Baraka
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Baraka qui dérive d'un terme d'origine arabe signifie chance. Il dérive de l'arabe بركة qui signifie sagesse ou bénédiction envoyée par Allah. Baraka peut faire référence à :
[modifier] Toponymie
- Baraka (RDC), un village du Sud-Kivou près du lac Tanganyika.
- Baraka (Gabon), une mission américaine établie en 1842 à l'emplacement actuelle de Libreville
- Baraka (Philippines), une ville de la province de Bulacan
- "Baraka", le surnom local de Barakaldo en Espagne
- Baraka College, un établissement scolaire au Kenya
[modifier] Patronyme
- Le pseudonyme d'un auteur américain, Amiri Baraka
- Amiri Baraka (1934 - ), un écrivain américain
- Baraka Khan (? - 1280), Sultan mammelouk d'egypte et de Syrie
- Baraka, la femme du patriarche ancestral Jared, selon le livre apocryphe des Jubilés
- Mersaid Baraka, un personnage politique de Timur
- Plusieurs noms peuvent dériver de Baraka, par exemple comme Mohammed Hosni Moubarak, Ali Pacha Moubarack, Youakim Moubarac ou Barack Obama
- Sergent Baraka, le surnom du soldat hollandais Wim Vaal qui était à Légion étrangère francaise de 1955 à 1960.
[modifier] Arts et cultures
- Baraka, un film de 1992
- La Baraka, un film de 1982
- Baraka, un personnage de l'univers Mortal Kombat
- Paul Baraka [1], compositeur et producteur montréalais, auteur de musiques de films et de nombreux documentaires, séries télés et thèmes musicaux, créateur du générique de la série "Bob Morane".
Connu pour son travail dans des séries d’animation et des documentaires comme ceux sur Louis Garneau, Alain Choquette ou Le Chemin de Compostelle (avec Marcel Leboeuf), c’est également sa musique que l’on a pu entendre dans des campagnes publicitaires au Québec (SAQ, Germain Larivière, Musique Plus).
Paul Baraka a aussi collaboré à des albums d’artistes, notamment [Mario Pelchat][2], dont il signe la majeure partie des arrangements et de la réalisation.
L'inventivité, la créativité et le talent protéiforme de Paul Baraka ont été récompensés à de nombreuses reprises : la musique de la série animée Bob Morane lui a valu notamment une nomination aux Prix Gémeaux en 1999, puis une autre aux Prix Gemini l’année suivante.
L'univers de Paul Baraka échappe à toute définition réductrice : artiste mystique, adepte du beat électro-industriel, « symphoniste » passionné de musique chorale, fils spirituel de Vangelis, Han Zimmer, Verdi et Carl Orff… Autant de formules qui rendent compte d’un talent multiple, entre chant choral revisité et atmosphère industrielle des grandes villes et de la modernité technologique.
