Discuter:Gérard Corbiau

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Sommaire

[modifier] Documentaires ?

Gérard Corbiau ne semble avoir réalisé que des reportages pour la télévision. À ne pas confondre avec le cinéma documentaire.

[modifier] Gérard Corbiau

Bonjour, veuillez ne plus ajouter d'informations douteuses non-sourcées sur l'article consacré à Gérard Corbiau. Merci de ne supprimer les [réf. nécessaire] que si vous avez apporté ces références et ainsi rendu le texte moins évasif et / ou orienté. Par ailleurs (et vu votre lien de parenté probable), merci de consulter wikipédia:autobiographie. Cordialement.

Réponse de Gérard Corbiau:

Cher Monsieur,

Je ne sais à quel titre vous intervenez.

Je me permets diverses remarques et précisions :

1.- Liste sélective des reportages et documentaires réalisés pour la RTBF:

- FILMS SCIENTIFIQUES (1968-1973):

"Gastronomie et Diététique" (4x50'),

"L'Enfant et Nous" (6x60') - (Prix du Meilleur Film Scientifique, 9ème Festival du Film Belge - Knokke 1973: "L'Enfant et Nous - Discipline et Liberté")

- MAGAZINES DE GRANDS REPORTAGES: "NEUF MILLIONS NEUF" (1974 à 1976), puis "A SUIVRE" (1976 à 1980):

1973 - "La Mort de Ladj Lounès" (Reportage, 30'): après l'assasinat raciste d'une jeune travailleur algérien à Marseille

1974 - "Une Journée d'Elles" (Reportage, 35'): le voyage en autocar de quelques jeunes femmes partant se faire avorter en Hollande.

"Un Coin de Paradis" (Reportage, 30'): la condition des travailleurs émigrés, à Bruxelles 1975 - "Amnistia! Amnistia!" (Reportage, 40'): après la mort de Franco, la libération des premiers prisonniers politiques à Madrid

"L'Affaire Merckx" (Reportage, 30'), "Bioul, Les Enfants des Autres" (Reportage, 25'), etc...

1977 - "Seveso" (Reportage, 30'), "L'Affaire de Broglie", "Les Anti-Nucléaires", "Les Problemes de la Presse écrite, en Belgique" etc...

1978 - "Le Systême CVP" (50'), "Bruxelles" (50'), "Referendum Anti-nucléaire à Andennes" (30'), etc...

1979 - "Wallonnie 1945-1980" (3 x 50'), etc...

- REPORTAGES-FICTIONS de long métrage dans la série "FAITS-DIVERS":

1975 - "A Corps perdus" (75'): approche des motivations du film pornographique

1976 - "Une Place au Soleil" (75'): portrait d'une jeunesse sans avenir, à La Louvière

1976 - "Trois Jours de Congé" (75'): deux détenus condamnés pour meurtre, le récit de leur congé pénitenciaire

1977 - "Voyage de Noces" (75'), le récit d'un voyage de noces à Capri

1978 - "Taxis de Nuit" (75'), la vie des taximen de nuit et, à travers eux, le portrait d'une ville.

- FILMS MUSICAUX (1980-1986), dont:

1981 - "Portrait de Familles, Les Fanfares de Frameries" (Documentaire, 55'), "SAX" (Documentaire-Fiction, 3x35' - Prix: Antenne de Cristal 1981)

1982 - "Chronique d'une Saison, Un portrait de José Van Dam" (Docu-mentaire, 55'), "Photo de Classe, Les Premiers Prix de violon du Conservatoire" (Documentaire, 55'), "Wozzeck" (Documentaire, 55'), "A la Recherche de S" (Conte musical, 55' - Prix: Antenne de Cristal 1983)

1983 - "Un portrait de Pierre-Alain Volondat, Un musicien qui dérange" (Documentaire, 55'), "25 ans de Concours Musical Reine Elisabeth - Piano" (Montage d'archives 75', distribution vidéo)

1984 - "Paolo Bortoluzzi, Eté 84" (Documentaire, 55')

1985 - "Le Théâtre de la Monnaie, Au fil du temps" (Documentaire, 55'), "La Rose des Voix" (visualisation de l'oeuvre chorale de Henri Pousseur et Michel Butor, 60')

2.- Je n'ai jamais réalisé de téléfilms sur la musique

Mais bien des documentaires (voir 1.-)

3.- Il n'y a aucune raison de mentionner Georges Dumortier

Il faudrait sinon mentionner tous les autres producteurs de mes films, ce qui n'est pas le cas.

