Discuter:Us et coutumes à la cour de Versailles

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Cet article ne devrait-il pas s'intituler Étiquette ? Je n'en ai aucune certitude du fait de l'ampleur des thèmes abordés, c'est juste une question :o) --Pontauxchats | 9 sep 2004 à 18:07 (CEST)

Du moins une partie pourrait en être retranchée pour articles Étiquette à Versailles sous Louis XIV, louis 15, etc..., et l'article renommé vie quotidienne à Versailles sous les mêmes L14 à L16 archeos

Il faudrait appeler l'article « étiquette sous l'Ancien régime français » ou autre intitulé du même tonneau, car ces usages n'étaient pas propres à Versailles. Au reste, l'article dans son état actuel mélange un peu tout et n'analyse pas beaucoup. On reste sur la collection d'anecdotes...
Par ailleurs, il y a des morceaux qui paraissent un peu trop inspirés de travaux déjà existant. Les passages sur la mode et le maquillage peuvent par exemple se retrouver ici. Jastrow |  9 sep 2004 à 19:18 (CEST)

[modifier] grammaire

"voire même" est une faute de français (préférez et même, ou même, ou simplement voire selon le contexte)

[modifier] à grammaire, grammaire et demi

"voire même" est tout sauf une faute de français. L'usage, qui depuis Vaugelas est le critère de référence de la correction du français, a consacré cette expression, qui est utilisée depuis le début du dix-septième siècle, et qu'on trouve chez les meilleurs auteurs. Il est curieux de trouver encore régulièrement de prétendus puristes qui attaquent cette expression, quand le débat devrait être définitivement clos pour une raison sans appel, en matière de correction de la langue française: Littré ne la condamne pas et en cite de nombreux exemples, dont un seul suffirait, puisqu'il est emprunté au Dictionnaire de l'Académie : "Ce remède est inutile, voire même pernicieux"... Eh ouais... Fan2jnrc

La Grande Ecurie Son nom ne doit rien à sa taille - identique à celle de la Petite Ecurie - mais vient du fait qu'elle était placée sous l'autorité du Grand Ecuyer qui avait la charge des chevaux de main parfaitement dressés pour la chasse ou la guerre, et réservés à l'usage des rois et des princes.


Le Musée des Carrosses Installée dans l'une des galeries de la Grande Ecurie, la collection qui fut rassemblée par Louis-Philippe présente des voitures historiques, des traîneaux et des chaises à porteurs.

Ce musée est la préfiguration d'un grand musée des Carrosses qui, après restauration complète des voitures, devrait permettre d'illustrer l'histoire et la vie des écuries royales à Versailles, d'atteler à huit chevaux le carrosse du Sacre et le Char funèbre et, enfin, de créer une sellerie pour les somptueux harnachements de maroquin rouge et de bronze doré.

Toutes les voitures, d'une qualité exceptionnelle, ont participé à un ou plusieurs événements marquants de l'histoire de France. Ce sont sept berlines de cérémonie commandées en 1810 pour le mariage de Napoléon Ier avec l'impératrice Marie-Louise, le carrosse du baptême du duc de Bordeaux, la voiture du sacre de Charles X, le char funèbre de Louis XVIII ainsi que deux voitures ayant servi à la Présidence sous la IIIe République.


Les six traîneaux royaux évoquent les courses sur les allées enneigées du parc ou sur le Grand Canal pris par les glaces. Quatre chaises à porteurs des XVIIIe et XIXe siècles rappellent combien l'usage de ce véhicule était fréquent pour traverser les cours du château ou en parcourir les galeries.

La Grande Ecurie Son nom ne doit rien à sa taille - identique à celle de la Petite Ecurie - mais vient du fait qu'elle était placée sous l'autorité du Grand Ecuyer qui avait la charge des chevaux de main parfaitement dressés pour la chasse ou la guerre, et réservés à l'usage des rois et des princes.


Le Musée des Carrosses Installée dans l'une des galeries de la Grande Ecurie, la collection qui fut rassemblée par Louis-Philippe présente des voitures historiques, des traîneaux et des chaises à porteurs.

Ce musée est la préfiguration d'un grand musée des Carrosses qui, après restauration complète des voitures, devrait permettre d'illustrer l'histoire et la vie des écuries royales à Versailles, d'atteler à huit chevaux le carrosse du Sacre et le Char funèbre et, enfin, de créer une sellerie pour les somptueux harnachements de maroquin rouge et de bronze doré.

Toutes les voitures, d'une qualité exceptionnelle, ont participé à un ou plusieurs événements marquants de l'histoire de France. Ce sont sept berlines de cérémonie commandées en 1810 pour le mariage de Napoléon Ier avec l'impératrice Marie-Louise, le carrosse du baptême du duc de Bordeaux, la voiture du sacre de Charles X, le char funèbre de Louis XVIII ainsi que deux voitures ayant servi à la Présidence sous la IIIe République.


Les six traîneaux royaux évoquent les courses sur les allées enneigées du parc ou sur le Grand Canal pris par les glaces. Quatre chaises à porteurs des XVIIIe et XIXe siècles rappellent combien l'usage de ce véhicule était fréquent pour traverser les cours du château ou en parcourir les galeries.


yo slt tt le monde... poum chi ka chi poum ! bien ou bien ? poum chi ka chi poum !