Utilisateur:BenoitLapointe/Brouillons

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Histoire du Canada et Histoire du Québec

renvoyer à la même page divisant l'histoire du pays en différentes sections

Bon, c'que j'veux dire: trois grandes périodes, que les francophones et anglophones n'accordent pas la même importance. Apres 1867, les québécois francophones accordent beaucoup plus d'importance aux événements dans la province de Québec alors que le centre de gravité du pays, pour les anglophones, glisse lentement mais surement de Montréal vers Toronto.

Chaque régime possède donc son article propre, en plus d'un qui parle des autochtones avant les premiers blancs et retrace les explorations. Après la confédération (1867), Les différences linguistiques font en sorte que le Québec possède une histoire propre, marquée par l'affirmation nationaliste, interprétée bien différemment que du reste du Canada, à majorité anglophone. Un article séparé, Histoire du Québec, met donc en évidence les événement marquant du point de vue franco, alors que histoire du Canada met plus en évidence la perspective du reste du Canada a majorité anglophone...

  • Histoire du Canada (pré Nouvelle-France)
  • Histoire de la Nouvelle-France
  • Histoire du Canada (Régime Anglais, 1760-1867)
  • Histoire moderne du Canada (après 1867)
  • Histoire moderne du Québec (après 1867)

L'Acadie, aujourd'hui formée des provinces de L'Île du Prince Édouard, de La Nouvelle-Écosse et du Nouveau-Brunswick, possède une importante minorité francophone ayant une identité nationale distincte du Canada anglophone ainsi que des francophones québécois. L'article suivant, consacré à l'Acadie, contient une section histoire qui met l'accent sur ce point de vue:

Finalement, chaque province et territoire du canada possède aussi une histoire propre relative à des événements à portée locale, à leur entrée dans la fédération canadienne,ainsi qu'à leur histoire avant de faire partie du Canada. Pour ce faire, nous vous suggérons de consulter les parties relatives à l'histoire dans les pages consacrées à ces provinces:


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Histoire du Canada (pré Nouvelle-France)

Sommaire

[modifier] Établissement des peuples autochtones sur le continent Nord-Américain

La préhistoire des peuples autochotones des Amériques nous est malheureusement très mal connue et repose, bien souvent, que sur de minces pistes archéologiques, des déductions et, très récemment, des études comparatives d'ADN. Le peu d'intérêt démontré par les nouveaux occupants Européens du territoire pour ces peuples "barbares" ainsi que le fait que peu de ces peuples connaissaient l'écriture explique cet état de fait.

Il y a environs 13 000 ans, un groupe de chasseurs-cueilleurs aurait traversé le détroit de Béring, alors sur la terre ferme, le niveau des mers étant plus bas à cette époque du aux Glaciations. Il s'agit d'une théorie dominante émise en 1927. Toutefois, des découvertes plus récentes, notamment des études comparatives d'ADN, démontrent qu'il y aurait plutôt eu plusieurs groupe de migrations, étallés sur plusieurs millénaires, dont certains seraient d'orrigine polynésienne et seraient arrivés par la mer pour débarquer en Amérique du sud ainsi que sur les côtes de la Californie.

[modifier] Peuplement autochtone dans l'ouest du pays

[modifier] Peuplement autochtone dans la vallée du Saint-Laurent et des Grands-Lacs

[modifier] Les Paléoindiens (-11000 à -8000)

Les faits archéologiques attestent une présence humaine sur le territoire couvrant le Québec actuel quelques 10 000 ans avant Jésus-Christ. Des indices suggèrent que ces groupes ne seraient pas les ancêtres des nations autochtones actuelles, l'établissement de ces populations paléo-amérindiennes serait antérieure à l'arrivée des ancêtres des algonquiens et iroquoiens de quelques 2000 ans.

[modifier] L'Archaïque (-8000 à -3000)

Ce serait suite à un réchauffement du climat au sud du Québec et Canada actuel que des groupes apparentés aux algonquiens et iroquoiens, les ancêtres des nations actuelles, se seraient établis sur le territoire. Leur origine géographique est inconnue, ces groupes pouvant venir du sud (actuelle Nouvelle-Angleterre) ou encore de l'ouest et du sud-ouest (les prairies). Bref, nous ne savons que très peu de choses à propos de cette époque.

