Discuter:Vincent-Marie Viénot de Vaublanc

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

↓ Avancer jusqu'au sommaire ↓
Cet article a été évalué dans le cadre du projet Wikipédia 1.0
info
Trophée page d'accueil Vincent-Marie Viénot de Vaublanc est apparu sur la page d'accueil de Wikipédia en tant qu'article mis en lumière le

19 et 20 juillet 2007.


l'article est très intéressant mais il faudrait le sourcer très précisémentRoucas 8 janvier 2007 à 16:43 (CET)

je suis actuellement en partiel jusqu'au 20 janvier, je l'approfondirait à cet dateAymeric78 8 janvier 2007 à 20:23 (CET)


[modifier] Armes comte de vaublanc

Il me semble que vincent de Vaublanc possédait d'autres armes sous l'empire avec notamment les meubles de prefet et de la legion d'honneur. Une variante des armes de sa famille. Je vais essayer de les retrouver. Bravo pour votre travail Aymeric76

c'est tout à fait vrai, mais je ne l'ai pas en ma possession
Aymeric78 8 avril 2007 à 15:50 (CEST)

coupé, au 1 d'azur, à la tour d'argent, maçonné de sable; au 2 de gueules au lion léopardé d'argent d'après le dictionnaire encyclopédique de la noblesse de france de Nicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842) Paris 1816 [1][2] Aymeric78 19 septembre 2007 à 21:59 (CEST)


J'ai l'intention de proposer prochainement la page « Vincent-Marie Viénot de Vaublanc » au label « article de qualité ». Si vous estimez que la procédure est prématurée, vous pouvez me contacter pour me faire part de vos arguments.
Votes précédents : Proposition « Article de qualité »
{{{2}}}

Roucas 4 mai 2007 à 14:29 (CEST)


La bibliothèque libre. Aller à : Navigation, Rechercher Revue des Deux Mondes, tome 23, 1840 V. de Mars

Chronique de la quinzaine.- 31 août 1840

Mémoire sur le commerce maritime et colonial de la France, écrit, dit-on, par un ancien délégué de la Guadeloupe, M. de Vaublanc, et qui a été publié en 1832 dans les Annales maritimes, Achille Vaulabelle page 1816 Chute de l’Empire, histoire des deux Restaurations jusqu’à la chute de Charles X, tome quatrième, Paris, 1847, Perrotin éditeur de la méthode wilhem et l’orphéon.


Chaque jour à la sortie du conseil, M. de Vaublanc entrait chez le comte d’Artois, soit pour lui communiquer officieusement les mesures arrêtées ente tout les ministres, ou celles qu’il comptait prendre dans le département dont il était titulaire, soit pour connaître les correspondances arrivées au prince dans la journée, et recevoir ses ordres. Ces relations intimes avec l’héritier présomptif de la couronne, cette existence d’une sorte de gouvernement dans le gouvernement blessaient depuis longtemps les susceptibilités du président du conseil.

http://books.google.com/books?id=gHAuAAAAMAAJ&pg=PA82&lpg=PA82&dq=vaulabelle+vaublanc+capelle&source=web&ots=eFG8mbU_fv&sig=4qMX0AuD3gFoif_ax2GPBjXCAf0#PPP1,M1


Histoire de la Restauration, Louis de Viel-Castel, tome troisième, Paris, Michel Lévy Frères, Libraires-Editeurs rue Vivienne 2 bis, 1861

« Quelques jours auparavant, Louis XVIII avait désigné MM. De Beurnonville, de Lally, de Vaublanc et Capelle pour résider, en qualité de commissaires royaux, auprès des généraux alliés qui pourrait pénétrer en France, ou même pour les y précéder et essayer de prévenir les abus de la victoire, mais à Bruxelles, où ils s’étaient rendus pour reconnaître leur caractère, on les avait assez mal accueillis, et ils avaient pu reconnaître que, chez une partie au moins des alliés, il existait un dessein bien arrêté de traiter la France en pays conquis.

http://books.google.com/books?id=N4t3O4yRg2wC&pg=PA300&lpg=PA300&dq=vaublanc+capelle&source=web&ots=BLMTBZudpa&sig=KDiVQfehzmrbRjE431h9JDvevrc

http://www.napoleon-series.org/military/organization/etat/c_etatchapter2a.html

Hyppolyte Taine « N’est-il pas scandaleux, dit Vaublanc, que les représentants de la nation, parlant à la tribune, soient sujets à des huées, comme des histrions déclamant sur un théâtre ? » Et les tribunes le huent à trois reprises. –

Malgré tous ses efforts, et l’aide apportée dans cette tâche par le préfet de Metz, le comte de Vaublanc, il ne put contenir que jusqu’à Troyes l’impatience de ses troupes qui l’abandonnèrent pour aller au-devant de Napoléon.