Discussion Utilisateur:Laffreuxthomas

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[modifier] A propos de Smith

@Barsa : J'ai lu ce livre en juin 2004 et j'étais alors à Laï, au fin fond du Tchad, je venais de vivre et travailler six mois chez et avec un Tchadien, "au quartier". Ce livre m'avait semblé froid, mais au final très lucide et du coup plutôt positif. Depuis ma première réaction en haut de cette page, j'ai dû un peu m'éloigner de Wikipédia et puis cette histoire m'était sortie de la tête. Là je viens de relire l'article, puis toute la discussion, et je trouve l'article bien plus en concordance avec le souvenir que j'ai de ce livre. Je ne comprends pas ton manifeste besoin de casser le travail de Smith. Si je retombe sur le livre à l'occasion je le relirais pour contribuer à l'article. Un grand bravo aux contributeurs ! Laffreuxthomas 3 décembre 2006 à 23:49 (CET)

Eh bien eh bien, Laffreux, tu ne crois pas que le besoin de Lucrèce d'encenser ce livre est aussi manifeste que le dégoût qu'il m'inspire ? Ma foi, je ne crois pas qu'on puisse rester indifférent devant certaines idées mais ça n'empêche pas d'arriver à un compromis temporaire, comme tu vois. C'est le genre d'article pour lequel il vaut mieux attendre son heure : s'il était de très mauvais goût de critiquer le maréchal en 1940, on peut très bien aujourd'hui imprimer son portrait sur du papier toilette...
Je ne sais pas si tu as suivi les infos françaises ces derniers temps. Cet été, on arrêtait pas de parler de vols de métaux (tuyauterie, câbles de toutes sortes). Eh bien ça m'a rappelé un passage du bouquin de Smith. Parmi d'autres exemples de la prétendue inaptitude culturelle (si ce n'est congénitale) des africains au développement, Smith explique que les lignes téléphoniques se font régulièrement piller chez ces barbares, c'est-à-dire, en gros, qu'ils sont incapables de voir plus loin que le bout de leur nez et de prendre en compte l'intérêt commun. Si c'est pas ce qu'il voulait dire, faudra m'expliquer. En tout cas, l'exemple français montre clairement que ce genre de situation peut surgir n'importe où dès lors que les classes sociales défavorisées sont abandonnées à leur sort dans un monde qui regorge paradoxalement de richesses. Bon, certains (devine qui) vont me dire qu'en France, c'est les gitans qui volent les métaux et pas les bons français "de souche". Ben voilà un bon sujet pour un prochain bouquin de Smith. Allez, je suis pas chien, je lui file même le titre : "Nécromanichel : pourquoi les roulottes meurent". --Barsa 7 décembre 2006 à 13:15 (CET)

A propos des poteaux, le fait qu'on en vole en France ne dédouane personne an Afrique. Au Tchad je bossais dans le bâtiment et des histoires de vols de poteaux pour la ferraille, mon patron m'en avait racontées. Ca n'a rien de choquant de citer ce genre d'exemple. --Laffreuxthomas 13 décembre 2006 à 21:01 (CET)