4. - Succès du Maître de musique

A Bruxelles: 52 semaines d'exclusivité - 125.000 spectateurs en salle (10% de la population bruxelloise ! ; compte parmi les trois plus grand scores de fréquentation pour un film belge en salle); très nombreuses télédiffusions à la RTBF

A Paris : 4 années d'exclusivité !!! Plus de 700.000 spectateurs.

On peut réellement dire que ce film a réconcilié le public belge avec son cinéma (jusque là, assez confidentiel) et qu'à ce titre, il constitue une date dans l'histoire du cinéma belge francophone. Par la suite, d'autres films de qualité sont venus confirmer cet engouement nouveau. Très objectivement, "Le Maître de Musique" est le premier à l'avoir réalisé.

5.- Mention des "awards" sur IMDb

Votre mention: L'Internet Movie Database ne mentionne aucun de ces prix, n'est pas exacte. Si les prix n'y sont pas tous mentionnés sous mon nom (mais certains le sont!), ils le sont pour les films.

Je corrige une nouvelle fois, et en toute objectivité.

Désolé.

Je ne peux accepter que de telles erreurs figurent sur mon nom.

Cordialement.

Gérard Corbiau

Bonjour Monsieur Corbiau,
J'interviens ici à titre de contributeur.
Pourriez-vous ajouter les sources dans le corps de l'article. Si ces informations sont vraies et que vous êtes Gérard Corbiau, vous n'aurez aucun mal à ajouter les sources fiables que je vous demande depuis quelques jours.
De plus, pourquoi ne pas ajouter la filmographie complète sourcée ?
Quelle(s) différence(s) faites-vous entre ce que vous appelez reportage et ce que vous appelez documentaire ? Selon vous, un film réalisé pour la télévision n'est pas un téléfilm ?
Si je parle de Dumortier, c'est parce que c'est bien le seul documentaire connu du réalisateur dont j'ai trouvé trace et qu'il a justement été produit par une personnalité. Si un des films du réalisateur était produit par Luc Besson, je l'aurais ajouté aussi.
Par ailleurs, les textes du portail fédéral belge ne sont malheureusement pas fiables. Plusieurs graves erreurs ont été découvertes. Je leur ai signalées par courriel, mais elles n'ont jamais été corrigées. De plus, leurs textes, non-sourcés, ne sont pas signés et défendent des points de vue non-neutres.
En attendant les sources plusieurs fois demandées, je remets ma version de l'article, plus neutre. Cordialement.
P.S. : Attention, on ne met pas un texte entre guillemets ET en italique, c'est une règle typographique de base. C'est redondant.

Je réponds à nouveau:

1.- Cher Monsieur, vous m'effrayez! Je suis metteur en scène et auteur; je prend le temps de vous communiquer la liste des films que j'ai réalisé, et vous osez mettre en doute leur véracité! Vous exigez des sources fiables... quelles sources pourraient être plus fiables que ce que l'auteur lui-même en sait ??? Je crois rêver! Excusez-moi de vous le dire, on se heurte là à un monde kafkaïen qui me remplit d'angoisse et que j'ai rarement eu l'occasion de recontrer dans ma déjà longue carrière. L'intolérance n'est pas loin.

2.- J'entends par "reportage" un travail en prise directe avec la réalité sociale, fait d'images "volées" sur le terrain et dont le montage donne le sens. J'entends par "documentaire" un travail prenant appui sur le réel, mais imaginé et construit dès avant la prise de vues. Le documentaire a une vertu pédagogique que ne comporte pas le reportage. Un "téléfilm" est un film de fiction pour la télévision.

