Utilisateur:Alceste/Hegel L'esptit Objectif

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Sommaire

[modifier] AVERTISSEMENT INTRODUCTIF

Hegel est un auteur dont la compréhension est fortement problématique : tout et son contraire est dit sur lui au point que si, contrairement à Wittgenstein ou à Platon, ou à Schelling, on ne distingue pas un Premier Hegel et un deuxième Hegel en fonction de la progression de sa pensée, on peut distinguer des Hegel concomitament opposés en fonction de l'interprétation qui en est faite. Si la difficulté provient certainement en partie de la complexité du système Heglien considéré comme la construction systématique la plus aboutie de l'idéalisme Allemand, cette difficulté est aussi à mettre au compte d'une pensée offerte sous la forme d'un vocabulaire technique propre et d'un oeuvre systématique réduite à un d'enchainement de paragraphes qui sont eux-même le condensé (le nectar ?), en termes systématiques, de sa pensée, ce qui en rend le sens difficilement pénétrable, pour ne pas dire impénétrable, en l'absence de sources extérieur à l'exposé systématique ; le problème est accentu par le fait que ces sources extérieurs sont elle-même problématiques soit par leur difficulté inhérente qui exigent qu'elles soient elle-même éclairices (la Phénoménologie de l'Esprit est un des ouvrages les plus difficils de la philosophie), soit dans leur prétention non-systématique (remarques faites par Hegel dans l'encylopédie)[1] soit dans leur fidélité à la pensée de Hegel (les additions à l'encyclopédie et les notes de cours de ses étudiants : des ouvrages attribués Hegel l' Esthétiques, le Raison dans l'Histoire sont des ouvrages composés à partir de notes d'étudiants)....

[modifier] Compréhension du vocabulaire hégélien

Les notions hégéliennes telles que traduites en français ne sont pas intuitive : une lecture commencée par le mauvais angle entraîne immédiatement au contre sens.

[modifier] Problématique de Hegel

[modifier] La relation entre la Réalité et l'Esprit : l'idéalisme hégelien

Hegel est kantien pour la partie relative à la théorie de la connaissance des lois de la nature : l'homme ne peut connaître que à partir de l'expérience, du réel. La diversgeance intervient lorsque Kant pose l'esprit comme se voyant doté de facultés a priori contingentes (les catégories de l'entendement). De plus le criticisme kantien consiste à poser des bornes à l'activité pure de l'esprit, le discours spéculatif. Pour Hegel l'esprit de fait lui-même de façon nécessaire et s'accomplit dans le monde. Alors que Kant insiste sur une sphère transcendante, celle qui ne peut faire l'objet d'un raisonnement spéculatif car ne pouvant être objet d'expérience, pour Hegel la question n'est pas l'existence de cette sphère qui limite l'esprit, mais la détemination du contenu de l'esprit, lequel par le discours spéculatifs, qui est l'activité la plus haute de l'esprit dans la Philosophie, a un contenu autonome qui alimente l'évolution même de son contnu et qui embrasse la totalité. Là où Kant veut montrer une limite à la connaissance du réel par l'esprit, l'inaccessible chose en-soi, montrer la "finitude" de l'esprit, Hegel insiste sur le fait que l'esprit est une force infini, qui embrasse la Totalité. L'encyclopédie des sciences de Hegel se veut être de part en part la preuve de la Totalité de l'esprit.

[modifier] La relation entre l'Esrpit et la Vérité

L'Esprit est vrai en tant qu'il s'est accomplit. Cet accomplissent est évalué au regard du concpte d'esprit, et ce concept est déterminé par la philsophe au ragard de ce qu'est actuellement l'Esprit : c'est complètement tautologique, et cela n'a aucun sens si l'on n'a pas en tête le principe fondamental de Hegel d'près lequel on ne peut connnaître qe ce qui est achevé (cf. thème de la fin de l'art dans l'art romantique, de la fin de l'histoire dans l'etat moderne, dans la fin de la phislophie dans la philosophie hégélienne ;) ).

