Discuter:Liaison (mécanique)

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Sommaire

[modifier] Modification

Est il possible de supprimer les paragraphe liaisons rigides et liaisons mobiles? L'un et l'autre présentant des imprécisions ou erreurs. D'autre part les exemples cités auraient leur place plus en aval dans l'article sous le châpot "liaisons: solutions technologiques".

Ruizo 20 février 2006 à 07:29 (CET)ruizo


Il faudrait vraiment ajouter des repères précis sur chaque schéma, c'est vraiment essentiel en particulier pour la compréhension des torseurs. xlory 28 juin 2006 à 10:37

Il manque une liaison fort méconnue: disque plan, qui consiste en 2 degrés de liberté: 1 en translation et 1 en rotation. Contrairement à une liaison de type pivot glissant, les 2 degrés de liberté ne sont pas sur le même axe.

[modifier] rectification

Après avoir rédigé l'ensemble des paragraphes sur la liaison élémentaire, j'ai éliminé les chapitres "liaisons rigides" et "liaisons mobiles" (2 lignes) pour les raisons invoquées ci-dessus.

Ruizo 24 février 2006 à 08:24 (CET)

[modifier] Norme

La norme EN 23952 n'est plus au catalogue de l'AFNOR. Je suppose quelle est remplacée par l'ISO 3952-1. Qui elle-même a été adoptée par le CEN et qui s'appelle EN ISO. Romary 25 février 2006 à 14:38 (CET)

[modifier] torseur

dans la modélisation des liaisons avec leur représentation normalisée, il y a aussi écrit une sorte de torseur. cependant, ce dernier est faux ou plutôt non rigoureux car il met en jeu les mouvements possibles (il s'agirait donc d'un torseur cinématique). mais dans ce cas les rotations doivent être écrites à gauche et les translations possibles à droite, et non l'inverse selon la norme.

18 avril 2006 à 09:56 Louise1512

[modifier] Félicitations

Cet article est très bien fait, bien illustré et mériterait à mon avis une palme. Je le recommande aux profs de méca pour familiariser les élèves avec Wiki. groben GroBEN 20 septembre 2006 à 15:21 (CEST)

[modifier] Deux points alignés ?

Je suis surpris par l'utilisation à plusieurs reprises de l'expression "deux points alignés". Deux points ne sont-ils pas TOUJOURS alignés ? (de même que deux vecteurs sont toujours coplanaires) Japps 30 septembre 2006 à 13:40 (CEST)

En effet, "deux points sur un même axe prinicpal" serait plus correct. --212.147.90.65 22 mars 2007 à 18:27 (CET)

[modifier] La liaison complète est-elle simple?

Selon moi, la liaison complète est une liaison simple... et peut être même la plus simple qui soit! --212.147.90.65 22 mars 2007 à 18:28 (CET)


[modifier] Torseurs??

Les torseurs présentés ne sont ni des torseurs statiques, ni des torseurs cinématiques...

18 juin 2007 à 13:46 80.8.60.10

[modifier] Nouvelle image

Nouvelle image trouvée sur Commons

[modifier] désaccord de pertinence

Désolé d'intervenir encore une fois de façon négative, mais cet article mélange vraiment tout. La seule notion vraiment féconde, celle de degré de liaison, n'est qu'à peine évoquée, alors qu'elle devrait être le fil directeur de tout l'article. La notion de degré de liberté perd tout son sens lorsqu'on l'utilise indifféremment pour désigner les mouvements éventuels des pièces d'un mécanismes et les mouvements relatifs autorisés par les liaisons. Dans une étude cinématique, les premiers constituent les inconnues du problème, tandis que les seconds ne sont que de simples paramètres ; d'où viennent donc les équations ? Mystère ... C'est pourquoi l'excellent Robert Le Borzec avait très justement introduit deux notions bien distinctes :

  • les degrés de liberté, qui caractérisent les mouvements relatifs indépendants des pièces autorisés par les liaisons ; ce sont de simples paramètres,
  • les degrés de mobilité, qui caractérisent les mouvements indépendants « absolus » des pièces par rapport à un espace de référence ; ce sont les inconnues du problème cinématique suivant : malgré les liaisons qui la lient directement ou indirectement au bâti de la machine, la pièce X conserve-t-elle une possibilité de mouvement, et si oui, laquelle ?

Ne jamais perdre de vue qu'en statique, les pièces fournissent les équations et les liaisons les inconnues, dont le nombre dépend directement de celui des degrés de liaison. En cinématique, les pièces fournissent les inconnues et les liaisons les équations, dont le nombre dépend lui aussi directement du nombre des degrés de liaison. Dans un cas comme dans l'autre, la connaissance des degrés de liberté n'apporte en général aucune information utile. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle d'innombrables « mécaniciens » peuvent raconter n'importe quoi, en toute impunité, sur les degrés de liberté. Cela n'a jamais empêché la Terre de tourner ni la Seine de couler sous les ponts de Paris, et pour cause. Malheureusement, ces considérations fumeuses ont pour premier effet d'embrouiller les esprits ...

Jean-Jacques MILAN 29 octobre 2007 à 00:03 (CET)