3.- A propos de Georges Dumortier, permettez-moi, d'être très étonné (encore une fois!). J'ai été voir l'article le concernant. Quand on dit : Georges Dumortier, est l'une des personnalité les plus importantes de la politique culturelle en Communauté française de Belgique, je me pose des questions sur l'objectivité des contributeurs Wikipedia...! Une des personnalités les plus importantes ??? Cette affirmation est, vous en conviendrez, pour le moins et très largement orientée!!! Non, non et non!!! La coupe est pleine. Quant à Luc Besson... je préfère me taire.

4.- Vous ne m'avez toujours pas dit qui vous êtes (votre nom, votre fonction), ni à quel titre vous intervenez (contributeur??? contributeur, mais à quel titre?!), ni ce qui vous permet d'avoir autorité dans la matière qui nous occupe

En conclusion, je réintègre mon texte. Gérard Corbiau

[modifier] Merci de ne plus supprimer des informations sourcées !

Merci de ne plus supprimer des informations sourcées et des demandes de référence sur l'article Gérard Corbiau. Cela peut être considéré comme du vandalisme.

De plus, un téléfilm peut être « de fiction » ou « documentaire ». Un téléfilm documentaire est un « téléfilm documentaire ». Il ne devient pas un « film » parce qu'il est documentaire.

Cordialement.

[modifier] Le public et la critique n'existent pas. Il existe des cinémas différents.

Concernant, je vous cite : « On peut réellement dire que ce film a réconcilié le public belge avec son cinéma (jusque là, assez confidentiel) et qu'à ce titre, il constitue une date dans l'histoire du cinéma belge francophone. Par la suite, d'autres films de qualité sont venus confirmer cet engouement nouveau. Très objectivement, "Le Maître de Musique" est le premier à l'avoir réalisé. », je ne suis pas d'accord pour deux raisons :

1) La première est que je lis le nombre de votant et leur cote pour Jeanne Dielman, 23 Quai du Commerce, 1080 Bruxelles (1976) ici : http://french.imdb.com/title/tt0073198/ratings

et le nombre de votant et leur cote pour Le Maître de musique (1988) ici : http://french.imdb.com/title/tt0095606/ratings

- 222 votants pour le film de 1976 et une cote de 8/10

- 293 votants pour le film de 1988 et une cote de 7,3/10

Les films récents ont généralement (dans l'ensemble) plus de votants car ils sont plus souvent diffusés à la télévision et il y a plus de probabilités que les jeunes internautes les aient vus.

2) La seconde raison est que vous parlez du public et de la critique. Cela ne veut rien dire. Depuis ses débuts, Chantal Akerman se fait encenser par la presse parisienne alors qu'elle est systématiquement descendue par la presse généraliste belge, sauf quand la cinéaste gagne un prix à l'étranger. Il existe donc des critiques. Dois-je vous rappeler les guerres légendaires entre Positif et Les Cahiers du cinéma ? Quand au public, ce n'est pas parce qu'on aime la musique jazz que l'on va aimer la musique punk ou la musique contemporaine. Je connais un historien du cinéma, programmateur dans une institution importante, qui ne s'intéresse qu'au cinéma expérimental et à la série z. Un public peut très bien apprécier les films d'action et le cinéma documentaire et ne pas s'intéresser (ou même détester) à la fiction musicale en costumes d'époque, que certains qualifient d'académique. En conclusion, le public et la critique n'existent pas. Il y a des critiques et des publics pour des cinémas différents. Robert Bresson ou Peter Kubelka (qui l'a précisé devant moi) préfèrent un James Bond à un film de fiction traditionnel.

De plus, contrairement à vous, j'estime qu'il y a eu beaucoup plus de films intéressants réalisés en Belgique avant 1986 que depuis. Mais ceci est mon point de vue et je respecte le vôtre.

Cordialement.


