Discuter:Homme au masque de fer

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Je me suis permis de corriger deux petites choses: j'ai modifié le nom tout en majuscule de "Dauger" et j'ai mis en italique le titre d'une œuvre à la fin (cela est plus correct que de mettre le titre en guillemet). En tout cas c'est un article très intéressant.

--Alchimiste01 (d) 20 mai 2008 à 12:14 (CEST)


Une question simple, mais dont je n'ai jamais trouvé la réponse : d'où Voltaire tenait-il ses sources, plus de 50 ans après les faits (via des témoignages oraux ou des traces écrites???). On sait qu'il aimait à accumuler/lire les pièces de procès. Mais point de procès pour le masque de fer... Aurait-il eu accès au registre de la Bastille, lorsqu'il y fit un séjour vers 1717 ? Un expert des écrits de Voltaire pourrait étayer cette hypothèse, par exemple si Voltaire fait usage de semblables informations dans d'autres affaires qu'il a étudiées. Il est également possible que Voltaire tienne ses informations de Charles de Fieux de Mouhy, un de ses collaborateurs, qui a écrit un livre sur le masque de fer en 1747.

--81.48.73.200 (d) 5 mars 2008 à 02:57 (CET)



L'affaire du masque de fer reste controversée. L'article présente une des thèses en présence comme une vérité historique établie. Je crois nécessaire, pour rétablir la neutralité de point de vue, de présenter plus largement les thèses en présence et de distinguer plus nettement le fait de l'interprétation. J'y travaille. --Justelipse 18 août 2005 à 10:55 (CEST)

Travail terminé ...provisoirement. On peut sûrement faire mieux. --Justelipse 18 août 2005 à 19:51 (CEST)

Le viconte de bragelonne aux éditions bouquins a un trés bon dossier à la fin et cite notamment les faits historiques et les 14 systémes trouvés par dumas : - fils d'anne d'autriche avec cdr (conte de la riviere ou rochefort) - selon sainte foix : duc de montmouth - selon lagrange-chancel : duc de beaufort - le comte de vermandois batard de louis XIV avec la valliere - matthioli secretaire du duc de mantoue - henri cromwell - selon dufey de l'yinne fils de anne d'autrice et buckingham - selon le duc de richelieu : frere jumeau de louis XIV - selon Paul Lacroix Fouqet - selon Taules, un armenien Arwedicks - ecolier arrete sur la recomendation des jesuitres par louis XIV - batard de louis XIV avec henriette d'angletere - batard de anne d'autriche et mazarin

bref on risque de ne jamais savoir...

Au passage dumas affirmait que les registres d'entrée (folio 120 correspondant au jeudi 18 septembre 1698) et de sortie (19 novembre 1703) était déchiré lors de la prise de la bastille. L'article laisse supposer que le registre d'entrée a été retrouvé, serait-il possible d'avoir plus d'info ?


On ne saura jamais, c'est ça qui est beau.

Le registre d'écrou de la Bastille est conservé à la Bibliothèque de l'Arsenal à Paris.

L'histoire des pages déchirées est une invention de Dumas.

Pardonne-moi d'être revenu sur tes corrections orthographiques dans les citations de ce registre. Je m'en suis expliqué dans le texte de l'article : le parti-pris ici est celui que retiennent le plus souvent les historiens aujourd'hui de respecter l'orthographe du texte original, même lorsqu'elle est (comme ici) approximative. Si l'on voulait corriger, alors il faudrait corriger tout (mortuaire et pas mortuère, avec et pas avecque, etc.), mais on n'est pas cohérent en corrigeant certaines fautes et pas d'autres.

Il me semble préférable de garder l'orthographe originale sans corriger, même si ça complique un peu la lecture, parce que cela donne une idée du niveau du personnage (le lieutenant du Junca). Cordialement. --Justelipse 30 août 2005 à 00:32 (CEST)

[modifier] Matériau du masque

J'ai lu quelque part (Dumas ?) que le masque était en fait en cuir. Apokrif 14 septembre 2005 à 19:28 (CEST)

Aucune source, à ma connaissance, ne le confirme. Il était peut-être en tissu noir. En tout cas certainement pas en fer. --Justelipse 15 septembre 2005 à 07:35 (CEST)

[modifier] Texte de 84.100.110.240

Texte ajouté dans l'artcile par une IP, à recycler dans l'article sans doute:


