Discuter:Hélium

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Sommaire

[modifier] Q1

L’hélium fait partie du groupe des gaz rares avec le Néon, l’Argon, le Krypton, le Xénon et le Radon.

Les caractéristiques essentielles de l’Hélium sont les suivantes : * Stabilité (ne peut devenir radioactif)

  • Inerte chimiquement (non inflammable)

* Très faible poids spécifique * Section moléculaire la plus petite existante, tout en étant facile à détecter * Point d’ébullition le plus bas dans la nature (-269,9 °C à 1 atmosphère) * Très bonne solubilité dans le sang.

C’est durant la première guerre mondiale que son extraction industrielle à partir du gaz naturel commença aux USA.

La source la plus économique et de ce fait la plus utilisée pour l’extraction de l’Hélium est celle de certains gaz naturels d’hydrocarbures dont la teneur en Hélium peut aller de traces jusque 8% en volume, voire même plus.

La majeure partie de l’Hélium commercialisé dans le monde pour les usages de l’industrie et de la recherche est dénommé « type Grade A » avec une pureté de 99,995 % molaire.

Une fois extrait et purifié, l’hélium peut être commercialisé sous forme « gaz ». Cependant, dans le but d’en faciliter le transport et l’utilisation pour certaines applications, il est procédé à sa liquéfaction à très basse température (-270°C environ), au sein des mêmes unités industrielles ou dans des installations de liquéfaction distinctes. Le prix de l’hélium liquide est d’environ 30 % plus élevé que celui de l’hélium gaz.

Utilisations classiques et clients finaux (end users)

Les principales familles d’utilisation de l’hélium sont les suivantes :

1. Cryogénie et Recherche : Elle regroupe les domaines d’utilisation de la Cryogénie industrielle ou de laboratoire ainsi que ceux de la Recherche fondamentale et appliquée. Elle fait appel à la capacité de l’Hélium liquide de conduire aux températures les plus basses possibles (proches du Zéro absolu, -273°C) et de provoquer ainsi l’état de supraconductivité de certains métaux, source actuelle d’applications industrielles et de recherche intensive. Elle représentait 24,4 % de la consommation d’Hélium en 2000, aux USA.

2. Pressurisation et Purge : Cette utilisation concerne essentiellement l’industrie aéronautique - spatiale (préparation et lancement de fusées). Elle comptait pour 19,9 % de l’Hélium consommé aux USA, en 2000.

3. Soudage : La neutralité chimique de l’Hélium permet de créer un écran protecteur lors des opérations de soudage industriel pour les industries, notamment de pointe. Il représentait 18,2 % de la consommation d’Hélium des USA, en 2000.

4. Atmosphères contrôlées : Dans les domaines de l’industrie électronique, du nucléaire, du spatial, de la biochimie. Cette application a compté pour 16 % de la consommation d’Hélium, en 2000, aux USA.

5. Détection de fuites : L’hélium permet la détection de fuites, à l’échelle infra-microscopique dans les systèmes industriels vitaux ou sensibles. Elle a représentée 5,6 % de l’Hélium consommé aux USA, en 2000.

6. Mélanges respiratoires : L’hélium est utilisé, par l’industrie Offshore et la recherche océanographique, comme diluant de l’oxygène pour la respiration en plongée sous-marine, à partir de 50 mètres de profondeur. 3,1 % de l’hélium consommé aux USA, en 2000, a été consacré à cette application.

7. Autres et divers : Dans ce chapitre on peut citer le remplissage de ballons et dirigeables, le diagnostic médical (Imagerie à résonance magnétique notamment), la cryochirurgie, la cryobiologie, la chromatographie. Ces diverses applications ont représenté 12,8 % de la consommation totale aux USA, en 2000.

