Discuter:Benoît Domergue

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Bonjour

Indépendamment de ce qu'on pense de l'auteur, l'article doit être neutre, c'est à dire que tous les jugements (favorables comme défavorables) doivent être attribuées à des sources vérifiables et pertinentes. Je vais neutraliser un peu en attendant. bon courageHadrien (causer) 24 juillet 2007 à 18:07 (CEST)

Salut Metalheart. Je suis arrivé sur cette page tout à fait par hasard. C'est mieux, mais c'est encore trop limite si Hein ne parle pas directement de Domergue. Existe-t-il un article wikipedia qui traite de ces accusations ?Hadrien (causer) 24 juillet 2007 à 19:05 (CEST)

En fait Domergue sert d'exemple d'introduction au raisonnement. Voici le paragraphe dans sa totalité:

Pourtant, en prenant du recul, il s’avère que le clergé est loin d’être dupe. Dès 2000, soit 17 ans après le pamphlet du père Régimbal, le père B Domergue dans son ouvrage ‘’Culture barock et gothic flamboyant’’ souligne « les messages subliminaux dont étaient affectés un nombre substantiel de chansons de type « rock’n’roll » ou hard rock des années 1980 ont aujourd’hui en effet quasiment disparu et sont supplantés par d’innombrables affirmations clairement satanistes ». Une lucidité qui condit le père Domergue à fustiger les « logiques infernales » à l’œuvre dans le metal. Pour lui, « tous les jeunes qui ont un comportement gravement déréglé écoutent cette musique ». De même qu’il y voit la diffusion d’un satanisme culturel représentant un danger pour l’Eglise chrétienne. Il s’agit en effet d’une menace pour l’Eglise chrétienne. Mais le danger ne vient probablement pas tant du satanisme lui-même que de la perte d’influence qu’il fait subir au christianisme. Le sociologue Max Weber a bien souligné que les religions du livre cherchent invariablement à exercer leur domination sur les hommes Que des êtres humains se détournent du Christ pour s’attacher à des artistes glamour, voila qui semble véritablement ébranler l’Eglise. Le clergé voit effectivement d’un très mauvais œil que certains artistes rock puissent remplacer le Christ en termes de popularité. De toute manière, l’art a toujours été suspect pour l’éthique religieuse car il véhicule des émotions qui risquent de porter atteinte aux relations qu’un croyant peut entretenir avec Dieu. En réaction, le dénigrement systématique devient une stratégie offensive du clergé. L’équation est simple : l’amateur de rock est esclave de sa musique alors que l’adorateur du Christ est entièrement libre.

ok merci j'ai légèrement réécrit. bonne continuationHadrien (causer) 24 juillet 2007 à 19:51 (CEST)

Fabien Hein. Rock et religion. Dieu(x) et la musique du diable (pages 91 et 92)

Metalheart 24 juillet 2007 à 19:37 (CEST)