Discuter:Cogénération

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Sommaire

[modifier] Cogénération briqueterie Tunisie

J'ai une solution. Quelles sont vos coordonnées ? Voir notre site www.tunisie-environnement.com ou par mail denisvaucelle@aol.com

        • cogeneration, turbine a gaz ******

bonjour , voici mon e-mail adress kamel.mhamdi@quimextunisie.com . j'ai peut etre ce que vous chercher.

[modifier] Modifications

Je me suis permis de placer cet article comme article non neutre, principalement au regard des références à EDF.

L'article comportant un certain nombre d'erreurs (du style "revendre à EDF 2 fois le prix d'achat" ou "EDF valorise cette solution technologique"), et étant professionnellement spécialisé dans ce domaine, je vais me permettre de retravailler cet article en conséquence, dans un sens que j'essaierai de maintenir le plus objectif possible. Par ailleurs, mieux vaut ne pas trop parler d'EDF dans cet article, sauf à expliquer dans le détail tous les freins qui sont mis depuis plus de 15 ans par EDF au développement de la cogénération, comme d'ailleurs au développement de toute source alternative de production d'électricité décentralisée, dans le but de protéger son monopole de production centralisée.
--Astrée 18 septembre 2005 à 21:32 (CEST)

[modifier] refonte du sujet

L'article a été entièrement repris. Sauf avis défavorable, je retirerai dans quelques jours le bandeau de neutralité.
--Astrée 19 septembre 2005 à 11:49 (CEST)


[modifier] (X) Cogénération

Je me suis permis de placer cet article comme article non neutre, principalement au regard des références à EDF.

L'article comportant un certain nombre d'erreurs (du style "revendre à EDF 2 fois le prix d'achat" ou "EDF valorise cette solution technologique"), et étant professionnellement spécialisé dans ce domaine, je vais me permettre de retravailler cet article en conséquence, dans un sens que j'essaierai de maintenir le plus objectif possible. J'essaierai dans le même temps de le compléter afin d'avoir une vision plus générale de cette technologie.Par ailleurs, mieux vaut ne pas parler d'EDF dans cet article, sauf à expliquer dans le détail tous les freins qui sont mis depuis plus de 15 ans par EDF au développement de la cogénération, comme d'ailleurs au développement de toute source alternative de production d'électricité décentralisée, dans le but de protéger son monopole de production centralisée. --Astrée 18 septembre 2005 à 22:00 (CEST)

L'article a été entièrement rerédigé. Sauf avis défavorable, je retirerai le bandeau de non-neutralité sous 8 jours.
--Astrée 19 septembre 2005 à 11:54 (CEST)

Pour moi, l'article n'est pas encore parfaitement neutre, et comporte des subtilites parfois difficile a comprendre:
A clarifier:

  • 400V en reseau domestique? Je croyais que c'etait du 220V. Je pense avoir tord qqu part car je ne suis pas specialiste, mais cela meriterait des clarifications.
230/400V, 230 V en monophasé, mais les réseaux sont toujours en triphasé --Astrée 22 septembre 2005 à 02:22 (CEST)
  • Qu'est-ce que le gaz "fatal" ?
gaz "déchet" normalement voué à la destruction par combustion --Astrée 22 septembre 2005 à 02:22 (CEST)
  • Quel est le prix de revente de l'electricite a EDF ? en existe-t-il un?
pfiouuuu ! vaste débat, et compliqué --Astrée 22 septembre 2005 à 02:22 (CEST)

Passages non neutres:

  • Dans la partie "avantages" l'expressi0n "chauffer les oiseaux et les rivieres" me semble cavaliere. Question au passage: est il possible (dans l'absolu) de faire de la cogeneration avec l'eau chaude des centrales nucleaires? Pasqu'en France, ca fait un sacre gisement...
non, la chaleur qui sort des centrales a déjà été turbinée et est trop basse en pression et température pour avoir un autre usage que celui de chauffage. Par contre un couplage avec des réseaux de chauffage urbain se fait dans de nombreux pays, mais çà implique que la centrale soit dans ou en limite d'une ville, et çà ne sert que l'hiver. En France, il y a quelques (trop rares) applications de chauffage agricole, de serre par exemple --Astrée 22 septembre 2005 à 02:45 (CEST)
  • "La cogénération, par rapport aux systèmes plus classiques, limite l’émission des polluants dans l’atmosphère et permet de limiter les émissions de gaz à effet de serre." Question: Une centrale nucleaire produit-elle plus de CO2 par kilojoule qu'une centrale de cogeneration fonctionnant au fioul?
  • En toute fin d'article "La directive [...] du Parlement européen [...], et l'envolée du coût des énergies fossiles, permet d'espérer que la situation évoluera favorablement dans les années à venir." Cette esperance est un point de vue (que je partage par ailleurs), mais ce n'est pas neutre. Le mot "favorablement" n'est pas neutre non plus.

