Discuter:Femmes de réconfort

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Sommaire

[modifier] prostitution établie

Pour Fafnir : Ce n'était pas une forme de prostitution, c'était de la prostition. Le règlement japonais spécifiait même les tarifs.

[modifier] stérilisation et préparation des corps

Et ce qui concerne la préparation des femmes et des fillettes enlevées : stérilisation, et préparation pour qu'elles puissent accepter des rapports avec des adultes ? Cela relève de la légende, ou bien est-ce avéré ? archeos 18 déc 2004 à 00:50 (CET)

[modifier] Demande de révision de cet article

Cet article n'est pas du tout neutre.(mais comme des juifs ne sont pas concernés.......) Pour donner la raison, je cite quelques passages et les réfute:

  1. Les femmes de réconfort est le nom donné aux 200 000 Asiatiques contraintes...
  2. les Japonais pratiquèrent l'enlèvement pur et simple.
  3. Les conditions de vie des femmes étaient donc un esclavage.
  4. Mais c'est grâce au tribunal international des femmes pour la répression des crimes de guerre que les choses ont véritablement avancé sur le plan international.(et la suite)

Pour 1, le nombre 200 000 n'est qu'une théorie proposée par YOSHIMI Yoshiaki, professeur de Nihon Daigaku Chûô daigaku, Japon. HATA Ikuhiko, professeur de Nihon Daigaku (Japon), dit que le nombre total était 20 000 (40% de Japonaises, 30% de Coréennes et 10% de Chinoises). Par contre selon KOREAN CENTRAL NEWS AGENCY, 200 000 Coréennes sont enlevées. Ainsi, le nombre est-il très varié.

Pour 2, il n'y a aucune preuve PHYSIQUE de cet enlèvement (document officiel etc.) Il ne faut pas facilement croire en témoignage sans preuve.

Pour 3, Selon une ex-femme de réconforts birmane, elles étaient SALARIÉES (le salaire mensuel était 1000 - 2000 yen contre 15 - 25 yen pour les soldats!) et travaillaient dans une grande demeure. Une autre avait 2 6145 yen, payés en 2 ans, dans un compte de la poste japonaise.

Pour 4, Ce tribunal n'est pas seulement invalide, mais aussi injuste. Il a manqué les avocats et les acusés. Et uniquement les approbateurs aux organisateurs étaient bienvenus. Normalement, on ne peut pas le considérer comme "le tribunal". En plus, il contenait dans le groupe de procureurs deux espions de la Corée du Nord. Dès que la conclusion ait été donné, les auditeurs ont applaudi à tout rompre.

Je modifierai si personne le fait. YukiM 12 mar 2005 à 21:51 (CET)

Wikipédia est librement modifiable par quiconque.
Je suis ouvert à la discussion, mais ton intervention est insidieuse, et repose sur des techniques de désinformation historique bien connues. J'espère qu'elle n'aboutira pas à une modification de l'article allant dans le même sens.
Le virement de salaires sur un compte en banque n'est pas un document ? Les sources orales sont des documents historiques, sans quoi il faudrait alors revoir des pans entiers de l'histoire récente et plus ancienne.
Qu'appelles-tu une preuve physique ?
un témoignage est une preuve (qui peut être contredite par une autre). archeos 13 mar 2005 à 01:14 (CET)
J'ai rédigé la quasi totalité de l'article en me basant sur plusieurs sources (de mémoire : Le monde, libération, plusieurs livres d'histoire et site web). Et tu ne me fera pas croire que que cet esclavage (et c'est le terme approprié) n'a pas existé.
Je suis près à t'accorder que sur le nombre de femmes, il y a peut-être eu quelques une qui ont été payés "normalement" (mais certainement pas presque dix fois plus que la solde d'un soldat).
Cela reste de la prostitution organisée et gérée par les forces militaires japonaises. Et aucune action de masse n'a été faite pour protéger ces femmes.
La quasi totalité ont été trompés sur ce qu'elle feront comme "métier". C'est une pratique courante de ceux qui pratique la traite des blanches.
Maintenant quant au Tribunal, je t'accorde que ce n'était pas un vrai tribunal, c'était plus un travail de mémoire qu'autre chose. Mais je pense que la formulation utilisé dans la partie qui parle du tribunal est plutôt clair sur ce point.
En résumé, ce sont des victimes et ce qu'a fait l'armée japonaise s'appelle un crime contre l'humanité.
Comme l'a dit Archeos, la méthode que tu as employé pour réfuté l'article est digne de la propagande! Tu peux modifier à ta guise l'article, c'est la règle, mais sache que je vérifierais chacune de tes modifications. C'est un article qui me tient à coeur et tu n'en fera pas un article révisionniste. Sanao 13 mar 2005 à 13:18 (CET)
  • À archeos