Réponse de G. CORBIAU:

Depuis quand IMDb serait-il devenu le critère principal devant déterminer la vision objective des choses??? Vous m'ouvrez là des perspectives nouvelles et pour le moins hallucinantes!! Je tombe des nues ! Non que les chiffres dont vous parlez soient erronés, je ne les conteste pas. Mais nous ne parlons pas des mêmes choses. D'ailleurs que peuvent signifier 300 votants? Peu, avouez-le. Je vous parlais, moi, du public, non du public américain ou international (pour lequel, à ce moment-là, nous étions carrément inexistants! Mais étiez-vous nés?); je vous parlais du public belge et de la carrière du film en Belgique ; je vous parlais de la "réconciliation" du public belge francophone avec son cinéma ; je vous parlais de la fréquentation du public dans les salles (critère objectif !), et non d’un vote sur internet (par qui ? où ? comment ?) !!!! Où avez-vous appris à lire? Je ne me souviens pas que Chantal Akerman ait rempli les salles, ça se serait su ! Je me pose des questions quant à votre légitimité qui me paraît particulièrement abusive, et trouve vos interventions proches de l’intolérance. Sachez qu’à son époque (il y a 20 ans !), Le Maître de Musique a constitué un événement ; pour certains, le fait semble oublié ou méconnu –c’est pourquoi je me plais à le rappeler. Ce qu’il y a de terrible dans tout ceci, c’est que je m’entends parler comme un ancien combattant !…, et que j’ai l’air de faire de l’autopromotion. Et pourtant, cette attitude est si éloignée de moi, de ce que je suis, de ce que je pense, de ce que j’essaie d’être dans la vie -ceux qui me connaissent vous le diront! J’essaie tout simplement de me défendre contre l’ignorance et défends mon honneur d’artiste.

Ne me prenez pas pour plus bête que je ne suis. Encore une fois, vous me lisez mal. Bien sûr que le public et la critique n'existent pas. Qui a jamais dit le contraire ? Bien sûr qu’il y a des critiques et des publics ! J’ai écrit très exactement : succès critique et public. C’est très différent, excusez-moi. Et incontestable. Mais je ne vois pas pourquoi je perds mon temps à répondre à ces enfantillages. On tombe bien bas ! Revisitez plutôt vos histoires du cinéma (belge) et faites preuve d’un minimum de maturité.

Votre point de vue, enfin exprimé, indique clairement vos critères d’appréciation. J’aimerais vous rappeler que ce site n’est pas votre chasse gardée. Sous couvert d’une soit disante objectivité, vos avis dénotent une belle étroitesse de vue. Vous écrivez que vous détestez mes films, c’est votre droit le plus strict ! Mais, suite à cet aveu, je vous conteste, moi, le droit d’interférer dans les propos me concernant. D’autres gens, de par le monde, sachez-le, continuent à apprécier mes films qui sont beaucoup moins académiques que vous ne le pensez. A propos, je ne sais toujours pas qui vous êtes. Êtes-vous seulement quelqu’un ? J’ai le courage, moi, de m’exposer et d’intervenir à visage découvert. Contre le vide, cela devient dur ! Cordialement.

[modifier] Protection de la page

J'ai protégé la page étant donné la guerre d'édition qui s'y livre. Je déprotègerai lorsque vous vous serez mis d'accord sur une version de l'article. Je vous signale l'existence des Wikipompiers si vous souhaitez qu'un tiers intervienne dans la discussion. Pwet-pwet · (discuter) 9 août 2007 à 14:38 (CEST)

Nouvelle PROPOSITION par GÉRARD CORBIAU:


Gérard Corbiau est un réalisateur belge né à Bruxelles le 19 septembre 1941.

En 1968, il commence sa carrière de réalisateur à la RTBF. Il signe de très nombreux reportages (longs et moyens métrages) pour les magazines de grand reportage (Neuf Millions Neuf, À suivre) et pour la série Faits Divers. À partir de 1980, il réalise divers documentaires sur la musique dans le cadre du service Musique-Opéra-Ballet de la RTBF. Il réalise aussi deux contes musicaux : « Sax » (1981) et « À la recherche de S » (1983). Tous deux se voient décerner une Antenne de Cristal.

Son premier film pour le cinéma « Le Maître de Musique » (1987), avec le chanteur José van Dam, est nominé pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.[1].