[modifier] Le Sylvicole (-3000 à 1524)

L'Agriculture apparait de façon expérimentale vers le VIIIe siècle. Ce n'est qu'au XIVe siècle qu'elle est pleinement maitrisée dans la vallée du fleuve Saint-Laurent. Les Iroquoïens cultivait entre autres le maïs, la courge, le tournesol, et le haricot. Elle est absente des territoires situés plus au nord, le climat étant trop rigoureux et le sol rocailleux étant infertile. Un réseau de commerce élaboré s'établi graduellement le long du Saint-Laurent entre les nations de chasseurs-cueilleurs du nord, principalement algonquiens, et les groupes semi-nomades du sud, iroquoiens. Cette longue tradition de commerce expliquerait la facilité avec laquelle les premiers arrivants européens établirent un réseau de traite des fourrures. Ceci aussi entre en contradiction avec le mythe populaire du commerçant européen obtenant des fourrures de grande valeur pour des pièces de mirroir ou quelques pacotilles. Les amérindiens était en fait d'habiles négociateurs, traitant simultanément avec différents commerçants européens pour obtenir le meilleur prix pour le fruit de leur chasse.

[modifier] Peuplement autochtone de l'Arctique

L'Arctique canadien aurait d'abord été peuplé par un groupe appelé Culture de Dorset. Ce peuple, mal adapté aux rigueurs du climat, aurait été supplanté par l'arrivée du peuple de Thule, les ancêtres des Inuits actuels. Les légendes de ces derniers mentionnent d'ailleurs un peuple nommé Tunit qui habitait cette région avant leur arrivée.

Le peuple Thule,quant à lui, serait arrivé sr le territoire de l'Alaska vers l'an 500 et se serait implanté sur le territoire actuel du Nunavut vers l'an 1000 pour finalement atteindre le Groenland au 13e siècle.

[modifier] Explorations Vikings

Autour de l'an 1000, L'explorateur Viking Leif Ericson (fils d'Erik Le Rouge) atteignit le Vinland, que l'on croit être l'Amérique du nord. Des vestiges archéologiques d'habitations scandinaves sur la rive nord Golfe du St-Laurent ainsi qu'un autre, le plus célèbre, à l'Anse aux Meadows à Terre-Neuve confirment la présence Viking en Amérique du nord. Il existe pourtant deux grandes inconnues: jusqu'où en Amérique du Nord les Vikings poussèrent leurs explorations et quels facteurs en précipita leur départ. Les plus récentes hypothèses pour expliquer ce départ prématuré suggèrent une lutte intestine entre paiens et Chrétiens au sein des Scandinaves, ainsi qu'un conflit avec les peuples autochtones rencontrés, qui les chassèrent.

[modifier] Explorations chinoises

En 2002, l'auteur britanique Gavin Menzies publia un livre intitulé 1421, the year China discovered the world où il avance qu'une imposante flotte quitta la Chine en 1421 avec pour mission d'explorer le monde. Une partie de cette flotte aurait visité la côte ouest du continent nord-américain, débarquant dans la région de Vancouver entre autres. Une autre partie de la flotte aurait, quant à elle, traversé l'Océan Indien pour joindre l'Atlantique, pour se diviser encore, un groupe navigant en direction du nord. Une petite colonie de naufragés aurait été fondée, entre autres, au Massachusset et il est possible qu'une partie de la flotte restante aurait visité les côtes de la Nouvelle-Écosse, de Terre-Neuve et du Labrador. Bien que la découverte de nombreux indices semble de plus en plus confirmer les affirmations de Menzies concernant le reste du monde, notamment une présence chinoise régulière sur la côte ouest du continent, l'exploration de la Côte est de l'Amérique du Nord par une flotte chinoise ne semble qu'être au stade de l'hypthèse.

[modifier] Premières explorations européennes

Dès la deuxième moitié du 15e siècle, les Portugais poussent leurs explorations de plus en plus loin dans l'océans Atlantique. En 1472, João Vaz Corte-Real se fut remettre des terres sur île de Terceira dans les Açores pour avoir découvert "Terra do Bacalhau", une île fantôme sur les cartes marines de l'époque que de nombreuses spéculations associent à Terre-Neuve.

