Discuter:Penne

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Sommaire

[modifier] Developpement

Je suis heureux de voir à quel point l'article s'est développé en deux semaines. Mais en relisant, je me rend compte que j'ai laissé passé une bonne vingtaine d'erreurs de grammaire et d'accords dans mes contributions. je n'ai pas le courage de corriger. quelqu'un pourrait il s'en chareg ? --Balaam 17 septembre 2006 à 21:06 (CEST) ---


l'article a disparu et sans que rien n'apparaisse dans le log des effacements. la page est maintenant revenue. quelqu'un a t il une explication ? --Balaam 17 septembre 2006 à 21:06 (CEST)

Un bug d'accès au serveur ? un problème de cache ? D'après les discussions sur le bistro on dirait que c'est arrivé sur plusieurs articles aujourd'hui. Mica 17 septembre 2006 à 22:38 (CEST)

Texte venant de Folklore_étudiant_en_Belgique, a fusionner. Bigon 25 avr 2005 à 00:37 (CEST)

[modifier] La penne

La penne est le couvre-chef folklorique des étudiants des universités non catholiques de Belgique. Elle est décernée au bleu au terme du baptême (bizutage).

Le mot « penne » est un mot d’origine wallonne signifiant visière. La penne à visière courte apparaît à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) en 1850. À l’Université de Liège (ULg), elle est le couvre-chef de rigueur en 1860. À cette époque, il s’agit d’une « casquette étroite en drap avec visière en toile cirée ». À l’origine, elle était de couleur verte, couleur de l’ULg. Il a fallu attendre 20 ans pour que les couleurs se diversifient. Depuis l’époque romantique, il était d’usage de porter un couvre-chef ; les étudiants le choisirent différent des chapeaux boule et haut de forme des bourgeois (classe dont ils étaient majoritairement issus). La casquette est d’avantage populaire et progressiste. La forme de la penne est non sans rappeler celle de la coiffe estudiantine allemande. La visière s’est progressivement allongée pour atteindre ses dimensions actuelles au cours des années 70.

Elle se compose de trois parties:

  • un callot en tissu sur lequel est brodé le nom de l'université ou de l'école supérieure. A l'ULB, il est au départ de couleur claire (à l'exception des pennes de polytechniques qui sont noirs) mais vire rapidement au bleu après exposition au bleu de méthylène lors des baptêmes. On y accroche toutes sortes de décorations notamment à l'ULB les médailles de Saint-Verhaegen;
  • un bordereau au couleur de la faculté ou de la section. Y sont fixées sur le devant des étoiles dorées (pour chaque année commencée) et argentées (pour chaque année recommencée). En polytechnique à l'ULB, il s'agit de boulon dont le code de couleur est inversé.
  • la visière recouverte d'auto-collants.

fusion faite. MatrixCM 26 octobre 2005 à 23:39 (CEST) Info sur toge et tablier à utiliser dans article approprié à créer:

L'origine de ces parures estudiantines remonte aux années trente, époque où une querelle opposait deux facultés, celles de médecine et de droit. Pour se moquer des juristes, les carabins entraînèrent dans leurs beuveries le symbole de leurs ennemis: la toge.

- Les juristes les imitèrent ensuite en portant le tablier, tenue professionnelle des médecins. Par la suite, ces deux habits devinrent les vêtements de guindaille de l'étudiant, baptisé ou non. Ce n'est qu'à la renaissance des comités de baptême sous leur forme actuelle, au début des années quatre-vingt, que le port de l'un ou de l'autre fut réglementé. + == Origines ==

- Aujourd'hui, seuls les étudiants membres actifs d'un comité de baptême universitaire ou de l'enseignement supérieur de type long ont le droit de porter la toge. La cape est quant à elle portée par les membres des comités de l'enseignement de type court. Pour le tablier, il n'existe aucune règle. Bon nombre d'étudiants le portent donc lors de leurs sorties bibitives.

[modifier] photos

J'ai ajouté une photo de ma penne. Si un étudiant bruxellois se sent l'âme de nous faire parvenir une photo de son couvre-chef, on pourrait illustrer l'article avec les 2 photos, histoire de montrer la variété qui existe au sein des étudiants belges :-) -- Xstephx 28 août 2006 à 21:43 (CEST)

Je ferai ça quand j'aurai récupéré mon numérique. --MatrixCM 1 septembre 2006 à 00:37 (CEST)

[modifier] localisation

Il faudrait préciser au maximum où (quel Ville, unif, fac, cercle...) ont lieu tel ou tel coutume, où on retrouve tel caractéristique. Car souvent des petites choses qui paraissent évidentes et "universel" (dans le mode de la guindaille j'entend) sont en réalité totalement inconnu dans une autre unif! MatrixCM 1 septembre 2006 à 18:03 (CEST)


Bonne idée ! Donc il y a Liege, avec l'ULg, ainsi que les hautes écoles (Gramme, Saint-Luc, etc.). Il y a Bruxelles, avec l'ULB, et, j'imagine qu'il y a aussi des baptêmes et des pennes dans des hautes écoles et instituts qui ne font pas partie de l'ULB, comme la Cambre. Il y a l'UMH et la FPMs, probablement aussi d'autres écoles de la région. A Namur (fundp) c'est une penne ou une calotte ? J'imagine que c'est une calotte vu le nom de leur unif, mais sait-on jamais... J'en oublie peut-être ? -- Xstephx 1 septembre 2006 à 20:29 (CEST)


Les flamands! --MatrixCM 2 septembre 2006 à 00:35 (CEST)


Ha oui... Si tu sais faire une liste de toutes les unifs flamandes où ils ont des pennes, ce serait bien :) Comme ça après on pourra faire la mise en page. --Xstephx 2 septembre 2006 à 08:32 (CEST)


Après un petit tour sur internet (mais bon j'ai pas visité tout les sites flamands) les seuls qui me semble avoir une penne comme nous sont les étudiants de la VUB (c'est les mêmes que l'ULB). Les autres rien trouvé! --MatrixCM 5 septembre 2006 à 13:01 (CEST)


On retrouve les comités de baptème dans beaucoup de grandes villes belges. A Liège, c'est la penne qui est portée avec fierté mais la calotte y est aussi présente dans les Ordres. Bruxelles portent également la penne (la calotte y exoste aussi) ainsi qu'à (et c'est souvent oublié)Charleroi où le mouvement lutte vaillement pour sa survie. A Louvain et à Namur les guindailleurs invétérés portent fierement la calotte.
Gand?

Je viens de passer 3 ans à enseigner à l'UT de charleroi. je n'y ai pas vu l'ombre d'une penne. les seuls toges de comitard rencontrées était dans une vitrine pour une exposition sur l'histoire du lieu. --Balaam 8 janvier 2007 à 10:53 (CET)