Vient ensuite « L’Année de l’Eveil » (1990), d'après l'oeuvre de Charles Juliet, sélectionné au Festival de Locarno.

En 1994, il signe « Farinelli, il Castrato ». Avec la collaboration de l’IRCAM, il y ressuscite la voix du célèbre castrat ; le film est récompensé par le Golden Globe 1995 du meilleur film en langue étrangère (Best Foreign Language Film) et se voit lui aussi nominé pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.[2]

« Le Roi danse », son quatrième film pour le cinéma, sort en 2000, et est d’emblée nominé aux Césars par trois fois. Le film obtient également le Golden Frog de la meilleure image (Camerimage, Lodz - 2001.)[3]

En 2003, il réalise pour la télévision « Saint Germain ou la Négociation », avec Jean Rochefort, Didier Sandre et Rufus. Le film reçoit le prix de la meilleure adaptation pour la Télévision au Forum Littérature et Cinéma de Monte Carlo 2004.

Gérard Corbiau vient de terminer « José van Dam, 25 ans après », un portrait filmé de son ami chanteur.

Il est Officier de l’Ordre des Arts et des Lettres (France) et Officier de l’Ordre de la Couronne (Belgique).

Toujours le même problème : veut supprimer des informations sourcées et n'apporte aucune source.
La personne a auparavant contribué sous IP (françaises) :
C'est de la promotion.

--Quentin Ggolf 15 août 2007 à 13:11 (CEST)

En l'occurence, je ne vois pas vraiment en quoi cette version là est de la promotion. Peut-être qu'on perd du contenu par rapport à d'autres versions, mais la version en elle-même ne nécéssite pas outre mesures de sources. Quelles seraient les allégations que tu contesterais, Quention Ggolf, dans la version de Gerard Cohen ? NicDumZ ~ 15 août 2007 à 13:48 (CEST)


Selon la plupart des sources, Gérard Corbiau serait entré à la RTB en tant que monteur. Ce qui a été supprimé par la personne. Je n'ai aucune source des "reportages de longs et moyens métrages". C'est la première fois que j'entends (ou que je lis) le terme "longs et moyens métrages" pour des reportages. Il a d'abord essayé de faire passer ces reportages pour des documentaires. Les titres de ces œuvres ne sont répertoriés nulle part. Je ne conteste cependant pas leur existence. Mais en tant que salarié à la télévision, il est normal qu'il ait travaillé à réaliser des reportages. Comme des milliers de salariés qui travaillent pour les chaînes télévision. Si ces reportages avaient un caractère exceptionnel, ils seraient mentionnés par des sources. de "grand reportage" : C'est un détail, mais pourquoi ce "grand" ? Il a d'abord tenté d'introduire que ces émissions étaient "fameuses". Maintenant les reportages sont "grands". Et quels sont les critères de grandeurs ? La taille de la pellicule ? La durée du reportage ? La longueur du voyage pour aller tourner le reportage ? La durée du tournage ? Quelle est la différence entre ces "magazines de grands reportages" et la "série" Faits Divers ? Plus grave, il supprime son seul téléfilm documentaire un peu connu « Chronique d'une saison ». Renierait-il ce téléfilm documentaire ? Cela me rappelle les personnalités qui disparaissaient sur les photographies en URSS. Ce téléfilm est le seul travail répertorié de son emploi à la télévision avant 1987 (année de son premier film pour le cinéma). Et surtout, le plus important, ses « documentaires » sont des téléfilms documentaires. Je salue néanmoins la neutralisation du "succès public et critique".

--Quentin Ggolf 15 août 2007 à 14:31 (CEST)

Exactement, c'et ce que j'allais souligner pour le "succès public". Merci pour les explications, je comprend mieux les problèmes restant. Bon, Gérard Cohen, nous attendons ta réponse sur les faits soulevés par Quention Ggolf :) NicDumZ ~ 15 août 2007 à 14:43 (CEST)

Réponse de Gérard Corbiau

D’abord, je ne m’ appelle pas Gérard Cohen, cher Monsieur, mais Gérard Corbiau. Vous trouverez ci-dessous mes réponses à Monsieur Ggolf, qui continue à s’acharner contre moi avec une mauvaise foi et une incompétence évidentes. Cela n’est guère à l’honneur de Wikipédia pour qui j’ai toujours eu une grande considération… jusqu’à ces derniers jours ! Victime, malheureusement, de ses propres contradictions.