Je me suis trompé le mot. c'est le preuve matérielle et non pas physique.

Je ne dit pas que les femmes de réconfort n'ont pas existé. Mais, ici, je parle de l'enlèvement des femmes par l'armée japonaise. Comme tu dis, il y a les témoins racontant l'enlèvement par l'armée, mais c'est tout. Jusqu'à aujourd'hui, on a trouvé aucun document officiel qui parle de la participation militaire. C'est vrai qu'il y a eu des commerçants qui achetaient les femmes mais, ce n'est pas l'armée.

  • À Sanao

Je ne te ferai pas croire que l'esclavage n'a pas existé, car on n'est pas sûr de son existance. Mais toi, avec quelle raison tu le crois aussi fortement?

Et pour le salaire, je te demande pourquoi "certainement pas presque dix fois". As-tu quelque chose qui indique la somme de salaire? La femme que j'ai cité avait bien déposé 26 145yen (80 000 000 yen actuel, soit €615 000) en 12 fois(de juin 1943 à septembre 1945). Je te conseille de lire ceci http://www1.coralnet.or.jp/kakichi/qa-2.ex3.usreport.html

Tu dis qu'aucune action n'a été faite pour protéger les femmes. Mais là, tu creuse ta propre tombe. Aucune action n'a été faite même par les Coréens! Si on a enlevé les femmes, cela aurait dû provoquer des manifestations. Mais elles n'ont pas été faites. C'est évident car la prostitution était légal à cette époqie-là.

Quant au tribunal, on doit ajouter les inégalités (il a manqué les avocats etc.)

Pourquoi demander une révision en réfutant pour que l'article soit neutre est-il une propagande? Je ne comprends pas.

Pour finir, sais-tu que Kim Hak Sun a raconté elle-même qu'elle n'avait pas été enlevée? C'est sa mère qui l'a vendue.

La modification sera plus tard. YukiM 14 mar 2005 à 21:19 (CET)

Sur quelles basent je crois que la conditions des femmes de réconforts était de l'esclavage? Dans le désordre:
  • Elles ne pouvaient pas arrêter la prostitution sous peine de se faire battre voir même tuées
  • La majorité était trompée sur leur "métier" avant de commencer
  • Tout était fait pour qu'elles ne puissent plus retourner chez elle si elles arrivaient à s'enfuir (perte de la virginité et du statut sociale qui va avec)
C'est suffisant?
Concernant la somme du salaire c'est toi qui m'a donné un exemple de la solde d'un soldat (15 à 25 yens) et du salaire qu'a perçu une femme de réconfort birmane (1000 à 2000 yens).
Concernant le Tribunal, tu peux à loisir modifier l'article pour souligner que ce n'était pas un véritable tribunal. Je répète encore que c'était plus un travail de mémoire qu'autre chose.
Que Kim Hak Sun ai été enlevé ou vendu ne change rien. Cela reste de l'esclavage. Que les Coréens réagissent ou non cela ne change rien (d'ailleurs si le gouvernement coréen ne "réagissait" pas, c'était à mon avis parce qu'ils étaient sous domination japonaise depuis 1910), c'est de l'esclavage. Vouloir minimiser les responsabilité de l'armée japonaise c'est pour moi une technique de révisionnisme (regarde l'article révisionnisme pour t'en convaincre).
Tu peux modifier l'article, mais je resterais ferme contre toute les modifications voulant limiter la responsabilité de l'armée japonaise et nier que les femmes de réconfort étaient des esclaves au service du "bien être" des militaires japonais. Sanao 15 mar 2005 à 23:26 (CET)

OK, j'ai compris sur quelles bases tu le crois. Mais sur quoi te fondes-tu pour la première et la troisième phrases? Ne me dis pas que parce que c'était écrit dans le journal. La troisième, je suis d'accord. Mais sache que l'armée japonaise a ordonné d'arrêter le recrutement trompant.