Ceci dit, ce sont des points de details, dans un article que je trouve bon dans son ensemble.
Berru 21 septembre 2005 à 19:46 (CEST)

J'ai neutralisé les points non neutres 1 et 3. Au dela, je crains d'avoir atteint ma limite d'incompétence... Berru 21 septembre 2005 à 20:40 (CEST)


Merci pour les remarques, et tout à fait ok pour les modifs de neutralité :-) Je note les questions de compréhension, j'ai apporté des compléments concernant les points "obscurs soulevés", sans entrer trop dans les détails techniques qui ne relèvent pas de ce sujet. Une centrale nucléaire effectivement ne produit pas de CO2, mais d'autres types de déchets, j'ai précisé "centrales à combustibles fossiles", je ne vais pas entamer le débat sur les avantages et inconvénients du nucléaire dans ce document ;-) --Astrée 22 septembre 2005 à 02:22 (CEST)


[modifier] Si vous modifiez ...

... merci de bien vouloir signer vos interventions, et ne pas modifier sans justifier les modifications. Que le fait de citer "objectivement" la position d'EDF vis-à-vis de la cogénération gène les défenseurs d'EDF peut se comprendre, mais sauf à prouver qu'EDF a changé et accepte le développement de cette forme de production par des tiers, entre autre le cycle combiné, je ne vois pas pourquoi il faudrait le cacher.

Si vous modifiez les valeurs de rendement des moteurs indiquées, idem, merci de citer vos sources. Les valeurs que j'ai indiquées sont celles relevées chez la totalité des grands constructeurs de moteurs. Astrée 13 juin 2006 à 13:19 (CEST)

[modifier] Besoin de renseignements

Dans le cadre de ma formation (BTS Fluides, Energies, Environnement Option D: Maintenance et exploitation des systèmes énergétiques), avec deux de mes camarades et moi-même, nous devons présenter un travail sur la cogénération (aspect technologique, social, environnemental, historique, etc.)

Je fais appel à tous pour m'aider à trouver un historique de la cogénération en France et en Europe. De plus, j'aurais besoin de savoir si EDF facilite la création de nouvelles installations et comment. Et enfin, les conditions de rachat de l'électricité cogénérée même si le sujet est complexe.

Un grand merci d'avance à tous.

PS: répondez-moi sur le site, ou envoyez-moi un mail le plus rapidement possible.


En tant qu'ingénieur retraité, responsable des marchés de tuyauteries, je dispose d' informations techniques pertinentes sur les centrales de cogénération belges ( TGV = turbine gaz vapeur) êtes-vous intéressé?

[modifier] Le filon négligé de la cogénération

Le filon négligé de la cogénération

par Louis Rougnon-Glasson (ortograf-fr)

La cogénération devrait bénéficier d'un développement prioritaire parce qu'elle constitue par excellence le chauffage à faible production d'entropie, donc le plus économe en ressources consommées.


1°) Tous les chauffages traditionnels sont incompatibles avec une gestion rigoureuse des ressources énergétiques.

En effet, alors même que toute perte d'énergie est soigneusement évitée, ils fonctionnent tous avec une très grande dégradation d'énergie.

Cette dégradation d'énergie se produit lorsque la chaleur "basse température" de nos immeubles est obtenue soit à partir d'énergie électrique, soit à partir de la chaleur "haute température" de la flamme d'une chaudière.

En physique, cette dégradation d'énergie s'appelle une production d'entropie, et on sait la calculer.


2°) Une production d'entropie est équivalente à une consommation de ressources énergétiques.

Par exemple, pour apporter une même quantité de chaleur à un appartement, un radiateur électrique consomme trois à quatre fois plus d'énergie qu'une pompe à chaleur réelle, et trente à cinquante fois plus que la meilleure pompe à chaleur imaginable.

Une pompe à chaleur est un appareil de chauffage à faible production d'entropie, c'est pourquoi elle peut avoir un rendement très supérieur à 100%, contrairement aux radiateurs électriques. Ses échanges de chaleur, pour prélever la chaleur dans le milieu extérieur et pour fournir la chaleur à l'immeuble, se font avec de faibles écarts de températures.


3°) Cogénération: le système de chauffage le plus économique en ressources consommées.

Mais la cogénération est un chauffage à faible production d'entropie très supérieur à la pompe à chaleur parce qu'elle fait intervenir le minimum de transformations d'énergie et le minimum d'échanges de chaleur. La cogénération, c'est la production combinée de chaleur et d'électricité. Dans ce cas, les rejets thermiques des centrales ou des groupes électrogènes sont utilisés pour le chauffage des immeubles au lieu d'être rejetés dans la nature.