Si je réponds, c’est principalement pour deux raisons : 1° pour Wikipédia d’abord, qui revendique d’être une véritable encyclopédie ; souhait extrêmement louable, qui exige la contribution d’informateurs de valeur, au-dessus de tous soupçons partisans; ce qui, dans notre cas, laisse fortement à désirer. 2° parce qu’il s’agit ici de mon honneur d’artiste, et que sur ce point, je serai toujours intraitable.

Je m’en remets à vous pour faire la part des choses et confondre un être peu scrupuleux, intellectuellement malhonnête. Voici , point part point, ma réponse aux nouvelles attaques de Monsieur Ggolf:

Ggolf : Selon la plupart des sources, Gérard Corbiau serait entré à la RTB en tant que monteur. Ce qui a été supprimé par la personne. GC : Mensonge. Je ne suis pas entré à la RTBF comme monteur, mais bien comme réalisateur. Monsieur Ggolf qui croit tout savoir, confond tout, et c’est bien là le problème. J’ai bien monté un long métrage documentaire « La Grande Barrière de Corail » en 1967, mais c’était avant que je n’entre à la télévision. Cela n’a pas été supprimé. Simplement, je n’en ai pas fait mention. J’aurais pu ajouter que le film a obtenu une médaille au festival de Venise… Mais bon !

Ggolf : Je n'ai aucune source des "reportages de longs et moyens métrages". C'est la première fois que j'entends (ou que je lis) le terme "longs et moyens métrages" pour des reportages. GC : Comme les mots le disent "longs et moyens métrages" caractérisent la durée des œuvres. C’étaient des films conséquents, et c’est ce que cela veut dire.

Ggolf : Il a d'abord essayé de faire passer ces reportages pour des documentaires. Les titres de ces œuvres ne sont répertoriés nulle part. Gc : Effectivement, il est fort possible qu’aucune source référenciée n’existe à ce propos ; c’est pourquoi je vous ai fait parvenir une liste sélective de ces films (voir début de la discussion). Je n’ai comme preuve à offrir que mon honnêteté et mon honneur d’artiste. Comme information, je crois que la chose reste intéressante. D’autre part, passant de films tantôt de type reportage à des films documentaires, des fois je les appelle documentaires, d’autres fois, reportages… Disons que, durant cette période de ma vie, j’ai réalisé aussi bien des documentaires que des reportages. Il n’y a là aucune entourloupe. Monsieur Ggolf cherche à créer la confusion avec une mauvaise foi qui n’a d‘égale que son ignorance. Cela ne fait guère honneur à Wikipédia.

Ggolf : Je ne conteste cependant pas leur existence. GC : C’est encore heureux !

Ggolf : Mais en tant que salarié à la télévision, il est normal qu'il ait travaillé à réaliser des reportages. GC : Alors, pourquoi ne pas en faire état, d’autant plus qu’ils étaient particulièrement considérés au sein de l’établissement dans lequel je travaillais, ainsi que par la critique (mais je sais que ça vous fait mal d’en parler !). C’est au travers de ces reportages (et documentaires…) que je me suis formé. C’est pour cela que j’en parle. Je considère qu’ils ont eu une grande importance dans ma vie d’artiste. D’autre part, j’ai des collègues qui n’ont réalisé que des fictions (téléfilms !), d’autres uniquement des films sur l’art, d’autres des captations multi-caméras… Non, en tant que salarié à la télévision, il n’est pas normal de « réaliser » des reportages. Encore un mensonge, ou un raccourci (un de plus !) un peu léger !

Ggolf : Comme des milliers de salariés qui travaillent pour les chaînes télévision. Si ces reportages avaient un caractère exceptionnel, ils seraient mentionnés par des sources. GC : Les sources écrites existent. Dans la presse écrite (belge) de l’époque ! Courage !