Quant au salaire, je te demande de me montrer le fondement de ce que tu as dit: "mais certainement pas presque dix fois plus que la solde d'un soldat" En fait, ce n'est pas dix fois plus, c'est 60 à 80 fois plus.

>>Cela reste de l'esclavage bien qu'il n'y ait pas d'autres preuves que son ( et de qq ex-femmes de réconfort) témoignage.

Au fait, tu as lu ce que je t'ai montré au-dessus? YukiM 16 mar 2005 à 11:10 (CET)

Pourquoi est-ce que je ne devrais pas croire les journaux? Le Monde et Libération ne sont pas des sources fiables? Pour toi, c'est quoi une source fiable?
Avant de continuer je vais préciser quelques points, dit moi si tu es d'accord :
L'armée japonaise fixait le règlement (tarif, horaire, hygiène, etc...) des maisons de passes habilitées à être fréquentées par les militaires japonais. Les maisons étaient détenu soit par l'armée ou soit par des personnes qui étaient dans les bonnes grâces des responsables militaires japonais (cela pouvait être des locaux comme des étrangers). Les propriétaires des maisons percevaient un pourcentage sur les passes, c'était donc un proxénète. De plus il faisait payer la nourriture et tout les biens de la vie de tout les jours. Ce dernier était chargé par l'armée japonaise de trouver des filles et la façon de les trouver ne préoccupait pas le moins du monde l'armée japonaise.
L'armée japonaise était donc complice et favorisait même par son action la prostitution et l'esclavage.
Je continu a appeler cela de l'esclavage car les filles ne pouvaient pas partir (soit elles étaient retenu par la force, soit par le fait qu'elles ne pouvaient pas faire autrement, puisqu'elles n'avaient pas d'autre vie).
Je t'accorde qu'il y a bien eu des femmes qui étaient tout à fait consciente de ce qu'elles faisaient, mais je considère toujours la prostitution comme une activité que les femmes se retrouvent obligées de faire. Soit par ce qu'elle n'ont pas de famille ou qu'elles sont pauvres ou encore qu'elles y sont contraintes. Le fait qu'il y ai un proxénète aggrave cet état de fait car une personne profite de cet misère. Je me répète, mais l'action de l'armée japonaise n'a fait que favoriser cette pratique, même si elle aurait tout de même existé sans les actions de l'armée japonaise. En faisant cela, l'armée japonaise voulait contrôler la prostitution et ainsi entre autres éviter de propager des MST. Mais la condition de ses femmes restent de l'esclavage, car elles ne pouvaient faire autrement. Et la violence qui pouvait être commise à leur égard ne préoccupait pas l'armée japonaise et les propriétaires des maisons closes.
D'accord ou pas? Sanao 17 mar 2005 à 19:17 (CET)

Bien sûr que tu peux croire les jurnaux! Mais sais-tu que des articles de jurnaux ( et des livres bien entendu) ne peuvent être que les sources SECONDAIRES? C'est-à-dire, eux-même, sont basé sur d'autres sources, dites PRIMAIRES. Les sources primaires sont, par exemple, le résultat des recherches et des enquêtes, la lettre, la photo, l'ordre militaire écrit etc. Pour moi, une source fiable sont donc celle de primaire.

Je suis d'accord avec toi jusqu'à "...c'était donc un proxénète". Pourtant, sur la phrase "De plus il faisait...l'armée japonaise", je vais continuer à rechercher. A partir de la phrase suivante, il y a des problèmes. Pourquoi l'armée japonaise était-elle complice de la prostitution (je vais parle de l'esclavage au-dessous)? La prostitution même était LÉGALE à cette époque-là. J'ajoute qu'elle a été complètement interdite en 1956.