C’est ainsi que les principaux clients finaux de ce produit se trouvent dans les secteurs suivants : - Recherche fondamentale et appliquée : centres de recherche (notamment, physique des hautes énergies), universités (très basses températures), technologies de pointe (transport par lévitation magnétique, magnéto-hydrodynamique, stockage et transport de l’énergie électrique...), - Industrie aéronautique et spatiale, - Industrie militaire moderne et sophistiquée, - Industrie nucléaire, - Industrie électronique de pointe (fabrication de composants et de fibre optique), - Industrie chimique, - Industrie pétrolière offshore, - Industrie de fabrication de ballons et dirigeables (surveillance, publicité...), - Industrie médicale de diagnostic. Réserves mondiales et offre

Le potentiel de production d’hélium d’un pays est caractérisé et favorisé par 4 facteurs : 1. la présence de réserves importantes de gaz naturel, 2. une teneur en hélium de ce gaz naturel, supérieure à 0,3 %, limite inférieure généralement admise pour autoriser la faisabilité économique d’un projet d’extraction, 3. éventuellement, la présence de capacités de liquéfaction de gaz naturel (pour son exportation sous forme de GNL). En effet, de telles installations permettent l’enrichissement indirect en Hélium (jusque 15% en Algérie) du gaz de charge et autorisent en conséquence une diminution sensible des coûts d’investissements et d’exploitation pour son extraction. 4. la demande du marché.

Les trois principaux pays disposant de réserves mobilisables d’Hélium sont les suivants, par ordre d’importance : 2. Les Etats Unis d’Amérique, avec des réserves récupérables de l’ordre de 11 milliards de mètres cubes gaz dont environ 6 milliards de mètres cube gaz, pour les gisements dont la teneur en Hélium est supérieure à 0,3 %. Les gisements majeurs des Etats Unis se situent au niveau des 4 Etats suivants : Texas, Kansas, Oklahoma et Wyoming. 1. La Russie et les états de l’ex CIS, avec des réserves récupérables de l’ordre de 7 milliards de mètres cubes à l’état gazeux, dont seulement 1,7 milliards de m3 gaz provenant de gisements dont les teneurs en hélium seraient compatibles avec la rentabilité économique d’extraction. 3. L’Algérie dispose de réserves récupérables de l’ordre de 3 milliards de mètres cubes à l’état gazeux. Cet Hélium est essentiellement contenu dans le gaz naturel de Hassi R’Mel dont la teneur d’environ 0,2%, s’améliore à un niveau d’environ 10 % au niveau des unités de liquéfaction d’Arzew et de Skikda.

C’est ainsi que l’extraction industrielle d’Hélium se trouve aujourd’hui concentrée au niveau de ces 3 pays, avec comme nous le verrons plus loin, une suprématie indiscutable pour les Etats Unis d’Amérique. Demande mondiale d’Hélium

Compte tenu de ses utilisations, la demande mondiale majeure d’Hélium est le fait des pays fortement industrialisés et très avancés technologiquement. En 2000, les ventes d’Hélium par les Etats Unis d’Amérique se sont établies à 127 millions de M3 gaz, dont 37 destinés à l’exportation. Durant cette même année 2000, les principales demandes d’Hélium adressées aux Etats Unis d’Amérique (consommation propre et exportations) ont été comme suit, à travers les statistiques de vente : - Etats Unis d’Amérique : 89,6 millions de M3 gazeux, - Japon : 14,4 millions de M3 environ - Europe : 8,9 millions de M3 environ dont 94% pour la Belgique, la France, l’Allemagne et la Grande Bretagne. Il est à noter que les 15,5 millions de M3 produits par l’Algérie, en 2000, ont probablement été absorbés par l’Europe (y compris la base de lancement d’Ariane en Guyane ?). - Canada et Mexique : 3 millions de M3 environ - Amérique du Sud : 1,9 millions de M3 environ - Moyen Orient : 0,7 millions de M3 environ

Ramdane HAMMOUTENE (partie d'étude sur le sujet datant de 2002)

[modifier] l'hélium, plus léger??

a bon? si jeune m'abuse, c'est l'hydrogène? si personne ne se manifeste, je change ca --Maloq causer 18 décembre 2006 à 19:07 (CET)

