Utilisateur:Hanoumân
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« Une fois, Râmachandra interrogea Hanoumân, son serviteur:
" Quelle est ton attitude envers moi? Comment me considères-tu, comment penses-tu à moi et comment m’adores-tu?
- Quand, ô Râma, répondit Hanoumân, je suis conscient de mon corps, en d’autres mots, quand je sens être le corps visible, j’ai la conviction que Tu es le Seigneur et que je suis ton dévoué, que Tu es Celui à servir et que je suis le serviteur, que Tu es Celui à adorer et que je suis l’adorateur. Lorsque je suis conscient de moi-même en tant que soi individuel, un avec le mental, l’intellect et l’âme, j’ai la conviction que Tu es le tout et que j’En suis une partie. Et quand, d’autre part, je demeure en samadhi, dans la disposition où je suis le pur Soi dénué de toutes adjonctions qualifiées, j’ai la conviction que, véritablement, je suis aussi ce que Tu es, Toi et moi sont un, il n’y a plus de différence d’aucune sorte. " »
RÂMÂYANA
fr-4
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Je parle le français
presque aussi bien que ma langue maternelle. |
hi-4
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इस सभ्य की हिन्दी मातृभाषा जैसे कक्षा का प्रदान कर सकते है।
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Hindou
Je suis hindou.
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GANAPATI
Je rends régulièrement un culte au Seigneur Ganesh.
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Végétarien
Je suis végétarien
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Anarchie
Je lutte pour l'anarchie.
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Apatride
Je ne revendique aucune nationalité.
Celle de ma carte d'identité m'a été imposée par mon lieu de naissance. |
Verset : 2.10
« Ô descendant de Bhârata, Krishna, souriant, S’adresse alors, entre les deux armées, au malheureux Arjuna.
Verset : 2.11
Le Seigneur Bienheureux dit : « Bien que tu tiennes de savants discours, tu t’affliges sans raison. Ni les vivants, ni les morts, le sage ne les pleure.
Verset : 2.12
« Jamais ne fut le temps où nous n’existions, Moi, toi et tous ces rois ; et jamais aucun de nous ne cessera d’être.
Verset : 2.13
« À l’instant de la mort, l’âme prend un nouveau corps, aussi naturellement qu’elle est passée, dans le précédent, de l’enfance à la jeunesse, puis à la vieillesse. Ce changement ne trouble pas qui a conscience de sa nature spirituelle.
Verset : 2.14
« Éphémères, joies et peines, comme étés et hivers, vont et viennent, ô fils de Kuntî. Elles ne sont dues qu’à la rencontre des sens avec la matière, ô descendant de Bhârata, et il faut apprendre à les tolérer, sans en être affecté.
Verset : 2.15
« Ô meilleur des hommes [Arjuna], celui que n’affectent ni les joies ni les peines, qui, en toutes circonstances, demeure serein et résolu, celui-là est digne de la libération.
Verset : 2.16
« Les maîtres de la vérité ont conclu à l’éternité du réel et à l’impermanence de l’illusoire, et ce, après avoir étudié leur nature respective.
Comme Bugs Bunny, je suis fermement opposé à la chasse, à la pêche, aux abattoirs, et à la corrida :Quoi d'neuf Docteur ?.
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Anti vivisection
Je suis contre la vivisection.
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Roi Je suis un roi, mais faute d'un territoire suffisant, peu de monde respecte mon glorieux règne. |
Pachyderme royaliste
N'ayant de sympathie pour aucun parti politique, je souhaite l'arrivée au pouvoir du roi Babar.
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Je suis pour la sortie du nucléaire civil et militaire.
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Verset : 2.17
« Sache que ne peut être anéanti ce qui pénètre le corps tout entier. Nul ne peut détruire l’âme impérissable.
Verset : 2.18
« L’âme est indestructible, éternelle et sans mesure ; seuls les corps matériels qu’elle emprunte sont sujets à la destruction. Fort de ce savoir, ô descendant de Bhârata, engage le combat.