Quant à l'esclavage, je te demande la source primaire. Par contre moi, comme la source, j'ai le rapport américain (que je t'ai conseillé à lire) racontant la liberté des femmes). Je ne supprime quand-même pas ce passage mais, puisqu'il y a les témoignages concernant le salaire, il faut l'ajouter à l'article pour qu'il soit neutre.

Pour finir, il y a eu les actions de l'armée japonaise. Elle a ordonné aux proxénètes d'arrêter les enlèvements. YukiM 17 mar 2005 à 22:29 (CET)

J'ajoute une chose. Tu as écrit dans l'article: "Un peu avant la fin de la guerre, le gouvernement japonais fit passer des circulaires expliquant comment dissimuler les faits" Donne-moi le document contenant les expéditeurs, les destinataires et la date précise de ces circulaires, S'il-te-plaît. Merci. YukiM 18 mar 2005 à 14:12 (CET)

J'arrive un peu tard, mais en histoire, il n'y a jamais de source fiable, il n'y a qu'une critique de toutes les sources. Des articles de journaux, quand ils sont des reportages d'envoyés spéciaux ou des interviews, sont des sources primaires. Pour le sujet qui nous occupe, nous avons suffisamment de témoignages concordants, qui se recoupent, pour établir un certain nombre de faits, et pour savoir quel était le statut proche d'un asservissement de ces femmes. D'un autre coté, les sources opposées sont rares, pas spécialement concordantes et n'invalident pas les premières. Par exemple l'armée japonaise a ordonné aux proxénètes d'arrêter les enlèvements : cela corrobore l'affirmation d'enlèvements ; dommage que nous n'ayons pas la date de cet ordre, car l'effet réel observé de cet ordre donne un indice certain de la volonté réelle de l'armée japonaise de mettre fin à ces enlèvements. Sachant qu'elle en tirait largement profit, et que quand elle considérait que quelque chose troublait l'ordre, ce quelque chose ne perdurait pas, si elle n'a pas agi pour y mettre fin, c'est que cela ne la troublait pas. archeos 19 mar 2005 à 12:18 (CET)

vous avez beaucoup de témoignages. Cela est vrai. Mais quant à la concordence, je ne suis pas d'accord. Il y a maintes contradictions. Et je ne suis pas d'accord non plus que les sources opposées sont rares. Il y en a beaucoup. Simplement vous ne les connaissez pas. A propos de l'ordre, si tu veux la détail, la voici:

L'affaire concernant le recrutement des femmes de réconfort

  • Destinataire: Le chef d'état-major de l'armée envoyée au nord et au milieu de la Chine
  • Expéditeur: le sous-secrétaire de l'armée de terre Umezu
  • Auteur d'un projet: Bureau des affaires des soldats de l'armée de terre
  • Date: le 4 mars 1938

Dedans, en gros, on demande de faire très attention aux gens qui utilisent le nom d'armée lors du recrutement et qui enlèvent les femmes.

Comme je dis depuis le début, l'enlèvement a existé mais, il n'y a aucune preuve qui affirme que c'était par l'armée. YukiM 19 mar 2005 à 14:28 (CET)

Que ce soit par enlèvement ou par tromperie cela reste de l'esclavage. La majorité des femmes étaient contraintes (par la force ou par ce qu'elles ne pouvaient pas faire autrement) de se prostituer. Les cadences pouvaient être infernales et devenaient pour certaines de l'abattage.
Je suis désolé de ne pas pouvoir faire le travail d'un journaliste ou d'un historien (c'est à dire receuillir moi même les témoignages et les documents d'époques et ensuite de la analyser). Mais les sources que j'ai consultées se recoupent et je les juge dignes de confiances. Maintenant si tu veux faire des modifications pour préciser tel ou tel point, libre à toi. Mais fait attention à ne pas tomber dans le révisionnisme (voir ta modification de l'article sur le Massacre de Nankin).
Je continue de dire que l'armée a favorisée le système des proxénètes et qu'elle en tirait un bénéfice certain (protection de la santé de ses soldats, limitation des "dommages collatéraux" comme les viols, etc...). En contre parti, ces femmes étaient livrés à la violence, morale et physique de la prostitution. Et la guerre n'a rien arrangée.
L'armée impériale japonaise est connue pour ne pas avoir eu d'état d'âme quand à la protection des civils. Alors des prostitués, c'était vraiment le dernier de leur souci! Sanao 19 mar 2005 à 14:46 (CET)

