Discuter:Zita de Bourbon-Parme

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J'ai déplacé "Zita de Parme" vers "Zita de Bourbon-Parme", car c'est sous ce nom qu'elle est le plus connue. C'est d'ailleurs la forme retenue par les WP en anglais et en allemand. Le classement dans la Catégorie:Capétien me semble un peu lointain, mais je ne suis pas spécialiste de la question. --Alain Caraco 6 sep 2004 à 15:07 (CEST)

Quand vous prêtez à divers politiciens français, dont Georges Clémenceau", une "haine féroce...", vous n'émettez oas un jugement de valeur???


[modifier] les tentatives de paix de l’Empereur Charles

Le nouvel empereur d’Autriche, Charles, était tout à fait conscient que l’entrée en guerre des USA signifiait à terme la défaite des Empires Centraux ; aussi, poussée également par l’Impératrice Zita, d’origine et de culture françaises, nostalgique de l’alliance franco-autrichienne de 1756 contre la Prusse, il engage des conversations secrètes avec Poincaré par l’intermédiaire de ses deux beaux-frères, Sixte et Xavier de Bourbon-Parme officiers dans l’armée belge. Ceux-ci sont reçus à Vienne les 23-24 mars et partent pour Paris avec une lettre pour Poincaré. Très vite, le projet prend de l’ampleur et le gouvernement britannique est informé.

Après diverses péripéties, les conversations échoueront pour les raisons suivantes :

- Charles n’envisageait qu’une paix générale avec un retour au statu quo ante à quelques modifications près ; l’Alsace-Lorraine serait restituée à la France et l’Allemagne recevrait en compensation la Pologne autrichienne mais l’Italie qui n’obtenait pas grand-chose, fit tout pour faire échouer la négociation. L’Entente franco-anglaise espérait une paix séparée, voir un renversement des alliances, contre le Reich, chose impensable pour Charles.

- Or, la Grande-Bretagne était rentrée en guerre en 1914 pour deux raisons : la restauration de la Belgique dans son indépendance totale et la menace représentée par la flotte allemande qui devait être éliminée.

- La France, quant à elle, n’envisageait aucune paix sans la restitution de l’Alsace-Lorraine.

Pour résumer, si Charles voulait la paix, le Reich devait faire les concessions les plus importantes.

Ces concessions étaient impensables pour tout allemand et aucun de ses objectifs de l’Entente ne pouvait être obtenu sans une défaite allemande, ce qui a provoqué l’échec des pourparlers. D’autre part, Charles commit l’erreur de faire ses propositions par écrit. Cela sera exploité contre lui à la fois par son propre ministre des affaires étrangères, le comte Czernin et par Clémenceau, tous deux hostiles à cette paix sans victoire.

Les conséquences de cet échec furent la fin de «l’Europe de Metternich» qui n’envisageait de guerre que pour rétablir un équilibre menacé entre puissances partageant le même système de valeurs. Désormais, les ennemis vont rentrer dans une logique de guerre totale qui doit conduire à la destruction totale du vaincu, sans se soucier de savoir si le résultat obtenu pourrait lui-même être générateur d’un autre conflit.


Bon, c'est un sacré charabia que tout cela. D'autant plus indigeste que plus on entend de partisans des Habsbourgs, plus on part dans tous les sens!!! Pas la peine de se livrer à un tel exercice. Comme vous le dites si bien : moi Charles, je veux la paix ; toi Guillaume, tu te déshabilles! OK ! Ben mon vieux, étonne-toi que le Guillaume l'ait pas voulu!!!

Quant à l'Europe Metternich??? Elle n'a du son salut qu'à l'intervention ds Russes en 1848. Ben, on est libre de préférer Brejnev à Alexandre, non?