Ggolf : de "grand reportage" : C'est un détail, mais pourquoi ce "grand" ? Il a d'abord tenté d'introduire que ces émissions étaient "fameuses". Maintenant les reportages sont "grands". GC : Nouvelle médisance, nouvelles incompétences. Magazines de grand reportage, oui. Ca se dit, aujourd’hui encore… « Envoyé spécial », par exemple, est un magazine de grands reportages. A l’époque, les émissions « Neuf Millions » et « À suivre », outre qu’elles étaient extrêmement célèbres pour le public belge (fameuses, disais-je), étaient les magazine de grands reportages de la RTBF. Où ai-je dit que les reportages étaient « grands » ? Ce ne sont pas les reportages qui étaient grands (encore que… !) mais la qualification des magazines.

Ggolf : Et quels sont les critères de grandeurs ? La taille de la pellicule ? La durée du reportage ? La longueur du voyage pour aller tourner le reportage ? La durée du tournage ? GC : J’ai l’horrible impression de répondre à quelqu’un de totalement inculte ! Ce n’est pas une injure, c’est un constat. Vous admirerez ma patience…

Ggolf : Quelle est la différence entre ces "magazines de grands reportages" et la "série" Faits Divers ? GC : « Faits Divers » était une série d’émissions très célèbres à la RTBF, dans les années 70. Des reportages-fiction portant sur des faits de société. Un lointain ancêtre de l’émission actuelle « Strip-Tease », mais de format 75’, portant sur des questions de société et puisant ses personnages dans le réel.

Ggolf : Plus grave, il supprime son seul téléfilm documentaire un peu connu « Chronique d'une saison ». Renierait-il ce téléfilm documentaire ? GC : Décidément, il n’y a, à chaque fois, que suspicion pour ne pas dire manque d’objectivité, toujours procès. Je ne renie pas ce films, que du contraire. Si je n’en ai pas fait mention, c’est que plusieurs choses me gênaient dans votre libellé à vous. Le titre d’abord, incomplet : le film s’appelle « Chronique d’une saison ; un portrait de José van Dam ». Ensuite, la manière dont vous le qualifiez : ce n’est ni un téléfilm (qui caractérise un film de fiction !), ni un téléfilm documentaire (ce qui ne veut rien dire !) mais un bien documentaire. Enfin, vous y mentionnez le producteur… alors qu’aucun autre nom de producteur n’est associé aux autres titres. J’en ai eu des producteurs, des vrais ! des pros ! Alors pourquoi, lui et lui seul ?

Ggolf : Cela me rappelle les personnalités qui disparaissaient sur les photographies en URSS. GC: Merci, Monsieur le Grand Inquisiteur. Vous perdez votre sang froid… Décidément, chacun appréciera votre « objectivité ». Je ne vois pas le rapport. C’est un film que j’apprécie au plus haut point, puisqu’il est un peu à l’origine du « Maître de Musique », mais ça c’est une autre histoire… A l’origine aussi de ma grande amitié pour José van Dam. Si j’ai ôté ce titre, c’est parce que je n’étais pas du tout d’accord avec votre libellé, et dans l’espoir –vain, semble-t-il- de calmer le jeu entre nous… je ne voulais pas, à nouveau me bagarrer pour tout cela.

Ggolf : Ce téléfilm est le seul travail répertorié de son emploi à la télévision avant 1987 (année de son premier film pour le cinéma). GC : Répertorié sur IMDb, oui. Parce que édité en DVD, en accompagnement du « Maître de Musique »… Et puisque vous n’avez comme référence que IMDb, je comprends que vous y teniez ! Mais IMDb –que je visite souvent et que j’apprécie - n’est pas le centre du monde.

Ggolf : Et surtout, le plus important, ses « documentaires » sont des téléfilms documentaires. GC : Ce sont des documentaires pour la télévision, effectivement (et non des téléfilms documentaires !). Cela n’enlève rien ni à leur portée, ni à leur valeur artistique. Et je les revendique comme faisant partie de ma filmographie (qui n’est pas si moche que ça, vous en conviendrez ! et dont je n’ai pas à rougir !).

