Vendegies-sur-Écaillon

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Vendegies-sur-Écaillon

Pays	France
Région	Nord-Pas-de-Calais
Département	Nord
Arrondissement	Cambrai
Canton	Solesmes
Code Insee	59608
Code postal	59213
Maire Mandat en cours	Michel Wallerand 2008-2014
Intercommunalité	Communauté de communes du Pays Solesmois
Latitude Longitude	50° 15′ 46″ Nord 3° 30′ 44″ Est / 50.2627777778, 3.51222222222
Altitude	44 m (mini) – 102 m (maxi)
Superficie	6,57 km²
Population sans doubles comptes	1 029 hab. (1999)
Densité	156 hab./km²

Vendegies-sur-Écaillon est une commune française, située dans le département du Nord et la région Nord-Pas-de-Calais.

[modifier] Géographie

Située à la confluence de la rivière Écaillon et du ruisseau des Harpies

[modifier] Histoire

Vendegies sur Ecaillon, au croisement de la route de Valenciennes à Solesmes et de l'ancienne voie romaine de Bavay à Cambrai, correspond à la station romaine d'Hermoniacum, de nombreux objets romains ont été exhumés à cet endroit. La commune s'est appelée DUO-FLUMINA, VENDELEICE en 1153 puis VENDEGIES de 1201 à 1259 avant de prendre son nom actuel au XIIème siècle.

[modifier] Administration

Période		Identité
Liste des maires successifs
mars 2001	en cours	Michel Wallerand
Toutes les données ne sont pas encore connues.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1962	1968	1975	1982	1990	1999
812	813	802	911	1006	1029
Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes

[modifier] Lieux et monuments

Le "Menhir" est un mégalithe situé sur une des hauteurs du village. Une légende locale indique que les femmes allaient chercher les nouveau-nés sous cet imposant grès. Durant la Première Guerre mondiale, l'occupant allemand a redressé cette roche, en faisant ainsi un mégalithe. L. Desailly signale qu’en 1800, il restait encore 50 grès semblables au grès Montfort (=le menhir), répartis sur la bruyère, mais aujourd'hui seul celui-ci demeure. Le Dr Bonbart indique qu’à moins de 100 m de là, on a creusé des carrières parfois d’une profondeur de 10 m pour en extraire à grand peine d’autres grès moins importants. D’après Mme Moreau, vers 1870-72, on a essayé de le transporter au cimetière de la commune pour en faire un soubassement de calvaire. Un immense chariot attelé de 20 chevaux avait été prêté par la compagnie minière d’Anzin, la pierre fut soulevée sur des madriers, mais on ne put la déplacer. On la laissa donc sur place. Indiquée sur la carte de l’Etat Major, cette pierre porte différents noms: Le Gros Caillou ou Grès Montfort. Classé à l’inventaire des Monuments Historiques en 1980.