qui sera interprété de manière constructive je l'espère.

D'une part sur la forme, je trouve l'article assez peu lisible, comparé par exemple à celui concernant le commerce équitable : paragraphes peu aérés, peu de mise en évidence des mots-clé etc.

D'autre part concernant le contenu, je déplore notamment le manque d'explications concernant l'épargne solidaire, telle que les CIGALES, etc. L'épargne solidaire me semble être une illustration concrète et actuelle d'actions qu'un individu peut entreprendre s'il désire participer à une économie solidaire. Peut-être n'avez-vous que peu d'informations à ce sujet, dans ce cas je serai heureuse de participer à la documentation nécessaire à la rédaction de cette partie de l'article.

Je reste à votre disposition si ma participation vous intéresse, de quelque manière que ce soit. Si vous considérez néanmoins que ce sujet sort du cadre de l'article, alors je vous prie d'excuser mon intervention intempestive.

T.J.


Le principe de Wikipédia, c'est justement que tu peux amener ton savoir, tes expériences et nous informer sur les CIGALES par exemple. Alors n'hésite pas.

62.35.74.161 17 janvier 2006 à 18:56 (CET) 3 nouveaux liens

Sommaire

[modifier] Livre équitable

Que pensez-vous de la création d'un article connexe à Économie solidaire et Commerce équitable à propos du Livre équitable? Ce concept a été développé depuis 2004 par l'Alliance des éditeurs indépendants (http://www.alliance-editeurs.org) et a fait l'objet de nombreux articles dans la presse en France (Le Monde des livres, Livres Hebdo entre autres). Des éditeurs francophones, lusophones et hispanophones ont déjà utilisé ce principe.
--Webgardener 17 juillet 2007 à 16:06 (CEST)

[modifier] Critique de l'économie solidaire

Les développements actuels de Économie solidaire#Critiques sont totalement partiaux. En l'absence de neutralisation (ou de présentation équilibrée de positions alternatives), l'ensemble de la section sera supprimée sous 36h.--Mielle gris (d) 12 mars 2008 à 14:46 (CET)

Tout cela serait amusant, en particulier la deadline fort précise, si il y avait du fond. L'article en lui même est un plaidoyer pro domo. La présence d'une partie critique est justement de la neutralisation. Quant aux arguments non sourcés que tu as invoqués, ils sont manifestement faux: l'importance de l'économie "solidaire" est très faible dans l'économie. Quant à savoir ce que tu juges être un "succès" de l'économie solidaire, je serai ravi de t'entendre développer.
Néanmoins, il manque une remarque de poids, de façon générale, les libéraux, si ils critiquent l'efficacité du système et son échec inévitable, estiment que tant qu'il est fondé sur le volontariat, il n'a aucune raison d'être interdit. La précision serait utile. --Bombastus [Discuter] 12 mars 2008 à 14:54 (CET)
Nope. Tout article encyclopédique devrait reposer sur la complémentarité de deux sections distinctes  :
Une présentation objective des faits ;
Une présentation des analyses et critiques pertinentes relatives à ces faits.
Il est clair que toutes les critiques affirmant que l'économie solidaire ne créé pas d'emploi sont aussi pertinentes que les positions affirmant que le "réchauffement climatique n'existe pas". Il faut donc les manier avec les réserves d'usage. Et certainement pas les présenter seules.
La deadline est uniquement présente pour m'empêcher de reverter immédiatement une section intégralement partiale. C'est une invitation à la réécrire intégralement au plus vite. Sinon, en effet, je réverterais. 217.128.229.101 (d · c · b) a déjà été prévenu plusieurs fois que Wikipedia n'est pas une tribune politique. La patience devant ce genre de comportements nuisibles à des limites...--Mielle gris (d) 12 mars 2008 à 15:14 (CET)
Je suis ravi de voir chez toi ce souhait de distinguer faits et opinions. Tu te lances quand dans la réécriture de tout l'article Mort de rire. Les analyses de Friedman, Rand et Salin sont attribuées, qualifiées, que demande le peuple? --Bombastus [Discuter] 12 mars 2008 à 15:49 (CET)