Ggolf : Je salue néanmoins la neutralisation du "succès public et critique". GC : Cela vous faisait tellement mal, que j’ai enlevé ces quelques mots… espérant trouver une solution à nos différends. Tout le monde sait, en effet, au simple énoncé du titre, qu’il y eut succès (critique et public !) Sachez que j’ai retrouvé ces termes dans plusieurs filmographies de mes confrères, et ça ne semble pas faire de problème.

Enfin, pour conclure, je me permets de vous renvoyer au site me concernant sur le portail .be, portail officiel de la Belgique fédérale. Je n’invente rien de nouveau : http://www.belgium.be/eportal/application?languageParameter=fr&pageid=contentPage&docId=8652

Je m'excuse platement pour les erreurs cohen-corbiau, je me rends compte d'ailleurs que j'ai fait l'erreur plusieurs fois.
Avançons petit à petit : Je propose, plutôt que la mention "courts et longs métrages" de mettre tout simplement une fourchette de durées. Cela aura l'avantage d'être clair et neutre puisque factuel.
Ensuite, Corbiau, vous citez de la bibliographie, des coupures de presses. C'est parfait ! Même (très) vieilles c'est un source incontestable ! Ressortez nous les références ! D'ailleurs cela est valable pour Ggolf aussi, vous dites que Corbiau n'était que monteur, je vous réponds "certes, prouvez-le". De manière générale, vous taper dessus en disant lui a tort moi raison sans apporter de preuves extérieures vérifiables ne fait pas avancer la chose. Dans ce cas présent, je peux affirmer ici être le vrai Gérard Corbiau et détenir moi seul la vérité, vous ne pourrez pas le vérifier. Désolé donc, mais les arguments d'autorité "il se vante" et "je connais mieux ma vie que vous", n'ont ici, aucun poids, il faudra faire avancer le débat avec autre chose. 15 août 2007 à 22:30 (CEST)

Que Monsieur Corbiau soit entré à la RTB comme réalisateur, je le crois. S'il pouvait sourcer ce serait mieux pour tous. Par contre, je ne suis pas d'accord : un téléfilm documentaire n'est pas un film documentaire. Un documentaire est un film documentaire projeté en salles, ciné-clubs ou festivals de la catégorie de film documentaire. Et continue par la suite à être régulièrement projeté dans les cinémathèques ou, par exemple, au Centre Pompidou. Un film documentaire n'est pas un programme qui est diffusé à la télévision. J'ai appris ici sur Wikipédia que Monsieur Corbiau aurait réalisé des documentaires alors que je suis particulièrement bien informé des projections dans ce milieu, et ce depuis de très nombreuses années. Si j'avais vu quelque part une projection d'un documentaire de Gérard Corbiau, je l'aurais remarqué et m'en serais étonné. Mais je peux être passé à côté d'une projection ou l'autre, raison pour laquelle je demande des sources d'une projection de documentaire ou d'une rétrospective de ces fameux "documentaires", par exemple à Pompidou ou dans une cinémathèque. Un téléfilm peut être documentaire ou de fiction comme un film, sauf que c'est un téléfilm. Quant aux "grands reportages", je n'ai toujours pas compris en quoi ils sont plus grands que les autres. Je propose donc aussi de mettre tout simplement une fourchette de durées. Encore une fois, les textes sur le cinéma et l'art en général du portail fédéral belge ne sont malheureusement pas fiables. Et ne sont ni signés ni sourcés. --Quentin Ggolf 16 août 2007 à 00:21 (CEST)

Réponse (la dernière) de Gérard Corbiau :

La crétinnerie a ses limites. Devant tant de mauvaise foi, j'abandonne.

C'est bien dommage. Il suffirait d'apporter des sources pour chaque affirmation, ce qui est fort faisaible si vous êtes bien le Mr Corbiau... NicDumZ ~ 16 août 2007 à 08:45 (CEST)