Suite à l'engouement provoqué par la découverte des Antilles par Christophe Colomb en 1492, et par le potentiel commercial que la découverte de nouveaux territoire par la Portugal et l'Espagne, L'Angleterre décida d'entrer dans la course à l'exploration et envoya Jean Cabot, qui explora les côtes de Terre-Neuve, du Labrador et de la Nouvelle-Écosse pour en prendre possession au nom roi en 1497. L'établissement de colonies de pêcheurs Basques, Bretons, Français, Hollandais, Irlandais et Anglais pour exploiter le grand banc de Terre-Neuve suivi de peu. Très peu de ces colonies devinrent des établissements permanents.

D'autres pêcheurs et balainiers, surtout d'origine Basque, s'aventurèrent dans le Golfe du St-Laurent et remontèrent l'estuaire du St-Laurent, jusqu'à celui de la rivière Saguenay pour tirer profit de ces eaux riches en poissons et balaines. Bien que de nombreux vestiges archéologiques attestent cette présence, on ne peut toutefois pas ici parler de "découverte" à proprement parler car ces pêcheurs gardaient jalousement le secret de l'emplacement d'où ils tiraient leur richesse.

La France ne s'intéressa que tardivement aux explorations et mandata Giovanni da Verrazzano en 1524 pour explorer les côtes du nouveau continent dans l'espoir de trouver une route navigable pour atteindre les Indes et la Chine. Il se rendit jusqu'aux côtes de la Floride et remonta vers le nord jusqu'à Terre-Neuve. Il donna à ce territoire d'une superficie indéterminée le nom de Nouvelle-France. Il rentra donc bredouille non sans avoir été émerveillé par la beauté du paysage qu'il a comparé à une région de la Grèce qu'il connaissait probablement, l'Arcadie. Plus tard, on désigna sous le nom d'Acadie, cette partie de la Nouvelle-France correspondant à la Nouvelle-Écosse actuelle.

C'est en 1534 que l'explorateur Malouin Jacques Cartier franchit le détroit de Belle-île et explora le Golfe du St-Laurent au nom du roi de France, avec pour mission de découvrir un passage menant vers la Chine et ses richesse et de prendre possession du pays fraîchement "découvert": le Canada. Il effectuera deux autres voyages durant lesquels il remontera le cours du Saint-Laurent jusqu'au site actuel de la ville de Montréal.

En 1541, Jean-François de la Roque de Roberval devient lieutenent de la Nouvelle-France et est chargé d'établir une colonie en Amérique. C'est Cartier qui fonde Charlesbourg Royal, premier établissement français en sol américain. Ce fut pourtant un échec et ces premières colonies furent abandonnées.

Après les trois décevants voyages de Cartier, la France ne voulait plus investir des sommes importantes dans une aventure si incertaine. Suivra donc une longue période de désintéressement de la part des autorités françaises. Il faudra attendre la toute fin du 16e siècle pour que renaisse un intérêt certains pour ces lointaines contrées nordiques.

[modifier] Liens

Histoire de la Nouvelle-France Histoire du Canada


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Histoire de la Nouvelle-France

Voir article principal : Nouvelle-France

L'histoire de la Nouvelle-France commence officiellement avec la prise de possession du territoire par l'explorateur français Jacque Cartier le 24 juillet 1534 lorsqu'il planta une croix sur le sol de la péninsule de Gaspé. De nombreuses nations autochotones habitaient déjà la région et Cartier n'était pas le premier européen à y mettre le pied, notamment des pêcheurs basques et bretons connaissaient bien la région (voir, pour plus de détails, l'article Histoire du Canada (pré Nouvelle-France)). Il fut par contre le premier à le faire officiellement, les pêcheurs-explorateurs gardant jalousement le secret de l'origine de leur richesse.

[modifier] Premières tentatives de colonisation

Les second et troisième voyages de Cartier eurent pour but l'établissement d'une colonie permanente. En 1541, Jean-François de la Roque de Roberval devient lieutenent de la Nouvelle-France et est chargé d'établir une colonie en Amérique. C'est Cartier qui fonde Charlesbourg Royal, premier établissement français en sol américain. Par contre, pour diverses raisons EXPLIQUER CES RAISONS, cette tentative fut un échec et la France décida de ne plus investir des sommes importantes dans une aventure si incertaine. Suivra donc une longue période de désintéressement de la part des autorités françaises. Il faudra attendre la toute fin du 16e siècle pour que renaisse un intérêt certains pour ces lointaines contrées nordiques.