J'aimerai bien voir une seule étude qui montre que l'économie solidaire créé des emplois. Je parle d'une étude sérieuse, macroéconomiquement bouclée, qui prend en compte l'impact des hausses de prix. Généralement il faut se méfier des argumentations qui commencent par "Il est clair que". –MaCRoEco [oui ?] 12 mars 2008 à 15:27 (CET)

En effet, la lecture du premier bon manuel d'économie venu suffit.--Bombastus [Discuter] 12 mars 2008 à 15:49 (CET)
une étude sur les emplois dans l'EES, il y en a plein, tu n'as pas du trop chercher. Allez je te donne un lien : [[1]]

Fait aussi un tour sur le site de l'INSEE, tu auras une étude sur l'emploi dans chaque région...FP (d) 14 mars 2008 à 11:12 (CET)

[modifier] Bandeau

Peut-on maintenant l'enlever ?

Je serais aussi partisans de sortir les théories post-capitalistes de cet article (si besoin pour en faire un article autonome) car je ne trouve aucune source parlant de cela dans l'économie solidaire... FP (d) 26 mars 2008 à 13:13 (CET)

Pas d'opposition, je les enlève et je transfère la partie post-capitaliste. FP (d) 31 mars 2008 à 16:04 (CEST)

[modifier] Les théories autour d'une économie solidaire post-capitaliste

Que fait-on de ce paragraphe ? Un article autonome ? Quel pourrait être son nom ? FP (d) 31 mars 2008 à 16:10 (CEST)

Dans cette catégorie entrent divers mouvements qui prônent l'abandon total du système capitaliste. Ce mouvement est à différencier de celui des structures d'économie solidaire présentés ci-dessus. Cette théorie considère que le capitalisme est incapable de répondre aux défis qui se profilent à l'horizon en matière de distribution des richesses (et de gestion des conflits alors générés), ainsi qu'en matière de dégradation de l'environnement. Ces mouvances considèrent que les difficultés actuelles rencontrées par les politiques économiques en matière de bien-être social (difficulté à résorber le chômage, phénomènes d'exclusion et paupérisation) sont liées à des incohérences dans la structure même du capitalisme d'aujourd'hui, souvent qualifié d'ultra-libéral. Leur critique la plus virulente se porte généralement sur la structure du système monétaire, et en particulier sur la pratique de l'intérêt.

Nous ne traiterons pas ici du communisme, qui mérite, de par son importance historique, un traitement particulier, et nous renvoyons donc le lecteur vers les pages dédiées à ce système économique et social.

Les écoles post-capitalistes restantes sont de types divers, soit dirigistes, soit de libre entreprise, mais avec toujours comme concept central l'idée de permettre la redistribution équitable des richesses entre les acteurs de la société. Pour y parvenir, la plupart abandonnent le concept de capital d'investissement, de propriété privée de l'outil de production, et de « monnaie payante », justifiant par là le terme de « post-capitalisme ». Les circuits monétaires proposés sont variés, et se groupent en deux catégories :

  • ceux qui font appel à une masse monétaire fixe, ou régulièrement ré-évaluée, émise pour la société par un organisme central étatisé dont c'est le rôle.
  • ceux qui font appel à un équilibre dynamique entre masse monétaire et valeur des biens de consommation disponibles sur le marché, dans un continuum de création (salaire) et de destruction (consommation) de la monnaie. Dans ce dernier cas, la création monétaire peut être décentralisée, et répondre aux exigences des concepts de l'intelligence collective.

Historiquement, le premier système économique post-capitaliste théorisé (hors le communisme) a été le distributisme [1]. Le distributisme met l'accent sur la propriété des moyens de production par le plus grand nombre possible de travailleurs, avec pour objectif une société d'artisans bâtie autour du principe de subsidiarité, avec la famille comme unité sociale de base.