Je me permettrais d' ajouter quelques precisions afin que le lecteur puisse fonder son intime conviction. Dans le VIII systéme une lettre de Louis XIV merite notre attention "Le Roi a commande pour le masque de fer un casque "si habilement travaillé afin qu' il puisse voire respirer boire et manger sans avoir à l'oter en aucune mannière" Donc il devait porter un casque en permanence .Une lithographie en couleur le represente sous un casque en metal ainsi qu' une litho illustrant une chanson de Barateau.Nous avons fait une reconstitution avec un casque de métal identique à celui que portait Léonardo di Caprio "insupportable " des maux de tete apparaissent au bout de quelques heures .Par contre nous avons fabriqué un casque recopié sur celui que portait Pierre Cressoy dans ( le masque de fer il prisoniero del rey 1954) nous n' avons enregistré aucune plainte de celui qui s' est proposé pour des essais en vue d' une reconstitution le casque comportait un plastron et reposait sur les epaules de l' infortuné personnage.il a été vu a 2 reprises sous son casque à st Vallier de Thiey (pres de Grasse)par des paysans qui l' on vu sortir de sa litière en toile cirée .Une 2eme fois ce sont les gens de Mr de ST marc qui l' ont apercu toujours sous son casque dans la propriete de son geolier en route pour la Bastille.
Il est fort probable que Mr de ST marc ait " amenagé " la peine prescrite par le Roi Le masque de fer devait etre contraint de porter son casque des qu' il sortait des "ses appartements"pour aller se promener sur les remparts ou dans les jardins de la forteresse de Pignerol. Mr de ST Marc disposant de la clé du casque devait le lui ouvrir pour qu' il puisse l' oter . par contre hors de sa cellule et à plus forte raison pendant les transferts il devait etre obligé de supporter cette "horrible chose". si il devait etre obligé de garder son casque en permanence il devenait nécessaire de le lui enlever pour le raser ; de plus il devait avoir accès périodiquement à son visage pour dégager ses voies aériennes ( se moucher) et en cas d' urgence si il éprouvait le besoin de vomir.hors mis ces cas exceptionnels l' homme au masque de fer devait etre phisiologiquement en mesure de porter son casque en fer en respectant l' instruction du Grand Roi en ne l' "otant en aucune manniere"Nous ne disposons malhereusement que d' informations fragmentaires pour nous renseigner sur les conditions de vie de l' homme au masque de fer D' ailleurs le port d' un casque en fer etait un des moyens coercitifs employés par l' administration penitentiaire de l' époque punition reprise par les maitres negriers qui punissaient leurs esclaves qui avaient gouté le sirop de canne en leur mettant la tete dans "un oeuf de fer" 2 fentes pour les yeux une trappe pour la bouche munie d' une clé détenue par le garde chiourme pour permettre à l' esclave puni de manger la peine pouvait durer plusieurs mois .Sous son casque l' esclave devait évidemment travailler comme ses frères de misère Et c' est un casque semblable qui devait etre le sinistre compagnon de ce malhereux enfermé au nom de la raison d' Etat .

Bradipus Bla 26 juin 2006 à 00:11 (CEST)

[modifier] Contribution bibliographique

J'ai retrouvé une évocation du masque de fer dans un ouvrage de 1788, Galerie de l'ancienne cour ou Mémoires et anecdotes pour servir à l'histoire des règnes de Louis XIV et de Louis XV, tome second, pages 313 à 321. L'auteur ( anonyme) reprend la thèse du Duc de Vermandois, jaloux de son demi-frère quasiment du même âge. Il confirme la thèse du soufflet qui a conduit à retirer de la Cour ce turbulent bâtard royal, en l'envoyant dans les troupes de Flandre, en simulant un décès par la peste, et en l'envoyant en 1662 à l'île de saint Marguerite en compagnie d'un domestique ,malheureusement mort en chemin et défiguré par l'escorte pour ne pas être reconnu. Le prisonnier portait un masque renforcé par du métal à la mentonnière. le nommé Saint Mars, gouverneur de Pignerol, nommé gouverneur de la Bastille, l'aurait conduit en 1690 à Paris, Louvois aurait eu un entretien avant cette translation .L'auteur rappelle le grand respect et la grande éducation du prisonnier qui jouait de la guitare. Il situe la mort en 1704 sans plus de précision , et l'inhumation au cimetière saint Paul,de nuit.