Discuter:Recombinaison génétique

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J'ai retiré de l'article quelques paragraphes à reformuler AMHA :

Lors de la reproduction sexuée, le mélange se fait entre un ovule et un spermatozoïde. Les descendants possèdent alors, à part égale, le patrimoine génétique de la mère et du père. : Confusion avec la fécondation?

De nombreux mécanismes sont en place dans la cellule pour préserver celle-ci des recombinaisons qui peuvent la tuer. Malgré ces mécanismes de protection, des mutations peuvent toutefois avoir lieu et être transmises à la descendance. : Ambigü. Au contraire, de nombreux mécanismes vont favoriser les recombinaisons légitimes, à reformuler.

Le phénomène a particulièrement été mis en lumière par le moine Gregor Mendel lors d'un long travail sur les mouches (la drosophile étant la plus étudiée) et les haricots. -> Mendel n'a jamais travaillé ni sur les mouches ni sur les haricots, il a travaillé sur les pois. De plus, il n'a jamais vraiment mis en évidence la recombinaison, je crois.

Arnaudus 25 fév 2004 à 00:02 (CET)


J'ai réécrit l'article, l'ancien contenu (bizarreries???)est ci-dessous (certaines choses sont à remettre). Sinon un shéma du modèle de holliday semble indispensable. --Simephis 19 mai 2007 à 23:07 (CEST)



La recombinaison génétique est un phénomène conduisant à l'apparition dans une cellule ou dans un individu, de gènes ou de caractères héréditaires dans une association différente de celle observée chez les cellules ou individus parentaux.

Ce phénomène assure le mélange de matériel génétique entre chromosomes. Il peut s'agir d'ADN, ou d'ARN dans le cas des virus à ARN, tel que le H5N1 de la grippe aviaire ou le virus HIV du SIDA.

La recombinaison joue un rôle particulièrement important dans la genèse et le maintien de la diversité génétique. Elle intervient pendant la prophase de la première division de méiose, par un mécanisme appelé crossing-over, mécanisme du brassage intra-chromosomique, mais il intervient aussi dans le mécanisme appelé brassage inter-chromosomique en métaphase et anaphase de première division de meïose.

La recombinaison génétique peut intervenir lors de la reproduction comme lors de la multiplication asexuée ou lors d'une infection virale en présence de plusieurs sous-types d'un virus.

Lors de la multiplication asexuée (par exemple chez les bactéries) la recombinaison n'a pas lieu normalement. Néanmoins, elle peut se produire lors d'une infection par un virus ou une autre bactérie. Les descendants possèdent alors une grande partie de la cellule parente avec un peu de la cellule « attaquante ».

La recombinaison génétique peut être à l'origine de mutations qui peuvent survenir dans une espèce ou une variété. Ces mutations peuvent être mortelles (létales) ou non. Ce type de mutation peut être à l'origine d'une pandémie.



Je pense que cette affirmation est fausse :

Donc le brassage interchromosomique + intrachromosomique + fécondation apporteraient plus de 2^46 possibilités de gamètes.

En effet je viens de finir un travail de génétique et l'étude de trois gènes donne lieu à 2^3 possibilités soit 8 combinaisons possibles. Lors du brassage interchromosomique il y a 2^23 (probabilité) car 2 chromosomes possibles à chaque fois pour 23 paires. Lors de la fécondation 2^23x2^23=2^46 possibilités.

Je crois donc qu'il faudrait retirer intrachromosomique de cette phrase. Considérant le nombre de gène chez l'homme (entre 23 000 et 27 000) chacun présent en deux exemplaires (sauf ceux des chromosomes sexuels chez le mâle) et parfois sous différentes formes allèliques, il me semble que ce nombre doit être bien supérieur à 2^46.

De plus, j'ai entendu mon professeur de biologie dire que selon les scientifiques ce nombre est supérieur au nombre d'atomes dans l'univers (certes en prenant en compte les mutations) qui est de 10^78 (2^46 est inférieur à ce nombre). Malheureusement, étant seulement un élève de Terminale S, je ne sais pas si mon raisonnement est juste donc je voudrais une confirmation avant de mettre une information erronée.

EDIT : Le terme gamète désigne une cellule reproductrice de type haploïde qui a terminé la méiose et la différenciation cytoplasmique. donc spermatozoïde ou un ovocyte II ("ovule" avant fécondation). Puisque la fécondation correspond à une fusion des gamètes mâle et femelle en une cellule unique nommée zygote, il faut remplacer le terme gamètes ou enlever le mot fécondation. Mais il faudrait supprimer cette phrase de le dernier cas car elle n'apporterait rien à l'article puisqu'elle deviendrait : Donc le brassage interchromosomique + intrachromosomique + fécondation apporteraient plus de 2^46 2^23 possibilités de gamètes.