La moyenne cogénération est bien développée en Allemagne et dans les pays nordiques, où les centrales thermiques sont implantées dans les villes et alimentent des réseaux de chauffage urbain.


4°) Possibilité de valoriser les rejets thermiques des centrales

En France, notamment à cause de la diabolisation des centrales nucléaires, aucune détermination ne se dessine en faveur de la grande cogénération.

Or, les centrales nucléaires envoient dans la nature une quantité de chaleur deux fois plus importante que l'énergie électrique qu'elles produisent. Et, si on modifie leur conception pour que leur eau de refroidissement soit fournie à 80°C, pour le manque à produire d'un seul kilowattheure électrique, on pourra vendre 20 kilowattheures sous forme de chaleur.


5°) Produire du courant pour avoir des rejets thermiques

D'autre part, la petite cogénération devrait intéresser les écologistes, mais leurs préoccupations semblent être ailleurs.

Pour une maison particulière par exemple, elle consiste à produire du courant que l'on vend au réseau, et à récupérer pour les besoins du chauffage uniquement la chaleur rejetée par l'installation. Elle serait facile à mettre en oeuvre pour les chauffages au fioul ou au gaz, mais elle est appelée à se développer avec tous les types de combustibles.


6°) Economies de ressources et diminution de la pollution thermique

Si l'on opère ainsi, pour chaque kilowattheure électrique qu'un particulier produit à la place d'une centrale, il empêche cette centrale d'envoyer deux kilowattheures de chaleur dans la nature.

D'autre part, si une centrale nucléaire est modifiée pour fonctionner en cogénération, pour chaque kilowattheure électrique produit, elle fournira, pour le chauffage des immeubles et en plus par rapport à la situation actuelle, deux kilowattheures de chaleur, qui permettront d'économiser autant de ressources de combustible.

Le développement systématique de la cogénération permettrait de disposer d'autant de chaleur et d'autant d'électricité, tout en consommant deux fois moins de ressources énergétiques.

La chaleur basse température de nos lieux de séjour est une énergie de très faible valeur et qui peut donc être pratiquement gratuite quant aux ressources consommées.

Sur cette même question, voir également:

1°) les sites "Ecologie-par-cogénération", et "Entropie = gaspillage" , accessibles via: http://ortograf.fr

2°) la rubrique: "Physique: entropie", sur le site http://www.alfograf.net

[modifier] Pourquoi la cogénération est sous-développée en France

Pourquoi la cogénération est sous-développée en France

par ortograf-fr (Louis Rougnon Glasson)



Dans la cogénération, la chaleur des immeubles est un sous produit, pratiquement gratuit quant aux ressources consommées, de la production d’électricité.

Toute réflexion scientifique autour de la cogénération amène à la considérer comme un choix nécessaire et incontournable pour une bonne gestion des ressources énergétiques.

La petite cogénération aurait la faveur des écologistes, mais elle concurrencerait trop sérieusement l'électricité d'origine nucléaire.

Les décideurs ne font pas, non plus, le pari de la grande cogénération à partir des centrales nucléaires parce que leurs préoccupations sont dans la rentabilité immédiate et aussi parce que la diabolisation des centrales nucléaires constitue un handicap psychologique par rapport à un choix politique.

Pour ces raisons, le sujet est très fortement censuré en France. Alors que la moyenne cogénération est très répandue en Allemagne et dans les pays nordiques, une véritable chape de plomb couvre ce sujet, notamment dans la presse scientifique française.

La grandeur "entropie", qui met en évidence les gaspillages de ressources occasionnés par tous les chauffages traditionnels, est enseignée de manière quasiment odieuse.



1°) Grande cogénération

L’énergie envoyée sous forme de chaleur dans la nature par nos centrales nucléaires est deux fois plus importante que celle qu’elles envoient dans le réseau électrique.

La température des rejets thermiques est la plus basse possible, de manière à produire le maximum d’électricité possible. Elle avoisine 25°C pour la chaleur rejetée dans les rivières, et 35°C pour la chaleur rejetée dans l’atmosphère.

Si l’on décide de porter cette température à 80°C par exemple, de manière à pouvoir envoyer l’eau dans un réseau de chauffage urbain au lieu de chauffer l’air du temps, la baisse d’énergie électrique produite sera dérisoire.

Ceci montre l’intérêt de la "grande cogénération". Mais nos décideurs n’en font pas le pari.

L’investissement correspondant, pour une ville donnée, est important et devrait se faire dans un temps assez court. En plus du réseau urbain, il faudrait compter une double canalisation sur une cinquantaine de kilomètres entre la centrale et l’agglomération concernée. La diabolisation des centrales nucléaires rendrait cet investissement difficile.

