Discuter:Salle de garde

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[modifier] Suppression

Dans la partie supprimée il y a certes quelques considérations personnelles mais on pourrait tout de même en conserver une partie : Par exemple : «Les internes peuvent s'y moquer de leur chef de service en toute impunité. Les joutes verbales y sont proverbiales. Les chansons paillardes y prolifèrent. Rien de ce qui se passe en salle de garde ne doit en sortir.» qui est un fait, même si cela peut être reformulé. «l'aspect patrimonial est pourtant reconnu par L'Assistance Publique qui y a consacré une exposition lors du bicentenaire de l'internat en 2002», suffit de chercher un peu sur le net, mais c'est du concret. Bref, je ne pense pas qu'on puisse trouver un jour un document de l'AP qui précise qu'il faille supprimer les salles de garde mais moi en seulement 2 ans j'ai vu des modifications/changement de salle de garde les rendants inutilisables (en tant que salle de garde). Bref, je vais essayer de trouver des sources quand même ! Baptou (d)

Sources !!! :)
Discours de Henri Mondor à la Sorbonne (http://www.aaihp.fr/150ans.html) «De même, si la pétulance et les audaces des récréations d'internes, dans leur remuante camaraderie, surprennent certains observateurs, bien vertueux sans doute, puisqu'ils se disent parfois choqués, opposons-leur la difficulté, à travers les instants joyeux et les jeux d'une salle de garde, de prévoir l'avenir de tous les jeunes convives, l'itinéraire de leurs destinées.» plus loin «Bien des fois, les salles de garde ont eu à subir l'épreuve aléatoire des descriptions romancées et quelques-unes de ces réunions ont laissé à des invités de marque, le souvenir d'un foyer intellectuel influent, où l'amour de la liberté, de l'indépendance, de la culture générale et de l'esprit critique entretiendraient de frémissantes célébrations.»
Je vais finir par trouver plein de trucs ! :D Baptou (d)
Encore ! :)
(http://www.sihp.fr/LePlaisirDesDieux.php?Rubrique=Internat) «Écrivains, artistes, peintres ont fréquenté jadis les salles de garde, laissant des témoignages écrits (qu’il s’agisse des Goncourt…), ou picturaux. Elles assument pleinement leurs histoires. De grands noms de la médecine les ont fréquenté et les fréquentent toujours, comme en témoignent les fresques d’hier et d’aujourd’hui.
Or cette exception identitaire et culturelle se voit menacée par une gestion des hôpitaux qui se veut économe et profondément pensée en termes administratifs. Dans cette perspective, la donnée identitaire du lieu et de ses traditions importe peu. L’aspect culturel et historique ne trouve pas sa place. L’administration veut parfois supprimer les Internats avec ses chambres en premier lieu puis sa salle de garde sur ces arguments.»