J'ai plus l'impression que c'est la phrase qui est mal tournée et peut induire en erreur : « L'hélium est après l'hydrogène le deuxième élément le plus abondant de l'univers, et le plus léger du tableau périodique. » Il va effectivement falloir corriger ça. --Sixsous  18 décembre 2006 à 19:56 (CET)
En regardant les autres articles sur les gaz rares, il semblerait même que c'est: [...] et le plus légér des gaz rares
je change de suite --Maloq causer 18 décembre 2006 à 21:41 (CET)
Aïe ! Efface pas les espaces insécables, malheureux ! --Sixsous  18 décembre 2006 à 22:07 (CET)

[modifier] Température de fusion

Il y a une erreur, l'Helium à pression atmosphérique (pression dite normale) ne se solidifie pas. Température de fusion 0,95 K, ici, il faudrait ajouter qu'il lui faut une pression de 2,5 MPa pour se solidifier, comme expliqué dans la version anglaise de cet article. Que celui qui peut corriger le fasse svp. Merci.

« que celui qui peut corriger le fasse » : l'article n'est pas protégé donc tu peux normalement faire toi-même ce genre de modification. Mais je ne comprends pas ou est le problème car il est bien indiqué dans l'article français que l'hélium se solidifie à 0,95 K sous une pression de 26 atm. Sauf erreur, 26 atm font bien dans les 2,5 MPa... --Sixsous  7 février 2007 à 19:27 (CET)
Je viens de relire l'article pour en avoir le cœur net, et je constate qu'il est bien indiqué que « l'hélium ne se solidifie que sous l'effet de fortes pressions (...) l'hélium ne se solidifie pas et reste liquide jusqu'au zéro absolu, dans des conditions normales de pression. L'hélium solide nécessite une pression minimale d'environ 26 atm. », etc. Je précise que l'article n'a pas été modifié depuis ta remarque et mon commentaire. --Sixsous  7 février 2007 à 19:32 (CET)

Si je me trompe pas, ce n'était cependant pas indiqué dans le tableau récapitulatif à droite, ce qui peut prêter à confusion. Et c'est pas la peine de s'exciter, si j'avais pas envie de corriger c'est parce que je voulais confirmation. C'est fait (la modification aussi) et je t'en remercie.

Le tableau à droite a effectivement été modifié suite à ton intervention. Pour ma part je ne m'excite pas, mais je cherchais à comprendre où était le problème. --Sixsous  10 février 2007 à 02:00 (CET)

[modifier] Travail sur thèse créationiste

Arghhhh copyvio de http://www.creationnisme.ca/publication/articles/helium_rate.jsp?section=publication, demande de purge en cours

Maloq causer 8 juin 2007 à 15:11 (CEST)

Derniere bonne version de l'article http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=H%C3%A9lium&oldid=17432307
pdd http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Discuter:H%C3%A9lium&oldid=16419807

La partie suivante est NPOV exempte de copyvio, pourquoi ne peut-elle figurer dans l'article? sauf avis contraire, et sous réserve, bien sûr améliorations éventuelles, la partie ci-dessous sera rétablie dans l'article sous 48 h Datc 9 juin 2007 à 13:21 (CEST)

[modifier] Hélium et age de la terre

Le comportement de l'hélium fait partie des arguments avancées par les créationnistes pour appuyer leurs théories sur l'age de la terre. Selon nom?, rapide description de la théorie ce qui permet aux créationnistes de conclure que l'age de la terre serait compris entre 4000 ans et 14000 ans, age compatible avec les 6000 ans annoncés par une lecture littérale de la Bible. [1] [2] [3]

et indispensable, anti-thèse.

