Roger Ikor

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Roger Ikor, né le 28 mai 1912 à Paris et mort en 1986, est un écrivain français, lauréat du prix Goncourt en 1955.

[modifier] Biographie

Il a été élève et professeur de lettres au lycée Condorcet ainsi qu'au Lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine. En juin 1940, il est fait prisonnier de guerre.

Marqué par la mort de son fils qui s'est suicidé après avoir adhéré au Zen macrobiotique, il mène jusqu'à sa mort une lutte contre le phénomène sectaire, et fonde à cet effet le centre contre les manipulations mentales (CCMM).

[modifier] Œuvres

  • L'insurrection ouvrière de juin 1848 ou la première Commune - 1936
  • Saint-Just - 1937
  • A travers nos déserts - 1951
  • Les Grands Moyens - 1952
  • La greffe de printemps - 1955
  • Les eaux mêlées - Prix Goncourt 1955 : ce roman est imprégné des paysages de La Frette-sur-Seine et Herblay que l'écrivain réunit en une commune baptisée Virelay. Les Eaux mêlées ont été adaptées la télévision. Plusieurs scènes ont été tournées à La Frette-sur-Seine.
  • Mise au net (Pour une révolution de la discrétion) - 1957
  • Ciel ouvert - 1959
  • Le semeur de vent - 1960
  • Les murmures de la guerre. Roman. Editions Albin Michel. 1961
  • La pluie sur la mer - 1962
  • La ceinture de ciel - 1964
  • Gloucq ou la toison d'Or - 1965
  • Les Poulains - 1966
  • le tourniquet des innocents - 1972, Éditions Albin Michel
  • Les sectes - Un mal de civilisation - 1983, Éditions Albin Michel
  • O soldats de quarante !... - 1986, Éditions Albin Michel

[modifier] Liens externes