Discuter:Logiciels d'astronomie

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[modifier] Sous section virée

J'ai viré la sous-section ci-dessous de l'article. Assez bien écrite, je vois mal sa valeur encyclopédique, et surtout, elle était balancée un peu au milieu de l'article sans lien véritable. Elle ne parle que très peu de logiciels en tant que tels. Il y a peut-être matière à en faire une page dédiée, sur les différents niveaux d'astronomie pratiquée par les non-pro?. L'article ici ne se veut, je pense, qu'une liste bien détaillée de logiciels. -- Cédric (huh?) 28 janvier 2007 à 10:29 (CET)


[modifier] Les catégories de logiciels de cartographie céleste et de planétarium virtuel

Ces programmes se divisent en trois catégories principales :

  • amateur débutant ou avec une certaine pratique.
  • amateur avancé.
  • astronome semi-professionnel.

À quoi correspondent-elles ?

L'amateur débutant est souvent celui qui vient d'acquérir son instrument et ne connaît pas ou peu le ciel. Le plus souvent il s'agit d'une personne qui se limite aux catalogues astronomiques de base pour le ciel profond. À savoir :

  • planètes et satellites du système solaire (Lune, Mars...)
  • étoiles ayant un non propre (Polaire, Sirius...).
  • objets du ciel profond : nébuleuses, galaxies et amas stellaire.

L'amateur avancé observera quant à lui :

  • les étoiles multiples (systèmes binaires entre autres).
  • les mêmes objets du ciels profonds mais dans d'autres catalogues.

Certains à ce niveau commencent à se spécialiser :

  • le variabiliste (l'étoile variable est son sujet de prédilection).
  • l'astrométriste fait des mesures de position des astres (étoiles multiples).
  • l'astrophotographe tire des 'portraits' des objets du ciel profond.

L'astronome semi-professionnel est un amateur chevronné qui utilise les méthodes des professionnels et effectue assez souvent des travaux de recherche. Dans cette catégorie, l'observation est axée sur :

  • la recherche de novae, supernovae, astéroïdes et autres comètes.
  • la mesure précise des variations d'éclat des étoiles (le variabiliste) ou de position (l'astrométriste).
  • la participation à des programmes de mesures (PHÉMU).
  • l'astrophotographe fait des images d'objets encore plus faibles.

Cette catégorie utilise des télescopes de grand diamètre (300 mm et plus) équipés de caméras CCD et sous coupole. Le plus souvent, ils utilisent d'autres logiciels afin d'automatiser les travaux de recherche et augmenter le nombre de cible dans leur programme d'observation. À ce niveau, l'équipement devient prohibitif et seul un club d'astronomie assez important peu réaliser de tels investissements (au minimum 15 000€ pour le télescope et la caméra). Il existe toutefois des associations qui proposent des temps de télescope à ces fins.


