Adombrement

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Dans la terminologie de l'ésotérisme et plus particulièrement de la magie blanche, l'adombrement est un mode de possession par une entité spirituellement avancée (par exemple : le Christ adombrant Jésus)) avec le plein accord de l'entité ainsi adombrée

[modifier] Usage du terme

Aurobindo parle de "descente" d'un pouvoir céleste au sens du charisme des apôtres. L'adombrement permettrait à l'entité d'éviter l'obligation de s'incarner, ce qui serait pénible voire, dans certains cas, impossible. [réf. nécessaire]

Ce terme est surtout utilisé dans la littérature ésotérique (œuvres d'Alice Bailey, d'Héléna Blavatsky, d' Annie Besant, de Charles Leadbeater, et quelques autres auteurs)(comme Benjamin Creme), pour définir une action utile à l'humanité, telle que le fait d'enseigner, d'abord à un petit cercle de disciples privilégiés. [réf. nécessaire]

Il existe une forme dite majeure de l'adombrement, consistant pour un grand être céleste tel qu'un "Boddhisattva" (ou Christ), à adombrer un groupe plus ou moins important, en nombre, d'une qualité démontrée depuis plusieurs incarnations, et agissant en tant que groupe d'âmes constitué depuis longtemps. [réf. nécessaire]

La Théosophie tient l'actuel Bodhisattva, (et futur Bouddha Maïtreya), pour la même entité que le Christ des Chrétiens, que le Mahdi des musulmans, ainsi que le Mashiah de la religion Hébraïque.

Le New Age s'est aussi approprié le terme.

[modifier] sources :