Toutefois, la région était toujours visitées par les pêcheurs et balainiers qui venaient s'approvisionner en morues et en huile de baleine. Comme ces activités demandaient d'y passer un certain temps afin de dépecer et d'extraire l'huile de balaines ainsi que pour sécher et saler les morues, les contacts avec les amérindiens ammenèrent à des échanges d'objets en métal, bien utiles pour les autochtones dont les connaissances métalurgiques étaient rudimentaires, contre des fourrures, essentielles aux Européens pour supporter le froid climat du pays. Peu à peu, ce commerce devint de plus en plus rentable et l'intérêt fut revigoré pour cette «terre de Caën».

[modifier] Une colonie marchande 1608-1662

Les profits potentiels que représentaient le commerce des fourrures encouragèrent certains commerçants à vouloir établir des établissements permanents afin de rendre cette activité régulière et rentable. Par contre, à la tête de l'État français, tous ne partegeaient pas cet avis. Des compagnies de marchants se formèrent qui tentèrent d'intéresser la couronne à une entreprise de colonisation en Amérique française. En échange du monopole de la traite des fourrures, ces compagnies s'engageaient à peupler le territoire. Cela devait permettre une colonisation à faible coût pour l'État, ainsi qu'une augmentation des profits des marchands grâce à un réseau de comptoirs permanents et l'établissement d'alliances avec les fournisseurs. Par contre, les partisants d'un commerce libre firent aussi des pressions contre l'établissement d'un monopole. RÉSULTATS -> Nombreuses compagnies???

Finalement, c'est la Compagnie des Cents Associés, ou la Compagnie de la Nouvelle France, fondée par le Cardinal de Richelieu se vit confier le monopole du commerce dans les colonies en 1627 et eu des problèmes de colonisation aussi tôt que 1628 et 1629, à cause d'interventions de pirates anglais. PLUS DE DÉTAILS ICI.

Ils établirent des seigneuries à condition qu'elles recrutent des colons. Par contre, le succès fut mitigé car peu d'énergie fut en fait déployées au recrutement de colons, une activité peu rentable pour les compagnies beaucoup plus intéressées au commerce des fourrures. De cette première vague de colons, beaucoup de ces jeunes hommes devinrent coureurs des bois, assurant la liaison avec les postes de traite les plus reculés et adoptant le mode de vie des Amérindiens.

Cette période vit aussi l'arrivée de nombreux religieux et religieuses, venus dans la région pour évangéliser les peuples autochtones. (en citer quelques uns? Ils fondèrent des écoles et des hôpitaux destinés tand au colons qu'aux "Indiens" et contribuèrent grandement à la stabilité et la permanence de la colonie, fondant notamment Ville-Marie, établissement qui allait devenir plus tard Montréal.

[modifier] Conseil souverain (1663-1759)

Constatant le développement anémique de la Nouvelle-France aux mains de la compagnie de la Nouvelle France, Louis XIV décida de prendre en main directement les activités de colonisation. Il fonda le conseil souverain en 1663??? Plus de détails? Avec la gestion efficace de l'intendant Jean Talon, la colinie se développa rapidement. De nouvelles villes, paroisses et seigneuries furent fondées. Les explorations étendirent le territoire de plus en plus vers l'ouest et le sud (Qu'en est-il de la Louisianne?). Toutefois, cela n'était pas sans problèmes.

[modifier] explorations du territoire

La vérendrie, etc...

[modifier] Guerres avec les Amérindiens

Autour de 1700, guerre: Causes, batailles, issue.

[modifier] Les filles du Roy

La majorité des colons: jeunes hommes. Débalancement démographique. Décision d'ammener les filles du roy, orphelines ou enfants illégitimes que le roi dotait généreusement pour intéresser les colons. Pas prostituées, contrairement au mythe populaire.

[modifier] Conflit avec la Nouvelle-Angleterre

L'Angleterre, qui poussait beaucoup vers une colonisation, lorgnait les territoires de la Nouvelle-France. 1000000 d'Anglais contre 30000 Français dans un territoire plusieurs fois plus grand. Étaient intéressants surtout la vallée de L'Ohio. En 17?? perte de la Baie D'Hudson et de L'Acadie suite au traité D'Utrech (plus de détails sur la cause de cette guerre et les conséquences, entre autres la déportation.)

