Discuter:Lucien Leuwen

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Il me semble que si Lucien est chassée de l'école polytechnique c'est parce qu'il a participé à l'insurrection de 1832, lorsque le cortège du général Lamarcque a voulu dévier la dépouille vers le Panthéon. Si Lucien est renvoyé c'est donc parce qu'il est soupçonné d'être républicain et non pas Saint-simonien.

[modifier] ultras? Polignac?

Je ne crois pas que Stendhal peigne le gouvernement des ultras et encore moins de Polignac puisque l'action du récit se situe aux environs de 1834 (Référence à la rue Transnonain par exemple). Le roi est alors Louis-Philippe, pas Charles X et il n'y a donc ni légitimistes, ni Polignac. Au contraire, le régime est libéral et l'opposition légitimiste de salon occupe une grande place dans le récit.

Non ! Vous confondez avec Le Rouge et le Noir, qui se passe pendant le règne de Chartles X et du minsitère "ultra" de Polignac. Lucien Leuwen se passe sous la monarchie de juillet. Le régiment dans lequel il sert à Nancy est sous les ordres d'un colonel "juste-milieu", autrement dit orléaniste. Une partie de la jeunesse noble de Nancy a refusé de prêter serment à Louis-Philippe, au risque de se coupe de toute carrière militaire... - [Utilisateur:158.50.204.4]

J'apporte une première modification en tâchant de tenir compte de votre remarque. N'hésitez pas à modifier le texte si cela ne vous paraît toujours pas satisfaisant. Cordialement, --Verbex 26 mars 2007 à 20:39 (CEST)

[modifier] saint simonisme etc

Merci d'avoir créé un article relatif à Lucien Leuwen, roman central de l'oeuvre de Stendhal.

La première remarque me parait tout à fait juste : Lucien Leuwen est renvoyé de l'X pour ses idées républicaines. Ce n'est que bien plus tard dans le roman qu'une fausse rumeur court sur son adhésion au saint-simonisme.

Concernant les thèmes abordés, n'est-ce pas un peu réducteur de ne parler que des aspects militaires : le deuxième tome est entièrement consacré à la haute fonction publique (ministère etc) au sein de laquelle Lucien évolue. Critique acerbe des ministres en place, des préfets ; règne de l'argent, et avénement de la bourse ; critique des salons de province et de paris etc.