Discuter:Guerre des Six Jours

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[modifier] "Cette guerre a été déclenchée par une attaque préventive d'Israël contre ses voisins arabes."

Cette phrase, l'une des premières de l'article me parait particulièrement érronée . SI il est vrai que l'attaque en elle même à été déclenchée par Israël, c'est en réaction au blocage fait par Nasser du passage de la mer Rouge. Je rajoute ce "détail" qui me semble très important. --Yamshamoyal 18 novembre 2007 à 20:29 (CET)

Et l'action du Président Egyptien Nasser (Nationalisation du Canal de Suez, Blocage du Détroit de Tiran, etc.....)? Et les déclarations des Pays arabes environnants ?.Vue un peu courte de ce conflit, non ?--RODA 17 août 2006 à 05:02 (CEST)

Pardon, ...je n'avais pas lu la suite...--RODA 17 août 2006 à 05:04 (CEST)

Cet article est clairement partisant du clan Israélien. Après avoir tenté de l'effacer en vain, je vous conseille de consulter la vraie histoire sur d'autres sites beaucoup plus objectifs. Je suis très déçu par Wikipedia, que je croyais une source fiable d'informations objectives. Si je ne peux effacer ce texte partisant, qui pourra le faire? Il n'a pas sa place ici car il ne traite pas des vrais enjeux qui ont motivé cette guerre.

Wikipédia est écrit par des hommes, qui ont leur vue personnelle, il faut savoir faire le tri des informations qui sont présentées. Il est évident que ce texte est pro Israélien et ne traite pas le conflit dans sa globalité, mais est quand même intéressant à mon avis.

[modifier] Complot soviétique? «Foxbats over Dimona»

Moshe Sneh, un leader communiste israélien (et père d’Ephraim Sneh, l’actuel vice-ministre israélien de la défense), déclara à l’ambassadeur soviétique en décembre 1965 qu’un conseiller du premier ministre l’avait informé de «l’intention d’Israël de produire sa propre bombe atomique». Leonid Brejnev et ses collègues prirent la chose très au sérieux et décidèrent – à l’instar des Israéliens avec l’Irak en 1981 et peut-être avec l’Iran en 2007 – de stopper ce processus par des frappes aériennes. Toutefois, au lieu d’agir directement, Moscou concocta un projet complexe destiné à inciter les Israéliens à engager une guerre qui se terminerait par une attaque soviétique de Dimona. Militairement, le Kremlin se prépara à encercler Israël avec une armada de forces dotées d’armes nucléaires tant en Méditerranée qu’en mer Rouge, il installa du matériel à terre et entraîna des troupes dans la région avec l’intention de s’en servir. L’information peut-être la plus saisissante de «Foxbats over Dimona» qui a trait aux plans d’attaque du territoire israélien par les troupes soviétiques, et plus particulièrement aux bombardements prévus des raffineries et des réservoirs de pétrole ainsi qu’aux rapprochements avec les Arabes israéliens.

Il est également très révélateur d’apprendre que les avions de reconnaissances soviétiques MiG-25 (les «Foxbats» du titre de l’ouvrage) survolèrent directement le réacteur de Dimona en mai 1967. Politiquement, le projet consistait à créer de faux rapports de renseignement sur des menaces qu’Israël aurait fait peser sur la Syrie, incitant ainsi les forces égyptiennes, syriennes et jordaniennes à se mettre sur le pied de guerre. Comme ses patrons soviétiques le lui avaient ordonné, Gamal Abdel Nasser déplaça ses troupes en direction d’Israël, éloigna une force d’interposition des Nations Unies et bloqua un passage naval crucial vers Israël – trois initiatives qui, ensemble, poussèrent les Israéliens à adopter un état d’alerte maximale. Incapables de maintenir cette attitude bien longtemps, ils frappèrent les premiers, tombant ainsi, apparemment, dans le piège soviétique. Mais les forces de défense israéliennes firent alors quelque chose de stupéfiant. Au lieu de se contenter d’une semonce, comme s’y attendaient les Soviétiques, ils remportèrent rapidement ce que j’ai appelé «la victoire la plus écrasante des annales de la guerre». N’utilisant que des moyens conventionnels, ils vainquirent les trois États arabes ennemis en six jours, prévenant ainsi l’invasion soviétique prévue, laquelle dut être annulée précipitamment. Ce fiasco donnait un air piteux au complot soviétique et Moscou s’efforça donc de dissimuler son rôle dans la préparation de cette guerre (sa deuxième débâcle stratégique majeure de la décennie, après la tentative d’installer des missiles à Cuba). Il y parvint si bien que la responsabilité soviétique dans la guerre des Six Jours a disparu des histoires de ce conflit.

Ainsi, un expert de cette guerre tel que Michael Oren a fait un accueil réservé à la thèse de Ginor et Remez, déclarant qu’il n’y avait trouvé «aucune preuve documentée la soutenant». Si «Foxbats over Dimona» n’est pas le fin mot de l’affaire, il apporte une interprétation plausible et passionnante, riche d’implications, que d’autres peuvent maintenant étudier. Le conflit israélo-arabe actuel, maintenant concentré sur les territoires conquis en 1967 et accompagné d’un antisémitisme virulent, résulte en bonne partie des décisions prises par le Kremlin quatre décennies plus tôt. En fait, tout cela était inutile, car la possession d’armes nucléaires par Israël n’a eu qu’un impact limité sur l’Union soviétique jusqu’à sa chute en 1991. Et, comme le relèvent les auteurs, «la nostalgie du XXIè siècle pour la soi-disant stabilité de la guerre froide est largement illusoire». On peut se demander, 40 ans plus tard, où nous en serions si la guerre soviétique des Six Jours n’avait pas eu lieu? Quelle que regrettable que puisse être la situation actuelle, elle serait vraisemblablement pire encore sans cette éclatante victoire israélienne.

Reproduction du texte de Daniel Pipes: http://fr.danielpipes.org/article/4595

La version anglaise de wikipedia a soulevé un coin du voile.

Takima 27 août 2007 à 21:07 (CEST)


Je pense qu'il faudrait rajouter une carte sur cette page parce que ce n'est pas très facile à visualiser

[modifier] Situation géostratégique précédant le conflit (1956 – 1967)

Je trouve cette section trop longue. Je propose de la diviser en plusieurs sous-sections comme suit:

  • les 2 premiers § -> Crise du canal de Suez
  • les 3 suivants: Un équilibre incertain
  • les 4 suivant : retrait des troupes de l'ONU
  • le reste: le téléphone rouge

C'est dur de trouver des titres convenables Sourire. Il y a un gros travail à faire sur cette article, notamment au niveau des sources. Omar86 | Niqash 25 février 2008 à 12:39 (CET)