L'article ne pose pas de problème en lui-même. C'est un lien externe qui le fait (catalogue astronomique), cet article ne sera pas modifié avant deux-trois semaines (j'attends une réponse de son premier rédacteur). Or ceux-ci sont à la base de tous logiciel de ce type. Un catalogue astronomique ne contient que des données d'un type précis. D'autre part, il y a un autre problème lié à la conception même de ces logiciels qui ne peut être décrit ici (trop de lien et trop techniques mathématique et informatique en jeu). Cette sous-section sera remise lorsque toutes les modifications externes auront été faites et celle-ci modifiée en conséquence.
Orelec 28 janvier 2007 17:30 CET
Bien sûr que l'article ne pas pas problème. Par contre, la sous-section que vous aviez ajoutée en posait un. Et ça, je ne comprends pas bien comment vous y répondez, ici. L'article catalogue astronomique n'est effectivement pas la plus belle page que j'ai lue, mais bon. C'est quoi vos intentions? N'oubliez pas que vous êtes sur une encyclopédie. Votre sous-section est très descriptive, mais ne contient pas en soi une quantité faramineuse d'information. Par contre, vous semblez en vouloir en rajouter sur la conception même de logiciel. Ça, ça me semble avoir une valeur encyclopédique. Faites-en donc une section dans l'article (mais pas au milieu n'importe où!). -- Cédric (huh?) 28 janvier 2007 à 18:40 (CET)
Quand je dis que l'article était OK je veux dire la sous-section y était à sa place. Mais je ne pouvais pas mettre les mêmes données dans trois articles (Logiciels d'astronomie, Catalogue astronomique et Liste de catalogues astronomiques). Cette sous-section devait contenir les fonctions qui différencient les logiciels entre eux (avec un nom différent pour chaque éditeur et des liens entre ces fonctions). Faut-il un article pour chaque spécialité d'un logiciel ? Je pense que non, l'ensemble est un tout et il faut que le lecteur ne passe pas son temps à naviguer dans des liens.
Ce ne pas la conception des logiciels qui est à détailler mais leur fonctionnement. Or la base de tout logiciel d'astronomie est un ensemble d'algorithmes, de base de données (les catalogues astronomiques) et de la simulation numérique (affichage des étoiles et planètes). Il y a trois catégories d'astronomes amateurs et chacune utilise un certain nombre de catalogues bien défini. Or la base même de l'observation est liée aux catalogues... Et non l'inverse; et c'est justement à ce point que les différences entre les logiciels apparaissent.
Le problème est que tous les logiciels de référence (pas moins d'une dizaine) ont un public bien précis pour cible. J'avais pensé faire un article avec un tableau sommaire avec les trois catégories et les logiciels correspondants mais il faut alors faire un renvoi vers les versions plus puissantes du même logiciel. D'autant que certains englobent plusieurs catégories. J'ai donc renoncé à cette présentation.
Je préfère aborder la question par le sujet des catalogues, mais je ne pourrais le faire avant deux-trois semaine.Orelec 28 janvier 2007 22:25 CET
Desolé de vous contredire, mais je ne pense pas du tout que la section était à sa place, pour les raisons évoquées plus haut. Mais passons, essayons de progresser. Je comprends votre souci de différencier les différents types de logiciels, et l'utilisation des catalogues. Par contre, le liens avec les astronomes amateurs ne me semble pas clair du tout. Certes, les astronomes amateurs utilisent des logiciels différents suivant leur niveau, mais est-ce vraiment d'une grande pertinence encyclopédique? C'est pas vraiment un scoop. Je ne sais pas. Pourquoi ne pas simplement faire une section dédiée sur cet article Logiciels d'astronomie, expliquant les différences entre les trois types. Il me semble que vos connaissances sur les logiciels d'astronomie sont intéressantes à intégrer dans cet article ici. Pour ce qui est des catalogues, je suis alé voir un peu l'historique de vos contributions. A mon avis, ne perdez pas trop de temps avec les catalogues. C'est assez peu intéressant, et VizieR, sur le CDS, contient près de 6000 catalogues... A moins d'un critère pertinent pour déterminer lesquels sont le plus importants, je ne vois pas trop. Cordialement. -- Cédric (huh?) 28 janvier 2007 à 22:45 (CET)
Les catalogues les plus utilisés sont les plus récents (notamment ICRF et USNO-B*) et ceux qui ont une valeur historiques (NGC/IC, GSC...). Le lien avec l'astronome amateur est très clair : tout logiciel amateur se basent sur des catalogues établis et aussi utilsés par les pros. Il n'y a pas d'autres moyens pour écrire un logiciel de planétarium.
Il n'est pas possible de faire de la sorte : les catégorie de logiciels d'astronomie ont tous un objectif différent et demandent un niveau de pratique encore plus pointu. Par exemple, un logiciel d'imagerie ne peut pas être utilisé sans maîtriser un logiciel de planétarium. Ce qui me gêne réellement c'est le fait qu'il y a trop de possibilités de catégorisation (le niveau de pratique, les fonctionnalités des logiciels, leurs contenus et leurs possibilités d'évolution).
Je n'ai pas encore réfléchi à la question, mais il me semble qu'un article général avec les grandes familles de logiciels avec un lien vers un article pour chacune d'elle est une bonne base. Reste qu'il y a des interaction entre certains logiciels. Comment les gérer ? Je me pose encore la question. Sans parler qu'il y a des points techniques à développer et qui demandent à être séparés du reste (exemples : les catalogues astronomiques, les références de temps, les éphémérides...).
Nous y verrrons déjà plus clair lorsque j'aurais reçu ma réponse pour les catalogues astronmiques.Orelec 3 février 2007 à 20:24 CET

[modifier] Recyclage

J'ai apposé le bandeau de recyclage. Je pense qu'il y a beauoup trop de blabla dans les premières sections de l'article. -- Cédric (huh?) 1 mai 2007 à 10:26 (CEST)