  1. Vardiman, L., The Age of the Earth's Atmosphere: a study of the helium flux through the atmosphere, Institute for Creation Research (1990) P.O.Box 2667, El Cajon, CA 92021.
  2. Gentry, R. V.et al, "Differential helium retention in zircons: implications for nuclear waste management," Geophys. Res. Lett. 9 (Oct. 1982) p1129-1130.
  3. Gentry, R. V., Creation's Tiny Mystery, Earth Science Associates (1986) P.O. Box 12067, Knoxville, TN 37912-0067, pp. 169-170.
C'est effectivement largement mieux que la version supprimée pour copyvio, mais j'ai quelques réserves :
  • Concernant les sources : je ne vois pas bien en quoi la publication de Gentry et coll. de Geophysical Research Letters (disponible ici) sourcerait efficacement ton paragraphe : entre ce qui est dit dans leur article et ce qui est dit dans ton paragraphe, on change complètement d'univers. Là où Gentry utilise les données de son article de Geophysical Research Letters comme argument pour une Terre jeune, c'est dans son livre Creation's Tiny Mystery ([disponible ici http://www.halos.com/book/ctm-toc.htm]) au Chapitre 13. Cependant, le livre de Gentry ne donne pas ce chiffre de 4 000 à 14 000 ans lorsqu'il parle de l'hélium (du moins je ne l'ai pas vu). J'en déduis donc qu'il provient du livre de Vardiman et coll. J'ai fait quelques recherches d'impact. Je n'ai pas immédiatement accès aux bases de données Chemical Abstracts, mais mes recherches dans les autres bases de données ne sont guère encourageantes : The age of the earth's atmosphere : a study of the helium flux through the atmosphere de Varminan et coll. est inconnu de ISI, et son livre sur Google Scholar a seulement cinq citations. Son livre ne semble pas être passé par un comité de lecture reconnu, et n'est pas recensé par la Librairie du Congrès. En France ça reviendrait à dire que le tirage est si faible qu'il échappe au dépôt légal mais j'avoue ne pas connaître les spécificités du Mandatory Deposit aux États-Unis, cependant, une absence des catalogues est assez significative. Ma conclusion directe est qu'il s'agit d'un ouvrage à faible diffusion et d'une théorie largement marginale. Je suis donc très loin d'être convaincu que ton paragraphe puisse figurer dans un article généraliste comme Hélium, qui n'a au final que peu de rapport direct avec le véritable sujet de ton paragraphe. Il serait largement plus approprié dans un article sur les diverses théories créationnistes et leurs démonstrations.
Concernant les tournures employées :
  • « Le comportement de l'hélium fait partie des arguments avancées par les créationnistes » – il faut préciser quels créationnistes : en l'occurrence Gentry et Vardiman. Je doute que tous les créationnistes partagent nécessairement leurs conclusions. Idem pour « Ces constats permettent aux créationnistes de conclure » : telle qu'est tournée cette phrase, on pourrait croire que tous les créationnistes tirent cette conclusion. J'ai l'impression qu'on tombe un peu trop dans le manichéisme qui consiste à séparer d'un côté créationnisme biblique et de l'autre évolutionnisme. C'est assez réducteur étant donné que ces deux mouvements sont eux mêmes divisés en plusieurs branches, qu'il en existe d'autres... et que l'un empêche pas l'autre. Les créationnistes dont tu parles font partie du mouvement dit Young Earth creationism, mais il en existe d'autres et tous ne se basent pas sur la Bible ni même forcément sur un texte sacré ;
  • « les 6000 ans annoncés par une lecture littérale de la Bible » – le ton est beaucoup trop affirmatif, car, sauf erreur de ma part, plusieurs exégèses de la Bible ont donné plusieurs dates possibles pour la création, et faisait l'objet de débats des siècles avant que les théories évolutionnistes ne pointent leur nez. Quelle lecture les scientifiques de l'ICR veulent démontrer ? (ben oui, c'est quand même le but avoué de l'ICR : démontrer scientifiquement le contenu des écrits bibliques). Pour les 6 000 ans, c'est principalement le calendrier hébraïque (où l'an 1 correspond à 3761 av. J.-C.) et James Ussher (selon qui la création du monde a eu lieu le 23 ocobre 4004 av. J.-C.). Mais d'autres exégèses basées sur la Septante qui présente une autre chronologie de la Genèse donnent plutôt dans les 7 500 ans. De façon intéressante, la marge d'erreur du calcul de diffusion permet de ne pas trop se mouiller sur ce point de détail [par contre, un facteur d'erreur de seulement 3-4 sur un calcul de diffusion sur 6 000 ans me paraît un poil tiré par les cheveux mais bon, pourquoi pas].
Note qu'à part ma dernière remarque un peu à part sur la marge d'erreur, je ne remets pas en cause le contenu proprement dit. Mes conclusions pour ce paragraphe sont donc qu'il devrait être placé dans un autre article, qu'il faudrait un peu plus de rigueur sur les sources et que les tournures devraient être davantage retravaillées. --Sixsous  9 juin 2007 à 16:57 (CEST)
J'abonde dans le sens de Sixsous. Maloq causer 10 juin 2007 à 18:08 (CEST)
Sans vouloir paraître trop véhémente, je me demande surtout ce que vient faire un truc aussi spécialisé sur l'article "Hélium". On peut parler sur les articles traitant des thèses créationnistes des éléments "en leur faveur", mais là, l'utilisation possible de l'hélium pour la datation est déjà mentionné, et il me semble que le simple ajout d'un paragraphe à ce point hors sujet est parfaitement non neutre. L'hélium est très utilisé dans de nombreux domaines, si l'on doit faire un paragraphe sur chaque utilisation (surtout aussi biaisée (l'utilisation, pas le paragraphe)), l'article fera 200 ko au mieux. Cette utilisation marginale n'a rien à voir avec l'histoire de la découverte de l'hélium, ses propriétés physico-chimiques ou sa signification dans la société > largement hors-sujet à mon avis. Esprit Fugace causer 11 juin 2007 à 10:08 (CEST)