[modifier] La Vérité et la Fin

Par où faut-il commencer ? Par la fin qu'est le présent ! Il faut partir de ce qui est (de Hegel lui-même). Hegel illustre cette idée dans cette célèbre phrase :

« die Eule der Minerva beginnt erst mit der einbrechenden Dämmerung ihren Flug. » « La chouette de Minerve ne prend son envole qu'à l'irruption du crépuscule. »[2]

La chouette de Minerve est l'esprit, la sagesse, qui s'épanouit dans un monde qu'il peut parcourir, le crépuscule est la fin du jour, l'avènment d'une période repos, le monde peut être o donnne et peut ainsi être apprhéendé par l'esprit. (témoigne que le crépuscule, la fin ne signifie pas la mort, mais un achèvement)

C'est une idée fondamentale pour Hegel que la philsophie arrive après : « chacun est le fils de son temps ». Tout comme les hommes, les peuples et les art, le philsophe ne peut prétendre perler d'autre chose que ce qui est universellement vrai, et ce qui est ainsi est le présent et la force qui l'a amené à être. Penser l'idéal, rêver un monde meilleur pour Hegel est une abération car c'est rentrer dans des conjecture qui ne pouvant prétendre à la vérité, et n'est alors qu'un opinions qui ne relèvent pas de la philophie.

Cela peut paraître évident, mais là où dans d'autres philospohie c'est une considérations de fait servant d'appui à des développement portant sur, cette approche avec Hegel est intégrée dans la pensée elle-même : toute l'encyclopédie consiste à revenir à cette fin que Hegel, comme tout homme, connait, l'exotisme des concpets hégéliens, et la hiérarchisation hégélienne tient en ce que les concepts et les moments sont défénis en considération et dans l'optique de cette fin.

[modifier] La vérité de l'Esprit : l'assise ontologique de la philosophie Hégélienne

Là où Descartes posait le cogito « je pense donc je suis », Hegel rajouterait « je pense donc je suis nécessaire et universel ». L'espit est possédé par Hegel, comme par tout homme, et dans cet aspec final et présent de posssession l'Esprit, autrement dit ce donné, se présente comme faculté autonome, se donnant son contenu en modelant le monde à ce qu'il est (comparaison intéressante à faire avec Kant : la faculté de juger réflechissante : la faculté de juger doit poser un postulat à son propre exercice pour préntendre pouvoir juger le monde : ce portulat est que le monde se donne de telle sorte qu'elle (la faculté de juger) peut le juger : c'est tautologique, mais nécessaire : car si l'on refuse ce postulat, ou plus précisément cette "condition de possibilité", tout jugement est absurde [c'est une présentation simplifiée de la thèse : pour des développement : Kant ]) et prend son contenu comme une matière pour faire un nouveau contenu. Cette autonomie n'est autre que la manifestation de la liberté de l'Esprit qui se fait par lui-même tel (car n'est pas libre ce qui dépend d'autre chose) et se sait "aujourd'hui" tel (car n'est pas libre celui qui ne se sait pas tel), et sait que cette liberté est attachée à lui (car rien d'autre ne se fait par soi et pour soi que l'esprit). Partant de cette fin, l'analyse du donné logique, naturel, spirituel (brefr le système hégélien) permet de voir ainsi à rebours la force interne qui fait que l'esprit est devenu libre et qui amène à poser cette liberté infini comme le concept de l'esprit ; la vérité de l'esprit consiste donc à ce que l'Esprit se réalise, s' effectue conformément à ce concept. (c'est tautologique mais n'est que la conclusion logique du postulat de départ : le philosophe ne peut parler que de ce qui est achevé, car le monde et les hommes ne peuvent être autrement qu'il ne sont au jour où ils sont, le futur reposant sur ce qui ne dépend pas de l'esprit n'est en effet imprévisible, et dire pour un philosophe ce que doit être l'avenir n'est alors que pure conjecture et opinion sans valeur scientifique : si nous pouvions faire nécessaire l'avnir que nous voulons, nous y serions déjà)


Dans cette au-effectuation (qui se fait lui-même), l'Esprit s'appuit sur le concrèt : il n'


Cette propriété de se faire par lui-même à pour conséquence que ce qui devient pour et par l'esprit est nécessaire : cette nécessité doit s'entendre comme

car si cela n'avait été le cas, l'esprit aurait fait, de par sa liberté, autre chose.

autonomie l'Esprit est libre et se sait libre. Partir de cette liberté, qui se réalise par l'activité de la raison

[modifier] La relation entre la Vérité et la Scientiicité

[modifier] La relation entre La Scientiicité et la Philosophie

[modifier] Philosophie

[modifier] Qu'est-ce que l'Esprit

Ainsi l'art comme l'histoire doivent être parvenu à leur fin pour que l'on puisse philsophiquement en dire quelques chose. Le fin n'est pas la mort, mais le terme du développement : la fin de l'histoire c'est l'avènement de la Liberté par la prise de conscience dans l'Etat moderne que la liberté réside dans l'esprit lui-même, et que l'homme étant esprit l'homme est libre en tant qu'homme ; la fin de l'art est le fait que l'art ait atteint une dématérialisation telle que la dématérialisation suivante est la dématérialisation totale de l'art dans concept lui-même (d'où le fait que l'esprit dépasse l'art en se plongeant dans la religion). Ces fins sont elle-même hiérarchisés en fonction de ce qui est le plus infini