Verset : 2.19
« Ignorant celui qui croit que l’âme peut tuer ou être tuée ; le sage, lui, sait bien qu’elle ne tue ni ne meurt.
Verset : 2.20
« L’âme ne connaît ni la naissance ni la mort. Vivante, elle ne cessera jamais d’être. Non née, immortelle, originelle, éternelle, elle n’eut jamais de commencement, et jamais n’aura de fin. Elle ne meurt pas avec le corps.
Verset : 2.21
« Comment, ô Pârtha, celui qui sait l’âme non née, immuable, éternelle et indestructible, pourrait-il tuer ou faire tuer ?
Verset : 2.22
« À l’instant de la mort, l’âme revêt un corps nouveau, l’ancien devenu inutile, de même qu’on se défait de vêtements usés pour en revêtir de neufs.
Verset : 2.23
« Aucune arme ne peut prendre l’âme, ni le feu la brûler ; l’eau ne peut la mouiller, ni le vent la dessécher.
Verset : 2.24
« L’âme est indivisible et insoluble ; le feu ne l’atteint pas, elle ne peut être desséchée. Elle est immortelle et éternelle, omniprésente, inaltérable et fixe.
Verset : 2.25
« Il est dit de l’âme qu’elle est indivisible, inconcevable et immuable. La sachant cela, tu ne devrais pas te lamenter sur le corps.
Verset : 2.26
« Et même si tu crois l’âme sans fin reprise par la naissance et la mort, tu n’as nulle raison de t’affliger, ô Arjuna aux-bras-puissants.
Verset : 2.27
« La mort est certaine pour qui naît, et certaine la naissance pour qui meurt. Puisqu’il faut accomplir ton devoir, tu ne devrais pas t’apitoyer ainsi.
Verset : 2.28
« Toutes choses créées sont, à l’origine, non manifestées ; elles se manifestent dans leur état transitoire, et une fois dissoutes, se retrouvent non manifestées. À quoi bon s’en attrister, ô descendant de Bhârata ?
Verset : 2.29
« Certain voient l’âme, et c’est pour eux une étonnante merveille ; ainsi également d’autres en parlent-ils et d’autres encore en entendent-ils parler. Il en est cependant qui, même après en avoir entendu parler, ne peuvent la concevoir.
Verset : 2.30
« Celui qui siège dans le corps, ô descendant de Bhârata, est éternel, il ne peut jamais être tué. Tu n’as donc à pleurer personne. »
BHAGAVAD GITA
[modifier] Voici un exemple très connu d'un poème puram de Kavar Pentu :
cirril narrun parri ninmakan
yantula no ena vinavuti enmakan
yantu ulan ayinum ariyen orum
puli cerntu pokiya kalalai pola
inra vayiro ituve
tonruvan mato porkkalat tane
Purananuru, 86
c'est-à-dire :
S'appuyant contre le pilier de ma hutte : "Ton fils
Où est-il ?" - tu demandes à savoir. Mon fils
Où peut-il être, je n'en sais rien.
Comme un tigre sort après avoir séjourné dans une caverne
Mon utérus lui sert de repaire.
Dans des batailles il réapparaîtra, là tu peux le voir.
[modifier] CASTES???
Les préjugés à propos de l'hindouisme... IL NE FAUT PAS CONFONDRE, la société indienne, ET l'hindouisme: en effet, dans la société pakistanaise, par exemple, il y a un système des castes... (comme dans toute société!), alors que la religion majoritaire est l'Islam!
De plus, il faut faire une autre distinction: il y a les système des castes (ou "classes") socio-religieuses (les brahmanes, les kshatriyas, les vaishyas et les shudras... systèmes plus que symboliques!), appelées varna(couleurs) et apporté par les aryens sur la société dravidienne (qui croyait à la réincarnation), et puis, le système des castes socio-professionnels, LE problème, nommé jati(naissance), qui conditionne tant et tant de gens... et qui s'est assimilé à des notions religieuses à cause de l'ignorance...