[modifier] Synthétisassion de l'hélium

La question peut sembler stupide, mais comme il s'agit d'une matière première stratégique et que visiblement ses stocks semblent à la fois plus que limités et difficilement retenables sans pertes à cause de la porosité relative des réservoirs, existe-t-il un moyen de synthétiser l'hélium à partir d'autres éléments? Par quel miracle la nature elle même procède-t-elle pour le créer?

Deux esprits 17 octobre 2007 à 11:35 (CEST)

Le miracle est la fusion nucléaire au coeur des étoiles. Si je ne me trompe, l'hélium est le deuxième élément le plus fréquent de l'univers derrière l'hydrogène. Maloq causer 17 octobre 2007 à 12:02 (CEST)

Merci mais cela n'explique en rien comment ce dernier se retrouve dans les nappes pétrolifères ni par quel biais il serait possible de le synthétiser.

Deux esprits 17 octobre 2007 à 15:33 (CEST)

Au niveau terrestre, il peut se synthétiser aussi comme résidu de certaines réaction du fission nucléaire (rayonnement beta ou gamma, je sais plus) mais c'est anecdotique. Sinon, comment il se retrouve dans les nappe pétrolifère, suite à un processus géophysique, je sais pas trop. Maloq causer 17 octobre 2007 à 15:35 (CEST)
Particule α hop! Maloq causer 17 octobre 2007 à 15:37 (CEST)
Allez, je me risque à une hypothèse: l'hélium est naturellement très présent dans bon nombre de molécules plus complexes. Dans les nappes pétrolifère, les réactions chimiques ont tendance à dissocier ces molécules et créer ainsi des poches de gaz. Maloq causer 17 octobre 2007 à 15:39 (CEST)

Autrement dit, une fois les stocks épuisés, plus moyen d'en créer de nouveaux?

Deux esprits 22 octobre 2007 à 20:41 (CEST)

Euh, quels stocks? sur quel plan? Dans l'obsolu il est toujours possible de créer ce qu'on veut à partir de ce qu'on veut. Maloq causer 22 octobre 2007 à 21:50 (CEST)

D'où ma question justement...

Deux esprits 31 octobre 2007 à 17:36 (CET)