Discuter:Développeur

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Est qu'il ya des autres sortes de développeur, ou sont tous les développeurs développeurs d'informatique? Je ne suis pas au courant de cet mot en français. --Saforrest 22 sep 2004 à 00:54 (CEST)

Une sorte de développeur : Développeur graphique Il y a plein de différents développeurs , mais il est inutile de tous les répertorier , ça encombrerait .

Sommaire

[modifier] Programmateur

Ne dit-on pas programmateur ? Programmeur n'est-il pas plutôt un anglicisme…?

Non bayo 2 novembre 2006 à 15:34 (CET)
Un programmateur c'est ce qui configure le programme d'une machine à laver le linge :P Fredb24 (d) 5 décembre 2007 à 13:47 (CET)

[modifier] Développeur

Veuillez prendre note du fait que ce mot n'existe pas dans le dictionnaire français !!!

C'est marrant, j'ai un dictionnaire qui a ce mot. Change de dictionnaire. bayo 2 novembre 2006 à 15:34 (CET)

[modifier] Programmateur

euh programmateur est un mot français :)

euh développeur aussi. bayo 2 novembre 2006 à 15:34 (CET)

[modifier] Section sur Top-down bottom-up

Elle n'est pas trop mal, mais il me semble qu'elle n'est du tout au bon endroit. Peut être faut il y créer un article spécifique. et l'integrer dans le portail sur la programmation?

Je pense aussi qu'il n'a aucun rapport avec l'article. Harobed 6 octobre 2007 à 18:17 (CEST)
Pour reclassement dans un autre article ou création d'une entrée le texte de la section que je viens de supprimer de l'article :Eric Jouffrey 8 octobre 2007 à 17:29 (CEST)
== Top-down ou bottom-up ? ==
Le monde du développement informatique a été longtemps agité par la question suivante : devrait-on développer en top-down ou bottom-up ?
  • top-down : correspond à la décomposition progressive de Descartes évoquée ici. On va du complexe au simple.
    • Avantage : On est certain que la complexité de ce qu’on étudie se réduit à chaque étape
    • Inconvénient 1 : La manière de décomposer n’a pas de raison d’être unique, ergo il se peut qu’on ne choisisse pas la meilleure. Le problème se répète et se cumule à chaque ::nouvelle étape de décomposition.
    • Inconvénient 2 : Le découpage d’un problème en tranches peut escamoter involontairement les questions transversales qui n’appartiennent spécifiquement ni à une tranche, ::ni à une autre. Pire : au moment où on examine chaque tranche, on peut de bonne foi croire que le problème transversal est du ressort de l’autre. Or, pour un problème complexe il ne ::semble guère possible de garder en tête simultanément tous les problèmes transversaux en suspens, sauf dans les cas où l’on sait déjà très bien formaliser pour des raisons ::d’habitude
Ces considérations conduisent à ne pas remettre en cause le modèle top-down dans un cas : celui des problèmes qu’à quelques détails près on connaît bien.
  • bottom-up : correspond à la maîtrise progressive d’éléments simples, et que l’on combine pour cheminer vers une complexité de plus en plus grande. On va du simple au ::complexe.
    • Inconvénient : beaucoup d’essais et d’erreurs, et pas toujours dans les bonnes directions. On tâtonne.
    • Mais en contrepartie on se familiarise avec les éléments de la résolution, on voit où on met les pieds, on acquiert des bases stables.
Un pianiste qui fait des gammes, puis des accords, puis des arpèges, puis des exercices de déliateur avant d’attaquer des œuvres simples, puis de plus en plus compliquées travaille ::en bottom-up. En top-down, il prendrait d’emblée la Fantaisie impromptue de Chopin, puis la décomposerait, par exemple mesure par mesure. Cela ::marchera aussi, mais cela serait-il la méthode la plus efficace ?
Le chat qui attrape une souris travaille aussi en bottom-up, en jouant avec la souris et en acquérant peu à peu les concepts qui le rendent plus efficace. Il n’a pas de ::théorie générale sur l’apprentissage des souris, qu’il décompose en éléments pour vérifier chacun un par un.
Peindre la Joconde par la méthode de Descartes sur un écran 1024×1024 : couper le tableau en 4, puis chaque quart en quatre, jusqu’à ce que l’on tombe sur un pixel. On ne peut ::pas trouver plus simple ni plus petit. Il n’y a donc plus qu’à choisir la couleur du pixel. « Diviser chacune des difficultés que j’examinerais, en autant de parcelles qu’il se ::pourrait, et qu’il serait requis pour les mieux résoudre », c’est fait. Est-on bien certain d’obtenir la Joconde par ce moyen ?
Cela suggère une approche où chaque méthode a son domaine d’usage optimal :
  • le top-down pour tout ce que l’on maîtrise à peu près dans les grandes lignes,
  • et le bottom-up pour explorer efficacement les terra incognita.

Bonjour, vu que ça a l'air de faire un moment qu'il y a ces liens rouges et que la section comporte une bonne description des deux approches, je me suis permis de retirer les deux interliens lors de ma passe pour améliorer la lecture. Geoffroy Aubry 27 juillet 2007 à 23:28 (CEST)