Discuter:Rutènes

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J'ai aussi fait cette hypothèse, très riche, de la relation entre le terme gabala, qui intule le grand chant épique des gaels, et l'appellation de Gabales qui commence avec Strabon. Le sens de "conquête", "prise", est juste mais à relativiser, dans le sens de "pacte", "convention" en le contextualisant par le geste d'Amairgin, le seul héros chanté qui soit barde, lorsqu'il prononce ce mot en "prennant" l'Irlande, venu du "pays des tours", sur la plage d'Imber Colphta. Il pose le pied et il dit "gabala" désormais les poètes d'Irlande chanteront le partage de ses royaumes et les meurtres dans les maisons royales. cette prise conventionnelle est celle du chant épique, de sa présédence sur l'histoire des maisons souveraines, puisqu'en quel que sorte, c'est l'inspiration épique qui organise les faits d'armes et les brigues du pouvoir. Il conquièrt et divise, cette conquête est furieusement poétique, et me fait songer au poète éponyme des Gabales du Gévaudan, Gavalda, le troubadour a nul autre pareil, lo trobador a nul autre pars. Ses étranges chants de croisade, ses façons d'embrasser sans façon les vilaines et de les faire comtesses, sur lequel jamais ne s'accordera la critique, il brisait toutes les conventions du trobar, pour n'en faire qu'à sa tête, et il fit bel école en gévaudan avec Sicart de Marvéjols et Giraut de Meyrueis et clara d'Anduze, des vrais têtes de mule qui donnent du fil à retordre. Je n'irai pas plus loin dans les conclusions sur la mentalité gabale et tous ses paradoxes, qui valent le détour poétique pour la saisir. Quant au gavot, chez les compagnons charpentier, c'est avec l'indien et l'étranger qu'il est synonyme, le plus intraitable quant à ses devoirs de liberté, et le plus ferme sur les tarifs des belles charpentes à gable, cet assemblage en fourche qui est l'autre sens du mot gaulois gabala, et qui honore toujours un bonne maison lozérienne, disputant l'honneur avec les vikings d'avoir inventé ce mode de stabilisation d'une toiture sous de forts vents, qui s'est répandu comme trainée de poudre aux amériques. Les mots sont de véritables pièces archéologiques quand nous les reprennons bien en bouche, guidés par les poètes et les charpentiers. Il n'est pas sur que nous puissions jamais faire de la bonne histoire vérifiable de cette manière, mais du moins un peu de civilisation avec de bonnes appellations contrôlées de spécialités régionales raffinées, comme notre Jésus, qui de tous les saucissons des gaules, et le plus grand et le plus hardi, vous en conviendrez, je pense, mais si cela pourrait offenser la native modestie des gabales. Gérard Vincent, de Vébron.

[modifier] Passage sur les Gabales ?

« De plus, l'étymologie du nom « Gabale » ne serait-elle pas à comparer avec le « Lebor gabala » irlandais (Livre des conquêtes), qui recense les récits des cinq conquêtes mythiques de l'Irlande. Les Gabales seraient-ils des « conquérants ? Et les « Gavach » de la Lozère actuelle leurs lointains descendants? » En lisant ceci, plusieurs questions : pourquoi autant s'arrêter sur les Gabales dans l'article des Rutènes quand celui-ci n'est que moyennement développé ? Et surtout, ces hypothèses n'ont rien à faire dans une encyclopédie. Où sont les sources ?? Les Gabales sont un peuples originaires de Francfort-sur-le-Main, donc j'ai des difficulté à voir ce que des Irlandais viennent faire là dedans (ce qui n'est pas impossible, ce n'est pas ce que je veux dire). Bref, il y a un gros ménage à fair pour ne pas faire du hors sujet, et surtout, par pitié, des sources à donner !!! 28 septembre 2007 à 18:30 (CEST)