Quand passent les faisans
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Quand passent les faisans est un film français en noir et blanc (1965) d'Édouard Molinaro.
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[modifier] Résumé
Deux petites crapules minables, Yacinthe et Arsène, tentent sans succès de rouler Alexandre Larsan-Bellac, un escroc de haute volée. Celui-ci va les utiliser pour monter un gros coup qui réussira, mais pas dans le sens que les trois protagonistes espéraient...
[modifier] Fiche Technique
- Genre : comédie policière
- Sortie le 10 septembre 1965
- 1er titre, Les Escrocs
- Durée : 89'
- Réalisation : Édouard Molinaro
- Directeur de production : Irénée Leriche
- Scénario et adaptation : Albert Simonin et Jacques Emmanuel
- Dialogues : Michel Audiard
- Photo : Raymond Le Moigne
- Musique : Michel Legrand
- Décors : Jacques Paris
- Son :Jean Labussière
- Montage : Monique et Robert Isnardon
[modifier] Distribution
- Paul Meurisse (Alexandre Larsan-Bellac)
- Bernard Blier (Yacinthe Camus)
- Jean Lefebvre (Arsène Baudu)
- Michel Serrault (Ribero)
- Yvonne Clech (Mme Valérie Paterson)
- Claire Maurier (Micheline Camus)
- Daniel Ceccaldi (Barnave)
- Robert Dalban : (Le portier de l'hôtel)
- Robert Dutoit : (Arthur Thibaut)
- Jacques Dynam : (Le chauffeur de Ribero)
- Véronique Vendel (Jeanne)
- Paul Demange : (Le marchand de vieux papiers)
- Jean-Henri Chambois : (Un homme escroqué)
- Sophie Leclair : (Pierrette Baudu)
- Franck Villard : (Chinaud) (non crédité)
- Paul Préboist : (Le brocanteur) (non crédité)
- Édouard Molinaro : (Un serveur qui cherche le chien de Larsan-Bellac) (non crédité)
- Yves Arcanel
- Jean-Marie Arnoux
- Dominique Delpierre
- Michel Duplaix
- Yves Elliot
- Jean Julliard
- Henri Marteau
- Viviane Méry
- Lysiane Rey
- Claude Richard
- Jean-Jacques Steen
- Robert Secq (non crédité)
[modifier] Extrait des dialogues
- Larsan-Bellac : « Vous donnez un reçu ? Oh ! Vous n'avez pas honte ? Pourquoi pas vos noms et vos adresses ? Sans indiscrétion, vous vous livrez depuis longtemps à ce genre de pitreries ? »
- Arsène : « On a commencé ce matin... »
- Larsan-Bellac : « Et... combien de pigeons avez vous déja opérés ? »
- Yacinthe : « Vous auriez pu être le deuxième. »
- Larsan-Bellac : « Je regrette d'interrompre une série aussi prometteuse. Dommage...Vous avez de bons physiques. Il se dégage de vous une bétise lénifiante, une médiocrité sympathique. Eh oui ! Votre présentation vaut mieux que ce que vous vendez ! »