[modifier] Grande modification

J'ai modifié l'article dans le but de la neutralisation en respectant maximum celui de l'auteur original, Sanao. Voici, ce que j'ai fait:

  • J'ai modifié les rubriques qui dérogeaient à la règle Wikipédia:Contenu évasif. La pluspart de rubrique manquait l'indication de sources.
  • J'ai ajouté d'autres théories et quelques document pour la neutralisation.
  • J'ai supprimé la rubrique A la fin de la guerre. Cette rubrique contenait trois choses: 1, les ex-femmes de réconfort n'ont pas pu vivre normalement après la guerre. 2, Le Japon a essayé de dissimuler les faits. 3, Les pays occupants ont passé les femmes sous silence. Pour le 1 et le 3, je suis prêt à les restaurer (en précisant les sources). Par contre, le 2, j'ai demandé la détail de cet ordre à Sanao mais, rien n'a été proposé. On ne peut pas le réstaurer sans source.
  • Dans la version précédente, les recommandations au Japon étaient considérées celles de l'ONU. Mais celle qui a recommandé était en fait Mme. McDougal seule, et c'est fait personnellement. J'ai donc déplacé ces recommandations dans la rubrique Les deux rapports en explicant ces rapports. YukiM 19 mar 2005 à 16:53 (CET)

[modifier] Grande correction

et au passage tu as ajouté moult fautes. J'en ai profité pour ajouter quelques éléments. En tout cas ta modif a le mérite de poser maintenant les choses. On discutera (enfin, les quelques fois où je passerai ici) un peu plus sur ce que va être l'article. archeos 19 mar 2005 à 22:32 (CET)

[modifier] PROPOS NÉGATIONNISTES

Je tiens à mettre en garde les personnes ayant participé à la rédaction de cet article concernant l'inclusion de renseignements fondés sur les travaux de Ikuhiko Hata. Ce soi-disant "historien" est une des figures de proue de l'organisation négationniste Tsukurukai qui s'est entre autres donné comme mandat de censurer les manuels scolaires.

Les statistiques concernant l'origine des prostituées qu'on retrouve ici en sont en exemple. Je vous suggère de faire une recherche sur google avec Ikuhiko Hata et Tsukurukai ou Nanking ou encore d'aller voir à Tsukurukai.com pour prendre connaissance de la portée de son "oeuvre" mais je suis contre le fait de donner ici de l'importance à de tels individus. --Tigre volant 14 août 2006 à 22:56 (CEST)

[modifier] Sanao et les leucodermes

Sanao, je n'ai pas modifié votre mention sur "les asiatiques" et "les leucodermes" mais le moins que l'on puisse dire, c'est que ça ne simplifie pas la compréhension générale, le terme "asiatique" étant imprécis et pouvant s'appliquer autant à des populations d'origine perses, arabes, indiennes ou mongoloïdes alors que le terme "leucoderme" est passablement hermétique. S'il est vrai que le concept de race est biologiquement flou, il demeure néanmoins utile dans l'usage courant. Ainsi, comment vais-je dorénavant différencier un berger allemand d'un cocker si je dois bannir la race ? Dois-je décrire chacune de leurs caractéristiques physiques ? Rectitude politique, quand tu nous tiens... --Tigre volant 27 décembre 2006 à 23:21 (CET)

J'ai modifié la phrase. Leucoderme me semble excessivement « politiquement correct ». De plus le choix des femmes par les japonais (même supposés racistes) s'est certainement fait d'après des critères géographiques plutôt que pigmentaires ; les femmes à côté de chez eux, des asiatiques dans le sens de « voisin du Japon ». Yeux bridés ou non, nous on s'en fiche.
Finalement, j'ai retiré l'allusion à ces quelques blanches. Aucun intéret, dans la phrase initiale de l'article.
Bon courage :) --ironie