La guerre éclate de nouveau en 1756 entre les Britanniques et les Français le long du fleuve Ohio. La guerre s'étend jusqu'au Canada et se transporte aussi en Europe (voir guerre de sept ans). Les Français remportent tout d'abord plusieurs batailles. Par contre, Louisbourg tombe en 1758, permettant aux flottes anglaises de remonter le Saint-Laurent jusqu'à Québec. C'est en septembre 1759 que les Britanniques, conduits par le général Wolfe, attaquent Québec après un long et pénible siège, sur les plaines d'Abraham. Les Français, conduits par le marquis de Montcalm, tentent de se défendre en vain. La ville tombe après une bataille de 15 minutes. Voir bataille de Québec. Ne voulant pas être surpris par l'hivers, les Anglais attendront l'année suivante pour prendre le dernier obstacle à la possession du territoire: Montréal. La ville, encerclée, se rendit sans combattre. La guerre se poursuivant parallèlement sur le continent européen, au faudra attendre 1763, avec le traité de Paris, pour voir la prise de possession officielle du territoire par la couronne britanique. La France gardit ses colonies des Caraïbes ainsi que les îles de Saint-Pierre et Miquelon, au sud de Terre-Neuve. La région entourant la vallée du Saint-Laurent, sera renommée Province of Quebec, et la Louisianne passera aux mains de L'Espagne.

[modifier] Liens

Histoire du Canada (pré Nouvelle-France) Histoire du Canada (régime anglais, 1760-1867) Histoire du Canada

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Histoire du Canada (régime anglais, 1760-1867)

Conventionellement, les historiens divisent cette époque de l'histoire canadienne en fonction des changements de l'organisation politique et constitutionelle de la colonie. En effet, diriger une colonie peuplée par des gens ayant une langue et une religion différente du peuple occupant, dans une climat d'instabilité et de frictions soulève de nouveaux problèmes auxquels on tente de trouver des soulutions. De plus, les idéaux de démocratie et de pouvoir au peuple, inspiré par la révolution américaine aide pas, bordel! Bon, ça devrait faire...

[modifier] Province of Quebec, 1763-1791

Suite à la guerre de sept ans, guerre impliquant les plus puissantes nations européenne et encouragée en Amérique par la pression démographique des treize colonies anglaises d'Amérique qui lorgnaient les territoire non colonisés de la vallée de L'Ohio, La France perdit ses colonies de Nouvelle-France. Le Canada passa aux mains des Anglais, qui nomèrent le territoire province of Quebec et la Louisianne, aux mains des Espagnols. Le Canada fut conquis dès 1760, mais il fallut atteindre trois ans, et la fin définitve du conflit sur le continent européen, pour que la colonie devienne officiellement une colonnie britannique, avec le traité de Paris.

[modifier] Proclamation Royale

La Proclamation royale vise d'abord et avant tout à angliciser le plus rapidement possible la «Province of Quebec» par toute une série de mesures. PLUS DE DÉTAILS SUR LES CONDITIONS ET LE TERRITOIRE.

[modifier] Acte de Québec, 1774

L'Angleterre prit une bien mauvaise décision concernant le territoire situé à l'ouest des Appalaches et convoité par ses autres territoires connus sous le nom de Treize Colonies. En partie à cause de la révolte de Pontiac, elle interdit à ses sujets de franchir les Appalaches pour aller s'y établir en permanence. Comme la possession de ces territoire fut ce qui poussa les colons de la Nouvelle-Angleterre à (DÉCLENCHER OU S'ENGAGER) dans ce conflit, cette décision causa un grand mécontentement, qui associé à un désir d'une plus grande représentativité au sein du gouvernement et de la levée de nouvelles taxes, poussa la montée d'un courant de révolte. En 1774, afin de s'assurer que la province de Québec de soit pas tentée de joindre ce mouvement constetataire, l'Acte de Québec fut proclamé. En vertue de cet acte, on accorde donc au colons Français:

  • Le rétablissement des lois civiles françaises.
  • Un territoire agrandi (la Province of Quebec s'étend du Labrador à la vallée de l'Ohio et de là jusqu'au Mississipi).
  • On rétablit le système seigneurial. (Ce qui autorise les seigneurs à recommencer à percevoir leurs redevances auprès des censitaires.)
  • La religion catholique est reconnue dans ses pleins droits. (Ce qui permet aux curés de demander aux paroissiens de payer la dîme.)
  • Abolition du serment du Test.
  • Des Canadiens français seront admis au Conseil.

