Michael Pacino

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Michael Anthony "Patch" Pacino est le héros des sept premiers livres de l'auteur américain de techno-thrillers Michael DiMercurio.

[modifier] Histoire

Le père de Michael, Anthony, commandant du USS Stingray, a été tué dans les années 1980 sous la banquise de l'Arctique par le soviétique Alexi Novskoyy. Cet épisode a profondément marqué le jeune Michael, âgé de 18 ans, et l'a poussé à intégrer les forces sous-marines de l'US Navy. Brillant officier, il obtient le commandement du USS Devilfish, un sous-marin nucléaire d'attaque qu'il perdra, lui aussi, sous la banquise du Pôle Nord lors d'un combat contre le SNLE FS Kaliningrad, dirigé par ... l'amiral Novskoyy.

Après cette "victoire mutilée", il quitte le service actif et intègre le corps professoral de l'Académie navale d'Annapolis. Mais peu de temps après, l'amiral Dick Donchez, chef d'Etat-major de la marine, le réintègre avec le grade de capitaine de vaisseau et lui confie le commandement de l'USS Seawolf afin qu'il sauve le USS Tampa, capturé dans les eaux chinoises. Sa mission réussie, Pacino devient commandant permanent du Seawolf.

Alors qu'il doit laisser le commandement de son sous-marin et intégrer le commandement des forces sous-marines de l'Atlantique (COMSUBLANT), Donchez lui confie une dernière mission : couler le CNF Hégire, un sous-marin nucléaire du Front islamique unifié qui compte lancer trois missiles nucléaires contre Washington, D.C.. Pacino mène sa mission à bien, mais perd son bâtiment dans la bataille. Sa bravoure lui vaut la Navy Cross et sa nomination au poste de commandant des forces sous-marines (USUBCOM).

Quelques années plus tard, il part personnellement en mer du Japon superviser la mise en place d'un blocus naval contre le Japon et la lutte contre les sous-marins Destiny II, à bord du USS Barracuda, qui coulera dans la bataille. Puis il prend le commandement des forces américaines du Pacifique à bord du nouveau USS Devilfish pour empêcher les forces communistes de reprendre le contrôle de l'ensemble du territoire chinois (partagé entre communistes et Guomindang).

Il devient ensuite chef d'Etat-major de la marine, et sera très gravement blessé dans l'explosion de deux mines à plasma sur le Princess Dragon, un paquebot loué par la marine pour un séminaire de son Etat-major dans les Caraïbes. Il démissionnera de son poste, mais acceptera, un an plus tard, de revenir dans la marine aux commandes du Devilfish afin de couler le USS Snarc, un sous-marin robotisé désormais sous le contrôle de son ennemi de toujours : Alexi Novskoyy, et qui menace de lancer des missiles contre les États-Unis. Pacino coulera le Snarc, perdant le Devilfish dans le combat, et tuera Novskoyy. Il prendra alors définitivement sa retraite.

[modifier] Anecdotes

  • Pacino et d'autres officiers supérieurs militèrent pour la création d'un commandement unifié des forces sous-marines américaines. Il fût le premier à occuper ce poste, avec le titre de Commander for Unified Submarines Command (COMUSUBCOM).
  • Il fût le plus jeune chef d'État-major de l'US Navy, et sans doute le plus direct avec les politiques.
  • Il a occupé tous les postes militaires qu'a occupés son mentor, Dick Donchez.
  • Le Barracuda, à bord duquel était monté Pacino pour superviser le blocus japonais, était dirigé par David Kane, qui lui avait sauvé la vie après le naufrage du Seawolf. L'amiral mît alors un point d'orgue à ne jamais interférer avec le commandement de Kane.
  • Colleen, la troisième femme de Pacino, est une haute responsable de Dyna Corp Inc., la société qui construit tous les sous-marins nucléaires américains, et la fille de l'amiral Dick O'Shaughnessy, chef d'Etat-major des armées.
  • Son fils, Anthony Michael, est élève d'Annapolis, et se montre parmi les plus brillants et les plus turbulents de sa promotion.