[modifier] Conditions de vie

Cete section se réfère à une enquête du United States War Office faite en 1944 mais ne présente aucune référence. Quelle est cette enquête faite en pleine guerre ? Dans quel pays a t-elle été menée? Il m'apparait y avoir de fort doutes quant à la valeur réelle de cet argumentaire sans source etce, sans même se référer aux dernières découvertes faites dans les archives du Tribunal de Tokyo. --Tigre volant 9 juin 2007 à 03:39 (CEST)

[modifier] à propos de la traduction dans le Monde et le Washington Post

Je souhaite que quelqu'un de plus compétent en français traduise correctement les propos tenus par le premier ministre japonais Shinzo Abe, car la distinction entre la contreinte dans un sens large et étroit est importante pour comprendre clairement le sens de sa déclaration. Contreinte dans un sens large comprend : tromperie, traite des femmes, contrainte économique etc. Contreinte dans un sens étroit désigne, dans ce débat autour des femmes de réconfort, enlèvement physique pur et simple. Shinzo Abe parle de l'absence de preuves pour l'implication directe de l'armée japonaise dans cette dernière. C'est pourquoi il commence ses propos par les phrases suivantes "J'accepte la déclaration de Kono (qui admet l'usage de contrainte dans un sens large et l'implication plus ou moins directe de l'armée japonaise dans cet usage de contrainte)".

Je peux affirmer catégoriquement que l'article du Monde cité disant "ces femmes n’ayant pas vraiment agi sous la contrainte, selon lui." se base sur une faute grave (et intentionnelle?) de la traduction. Quant à la traduction donnée dans le Washington Post, elle est n'est pas satisfaisante non plus. Shinzo Abe parle assez longuement de la distinction entre ces deux sens dans les phrases qui suivent la partie traduite et citée. Ecrire "le premier ministre japonais a nié l'usage de contrainte dans le recrutement des femmes de réconfort" est, à mon avis, loin d'être correct, voire malhonnête. (commentaire non signé)


Le Japan Times reprend la même traduction que le Washington post: Abe a commencé par nier l'implication de l'armée shôwa dans l'enlèvement physique des femmes et la gestion des maisons de confort. Suite au tollé, il s'est réfugié derrière le libellé de la déclaration de 1993, en ne faisant état que des ses sentiments personnels à l'égard des victimes. Votre interprétation est tout à fait subjective et vous n'avez pas autorité pour critiquer la traduction faite par ces deux média. Quant à la traduction dans Le Monde, elle n'est pas du tout à la base des comentaires que j'ai ajouté. --Tigre volant 24 juin 2007 à 02:36 (CEST)


Vous vous trompez sur la notion de "source". L'article dans les journaux comme Le Monde ou le Washington post, quelle que soit leur soi-disant autorité, ne sera jamais une source plus fiable que la transcription effctuée mot à mot. Si ces articles peuvent être une source première sur l'opinion personnelle (et acceptée par la rédaction) de l'auteur, ils ne sont que des sources secondaires sur ce qu'a dit Abe dans la déclaration dont ils parlent. Ils ne donnent que des analyses personnelles, souvent basées sur une traduction, ce qui les rend d'autant plus contestables.

Je peux vous confirmer qu'on n'a pas besoin d'autorité pour s'apercevoir de l'insuffisance de ces traductions. Vous pouvez demander à n'importe qui de traduire les propos d'Abe en français ou en anglais. Personne n'omettra la partie "dans un sens étroit" et son accord donné à l'existence de la contrainte dans un sens large, s'il sait lire le japonais.

Par contre, je serais très curieux de savoir quand Abe a nie l'implication de l'armée dans la gestion des maison de confort. Car comme le montrent les sources premières (documents de l'armée par exe.), il est insensé de la nier.

Quant à l'implication de l'armée dans l'enlèvement pur et simple, il n'y a que des témoignages de victimes parfois instables. C'est un fait incontestable que même le professeur Yoshii, qui est le premier à dénoncer la responsabilité de l'armée, admet clairement. Certes, les témoignages oraux sont aussi des sources importantes, mais tout le monde sait qu'il faut les utiliser avec prudence.

