Modalités supposées de contamination de la faune sauvage par la grippe aviaire

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture a publié, au 1er semestre 2006, une étude présentant les modalités supposées de contamination de la faune sauvage par la grippe aviaire[1]. Plusieurs voies principales possibles de contamination de la faune sauvage sont envisagées :

  1. Matières infectées (œufs, sous-produits de l’aviculture, carcasses disponibles dans l'Environnement)
  2. Matières fécales infectées, utilisées comme engrais ou épandues ou perdues dans les marais, rizières ou cours d’eau à partir de drains issus d’élevages avicoles
  3. Excréments infectés passivement apportés dans les zones humides via les cours d’eau (notamment via les inondations ou l’irrigation)
  4. Il pourrait exister une contamination par d’autres oiseaux ou des espèces relais (espèces sauvages, ou commensaux de l’Homme tels que rats et souris) qui pourraient constituer un relais de contamination. Il s’agirait d’espèces qui peuvent chercher à manger dans les élevages et passer du temps dans des milieux plus naturels.
  5. Infection d’oiseaux sauvages dans les rizières là où on a fait passer des canards contaminés pour qu’ils s’y nourrissent.


données de l'OIE: Fiche sur le site de l'Organisation mondiale de la santé animale

Revenir à la page principale

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens internes

[modifier] Notes et références

  1. [pdf] Télécharger le document source