Pour les Treize Colonies, l'Acte de Québec fut une autre de ces lois «intolérables» (avec la fermeture du port de Boston et la dissolution de l'Assemblée du Massachusetts). Cela accéléra ce mouvement irréversible qui mena tout droit à l'Indépendance des États-Unis d'Amérique qui fut acquise avec le Traité de Versailles de 1783. (voir aussi Histoire des États-Unis et Guerre d'indépendance américaine)

[modifier] Acte constitutionel, 1791-1840

[modifier] Causes du changement de régime

Suite à la victoiredes troupes de l'indépendance, des habitants du pays, désirant rester fidèles à la couronne, décidère de déménager vers la colonie britanique restante, la province de Québec. On estime environ 100000 de ces gens. 30000 vers Nouvelle-Écosse, que l'on divisa pour créer Nouveau Brunswick en 1784 et environ 10000 dans le sud (cantons de l'est actel), des frictions commencèrent à surgir entre français et anglais. Ils voulaient lois anglaise et n'amaient pas la cohabitation avec la lange et la religion. De plus, un mouvement vers un gouvernement de la colonie élu commençait à faire beaucoup de pression. Solution: division de la colonie en deux, l'une nommé Haut-Canada, correspondand au sud de l'actuelle ontario et Bas-Canada, correspondant au sud du Québec actuel. (explication de la composition du pouvoir).

[modifier] Changements économiques et sociaux

Mais tout ne se résumait pas à la politique. Au tournant du 19e siècle, bien des choses n'étaient plus comme avant. L'économie évoluait. La fourrure était maintenant supplantée par les productions de bois et de blé qui allaient devenir les deux ressources les plus importantes dans les Canadas. Une cause extérieure allait provoquer le début de tous ces changements. Au début du 19e siècle, l'empereur Napoléon isola l'Angleterre avec son blocus continental, ce qui força cette dernière à venir s'approvisionner en Amérique.

Une révolution se préparait dans le domaine des transports avec les premiers canaux et les premiers chemins de fer. Même le domaine financier n'échappait pas à toutes ces mutations. On vit apparaître les premières banques. Dans le monde agricole aussi la situation changeait. Il y avait maintenant une importante demande en Angleterre pour les productions canadiennes. Le Haut-Canada en profita pleinement mais les Bas-Canada entra dans une crise agricole grave qui le fit passer à côté de toute cette opportunité.

La société aussi changeait rapidement. À partir de 1815, l'immigration britannique vers les Canadas s'intensifia et atteignit bientôt des sommets nouveaux. Il s'agissait d'immigrants Irlandais, d'Écossais et d'Anglais que la famine, la misère et la pauvreté poussaient sur nos rivages. Encouragés par l'arrivée de tous ces anglophones, les dirigeants se remirent à rêver d'assimilation des francophones qui eux se montrèrent de plus en plus inquiets voire hostiles envers ces nouveaux arrivants qui, à la longue, risquaient de menacer leur majorité, qui leur apportaient des maladies et qui leur prenait leurs emplois. Les difficultés politiques se doublaient donc de grands changements économiques et de tensions sociales. La crise n'en serait que plus grave.

[modifier] Guerre contre les États-unis

En 1812, en pleine guerre napéoléonique, les états-unis appliquaient une politique de neutralité, ce qui consistait à maintenir des relations commerciales avec l'empire de napoléon. Il était donc vital pour la grande bretagne de perturber autant qe possible le trasport maritime. Le tort fait à l'économie américaine, ainsi que la peur que les britanniques pousse les indiens à attaquer les frontières, poussa les américains à tenter une invasion du Canada. La guerre se termina en 1815. Cette guerre fut considérée comme une victoire pour chaque camp: les canadiens repoussèrent l'invasion et les américain démontrère leur puissance en s'attaquant à l'une des plus puissante armée de l'époque. Bien qu'ayant eu peu de conséquence politque en angleterre, presque oublié, Et oublié des canadiens français comme étant une guerre qui ne les concernaient pas, favorisa un sentiment national chez les loyalistes.

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[modifier] Acte d'union, 1840-1867

[modifier] Tentatives d'assimilation des Canadiens-Français

[modifier] Responsabilité ministérielle, 1848

[modifier] Vers une Confédération des colonies britanniques

[modifier] Liens

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Histoire moderne du Canada (après 1867)



Histoire moderne du Québec (après 1867)