Je pense personnellement que la responsabilité de l'armée japonaise était énorme et indéniable dans cet affaire. Mais il faut patiemment accumuler des preuves plus fiables pour déterminer en quoi l'armée était réellement responsable. Aujourd'hui, il suffit de prononcer sa doute sur l'enlèvement massif par l'armée pour être qualifié de négationniste ou d'extrême droite. Je ne pense pas que ce soit une situation saine pour construire l'avenir.Petitpons 24 juin 2007 à 19:43 (CEST)

Et bien, je comprends que nous n'avons pas la même vision du rôle d'un utilisateur sur Wikipedia. Je perçois ce rôle comme celui d'un rapporteur qui collige et rend public les sources et vous (je présume que vous êtes le même utilisateur qui est intervenu anonymement plus tôt), vous croyez que chaque utilisateur doit les interpréter selon sa vision...

Vos assertions sur le fait que les preuves d'enlèvement ne reposent que sur des témoignages sont non fondées nécessitent d'être mise à jour suite à la découverte des documents rendus public cette année par Yoshimi et co. qui démontrent notamment l'implication directe de la Tokeitai. Il est donc aussi "insensé" pour Abe de nier ce fait. Lisez simplement les articles en référence et vous verrez ce à quoi je fais allusion.

Quant à cette histoire de "sens étroit", je crois que vous faites une tempête dans un verre d'eau. Les modifications que j'ai apportées précises bien qu'Abe s'est élevé contre le lien entre l'armée et l'enlèvement physique des femmes. Il est difficile d'être plus clair...

En ce qui a trait à la teneur de ses négations initiales, vous en avez un aperçu dans l'article suivant du Japan Timesqui précise bien le fait qu'il s'attarde à en long et en large au sens des mot [1] et qui fait notamment référence à la volonté de membres de son parti de réviser la déclaration de 1993 portant à la fois sur l'enlèvement et la gestion.--Tigre volant 24 juin 2007 à 21:32 (CEST)

[modifier] Lien externe (clip vidéo)

Si j'ai supprimé ce lien, c'est parce que je trouve qu'il a sa place dans l'article d'une encyclopédie. Mis à part faire vibrer la corde sensible, il n'apporte aucun contenu. Sanao (d) 11 mai 2008 à 23:37 (CEST)

Je crois qu'il serait plus judicieux d'intégrer le lien dans une section "filmographie" que de l'éliminer sous ce prétexte. Il s'agit d'une oeuvre de création au même titre qu'un film...--Tigre volant (d) 12 mai 2008 à 15:26 (CEST)
Je ne vois toujours pas en quoi la référence à ce clip apporte quelque chose à l'article.
De plus, ce clip me semble très anecdotique. A t-il eu un echo important ou une conséquence quelconque concernant le problème des femmes de réconfort? Sanao (d) 12 mai 2008 à 21:27 (CEST)
Je ne partage pas votre vision restrictive de "l'utilité". Ce clip fait partie d'une campagne de sensibilisation lancée en extrême-orient en quatre langue (mandarin, coréen, japonais, anglais). Il est des occasions où l'événement réside dans la création de l'oeuvre elle-même en lien avec le sujet de l'article. Suivant votre point de vue, nombre de liens externes référant à des films ou des oeuvres artistiques devraient être élagués du réseau. Néanmoins, je ne perderai pas mon temps à déclencher une guerre d'édition pour ce désaccord mineur. --Tigre volant (d) 13 mai 2008 à 15:40 (CEST)
La mention de la campagne de sensibilisation peut être pertinente et encyclopédique si les personnes derrières ont une véritable importance ou si cette campagne a été relayé par divers quotidiens faisant autorités. Mais la seule mention de ce clip n'est selon moi pas intéressante car anecdotique.
PS : Désolé d'en remettre une couche Sourire Mais je tenais à expliquer précisément le pourquoi de ma suppression. Sanao (d) 14 mai 2008 à 00:03 (CEST)