Wallon (parti politique)

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WALLON




Président	André Libert

Fondation	2004
Siège	Rue de la Libération, 24, 6040 Jumet

Au niveau fédéral
Chambre	0 députés
Chef de groupe
Sénat	0 sénateurs
Chef de groupe
Ministres fédéraux
Secrétaires d'État

Dans les entités fédérées
Parl. flamand	0 députés
Parl. wallon	0 députés
Parl. Comm. française	0 députés
Parl. bruxellois	0 députés
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Au parlement européen
Représentants	0 députés 0 commissaire
Affiliation européenne
Affiliation internationale

Idéologie(s)	Indépendantisme wallon
Couleur	Jaune & Rouge

Site officiel	WALLON

voir aussi Constitution belge Politique de la Belgique Monarques de Belgique Gouvernement fédéral belge Premiers ministres belges Partis politiques belges Élections belges

Le parti belge Wallon (Wallons agissons et luttons pour la liberté et une organisation nouvelle) est un pôle électoral formé en 2006 par le Rassemblement wallon (qui décide le 14 janvier 2004 de quitter le RWF en raison d'une querelle pour la première place à la chambre à Charleroi revendiquée et obtenue par Paul-Henry Gendebien. Dès 2004, il présente des candidats dans trois arrondissements sur cinq dans la province de Hainaut belge. Depuis, il dépose des listes dans d'autres arrondissements. Il est surtout actif dans le canton de Fontaine-l'Évêque où réside son président André Libert.

[modifier] Programme

Le pôle wallon, partisan d'une Wallonie plus autonome, a pour principale caractéristique de prôner l'indépendance de la Wallonie nuancée par un possible rapprochement autre que culturel avec la France. Le parti entend marquer sa solidarité avec les francophones et Wallons de Bruxelles, mais aussi avec la Suisse romande, le Val d'Aoste,... . Son projet politique est développé par le Rassemblement wallon sur le site du pôle wallon.

[modifier] Résultats électoraux

Aux élections wallonnes de 2004, dans les trois seuls arrondissements où il s'est présenté, le parti a récolté 1,49 % des voix dans l'arrondissement de Thuin (1,9 % dans le canton de Binche), 1,19 % dans l'arrondissement de Charleroi (1,49 % dans le canton de Fontaine-l'Évêque) et 1,1 % dans l'arrondissement de Soignies (1,45 % dans le canton de La Louvière). Dans la province de Namur, le mouvement des Citoyens wallons, en alliance avec le Mouvement socialiste, a récolté 0,18 % des voix.

Aux élections provinciales de 2006, le RPW rejoint le pôle et son leader réalise le meilleur score des toutes les listes wallonnes présentées en Wallonie aux provinciales dans le district de Thuin, ce qui dérange énormément l'autocrate leader du RW, dans les trois seuls arrondissements où il s'est présenté, le parti a récolté 3 % dans l'arrondissement de Thuin (4,04 % dans le canton de Beaumont, 3,44% dans le canton de Thuin, 2,95 % dans le canton de Binche), 1,11 % dans l'arrondissement de Charleroi (1,72 % dans le canton de Charleroi, il ne se présentait pas dans le canton de Fontaine-l'Évêque), et 1,03 % dans l'arrondissement de Soignies (2,47% dans le canton de La Louvière)les deux meilleurs scores personnels sont alors à Charleroi sur 140.000 électeurs: Libert 236 voix et à Thuin sur 40.000 électeurs: Dutron 236 voix .

Aux élections fédérales de juin 2007, le pôle a du affronter une dissidence avec un « Parti wallon » dirigé par un ex-militant du FN accepté en son temps par Libert en 2006 pour mener et la liste communale de la cité des loups et la première candidature provinciale "Wallon". Cette dissidence a partagé les votes indépendantistes en Haynaut traditionnellement la province au plus fort taux de pénétration du mouvement Wallon en général. Dans cette élection, les circonscriptions étaient provinciales. Dans les trois seules provinces wallonnes où il s'est présenté, le parti a récolté 0,47 % dans la province de Hainaut (avec un meilleur score de 2,80 % pour les électeurs de l'étranger), 0,51 % dans la province de Liège (avec un meilleur score de 1,99 % pour les électeurs de l'étranger) et 0,67 % dans la province de Namur (avec un meilleur score de 3,31 % pour les électeurs de l'étranger).

[modifier] Liens externes

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