Cet investissement aurait un effet stimulant sur l’économie, mais les décideurs préfèrent actuellement les spéculations ou la rentabilité à court terme plutôt que l’efficacité à long terme.



2°) Petite cogénération

La petite cogénération consisterait à remplacer les chaudières traditionnelles par des groupes électrogènes, de manière à envoyer dans le réseau électrique la fraction la plus grande possible de l’énergie produite dans les combustions. Et on se chauffe alors, là encore, avec les rejets thermiques obtenus.

Les choses étant ce qu’elles sont, la petite cogénération aurait le sérieux inconvénient de concurrencer lourdement l’énergie produite par nos centrales nucléaires.



3°) Black out et contre-exemple de la moyenne cogénération

On comprend alors pourquoi la cogénération a été "oubliée" au Grenelle de l’environnement.

La grande cogénération à partir des centrales nucléaires, et la petite cogénération à partir des chauffages d’immeubles ou de quartiers ne sont pas du tout à l’ordre du jour de la pensée unique.

Pourtant, la moyenne cogénération est très développée en Allemagne et dans les pays nordiques.



4°) Censure dans les milieux scientifiques

A défaut d’avoir l’opportunité, on pourrait au moins caresser les idées.

Tous les chauffages traditionnels sont incompatibles avec une gestion rigoureuse des ressources énergétiques, parce qu’ils se font avec une forte production d’entropie.

Une production d’entropie est une dégradation d’énergie.

On produit de l’entropie notamment lorsqu’on transforme de l’énergie électrique en chaleur, et également lorsque de la chaleur "haute température" produite par la flamme d’une chaudière, devient de la chaleur "basse température", celle qui sert à donner du confort à nos lieux de séjour.

Dans tous les documents de physique que l’on peut trouver, la présentation pédagogique de la grandeur entropie est toujours complètement floue. Voir par exemple l’article de Wikipédia sur la question.

Or, il est très facile de trouver une signification concrète à cette grandeur, et elle n’est pas piquée par les hannetons : une production d’entropie est toujours équivalente à une consommation de ressources énergétiques qui serviraient directement à chauffer l’air du temps.

Mais la nomenklatura préfère s’en tenir à sa présentation fumeuse.



5°) L’alternative pédagogique

Finalement, les médias scientifiques français étant complètement coincés sur ce sujet, il existe une astuce pour faire comprendre, au public le plus large, les gaspillages de ressources que représentent les productions d’entropie, mais sans parler d’entropie.

a) Une pompe à chaleur réelle fournit environ quatre joules de chaleur pour un seul joule d’énergie électrique consommée.

D’un point de vue pédagogique, son rendement de 400% montre que le rendement 100% d’un chauffage électrique est en fait extrêmement médiocre, alors qu’il donne par lui-même l’illusion de la perfection.

b) Il est facile d’imaginer qu’on puisse faire beaucoup mieux qu’une pompe à chaleur réelle, même si, concrètement, on n’a pas intérêt à le faire.

Une pompe à chaleur dans laquelle les frottements du fluide et du moteur électrique n’existeraient pas, où il n’y aurait pas d’effet Joule dans le moteur, où les échanges de chaleur pourraient se faire sans écart de température, serait une pompe à chaleur idéale, et on sait très bien calculer son rendement.

Par exemple, pour maintenir un appartement à 20°C alors que l’air extérieur est à 17°C, une pompe à chaleur idéale aurait un rendement très voisin de cent pour un, autrement dit 10000%.

Cette pompe à chaleur idéale est certes une vue théorique. Le chauffage qu’elle fournirait est un chauffage sans production d’entropie. Son rendement très supérieur à 100% constitue la nouvelle référence pour en déduire, par comparaison, quelles sont les performances d’un appareil de chauffage.

Si, dans les mêmes conditions, une pompe à chaleur réelle a un rendement de 400%, (ou de 4 pour 1) celui-ci est déjà 25 fois plus faible que celui de la pompe à chaleur idéale. La pompe à chaleur réelle fournit un chauffage où la production d’entropie est loin d'être minimisée.

Son rendement est tout de même très supérieur au rendement 100% d’un chauffage électrique, qui est un chauffage à forte production d’entropie.

Le chauffage qui minimise le mieux la production d’entropie est la cogénération.


Pour charger le présent document au format pdf sur deux pages A4, cliquez ici:

[1]


Une dizaine d’articles couvrant cette question peuvent être consultés sur le site ortograf-2008:

[2]


Voir également le site alfograf.net [3] à la rubrique "Energie; entropie"


Ortograf-fr Page 383 - 2008 - 03