Un point important : La progression dialectique est une hiérarchisation. Le critère de cette évaluation est le degrés de Totalité : c'est la fameuse idée selon laquelle le troisième moment est "la négation de la négation" en ce que le deuxième moment était la négation du premier : "négation de la négation" insiste sur la considération de la négation dans la reconsidération de ce qui avait été nié, et fait fait du troisième moment, du troisième terme, qu'il n'est pas identique au premier. Un exemple extrait du droit abstrait : le premier moment est la propriété quipour hegel est précaire car elle sonsite en un acte unilatral d'entrée en possession : il est l'afiration d'un soi sans considération de l'altérité ; ce moment defaille en ce que l'homme n'est pas seul et est donc confronté à d'autres hommes qui peuvent prétendre à s'appropré l'objet de mon appropriation. Emerge de cette insuffisance le besoin de la considération de l'autre, le moment extérieur, qu'est le contrat. Par le contrat l'autre reconait ma propriété. Mais le problème du contrat est qu'il n'oblige que le co-contractant, si donc la propriété est ici prise en considérationsous l'angle de l'altérité, la dimension logique de la propriété à savoir assoir une prétetion contre tous échoue car pour parvenir à ceci avec le contrat il faudrait faire un contrat avec tous ce qui n'est matériellement pas possibl etdonc voué à l'échec : on passe d'un extrême à l'autre (d'un moment, à sa négation), il faut donc revenir à l'essence de la propriété, un acte d'appropriation, mais qui puisse être opposbla à tous : c'est l'objet du troisième moment : le déni du droit, dans lequel l'intervention du juge, par le jugement, universalisa la propriété : car son jugement est opposbale à tous : le troisième moment intègre la propriété dans sa prétention possessoire, et intègre l'extériorité dans sa dimension contestatrice, pour les unifier, en les dépassant, dans le jugement reconaissant la propriété le jugement est en cela un totalité . Le contrat est supérieur à la propriété car il est une réaction à la propriété, il en est le moment négatif, passage de l'un purement abstrait (car la propriété de l'un tombe par l'appropriation faite par un autre), l'extériorité ; le jugement est supérieur aux deux autres moments car il les intègre et se suffit à lui-même : le jugement est rendu par le juge et suffit qu'il soit dit par le juge pour être universel (la propriété tombe devant l'autre, et le contrat dépend de l'a volonté de l'autre).......



un deuxième moment inclu le précédents en le niant, le troisième moment inclu les deux autres moment doit être comprise dans son sens essentiel : qui s'auto-détermine. l'histoire


L'éthicité est plus élevé que le droit et que loralité : car le droit abstrait consiste pour l'esprit à

la Philosophie comme troisième moment de l'esprit absolu st plus libre que l'art et la religion, car


dialectique hégelienne porte sur décrit la progression de l'esprit lui-même,

qui fait que l'esprit conscient de sa propre liberté se réoriente vers la connaissance de soi-même, passe de l'inscription de soi-même dans le monde (esprit objectif) à la de soi-même pou lui-même ,


En effet une dimensin fondamentale de la pensée de Hegel : on ne peut parler philosophiquement que de ce qui est parvenu à sa fin : ainsi Hegel parle-t-il de l'Art que le développement de l'Art


l'idée peut être rapprochée de celle d'Aristote : le premier par Nature est le Dernier pour nous :

  • Aufhebung
  • Le Concept (Begriff) : c'est la force immanente d'une chose qui la pousse à être. Le concept de Hegel n'est pasl'équivalent pour nous de "notion". Le concept à ceci de paticulier qu'il est précisément ce que la philosophie, le discours spéclatif, doit mettre au jour, doit tirer de l'être-là (ce qui est donné à nos sens sens et soumis à notre entendement) , des faits, en cherchant ce qui au sein d'elle et d'eux, au sein de leur évolution, fait qu' est elle : le concept est cette force
  • Dialectique : notion fondamentale chez Hegel, dont le mouvement bien que complexe dans sa mise en oeuvre, est assez simple dans sa compréhension. Dialectique désigne un type de progression, d'évolution qui fait passer en quelque sorte d'un état à un autre, d'une situation à une autre, en terme hégélien : d'un moment à un autre, et selon une logique qui comprends différents élément :
    • Le type caractéristique de cette évolution est le négatif : on par d'une situation. Celle-ci comme point de départ est imparfaite. Elle va donc contenir en elle un élément, un dimension qui va l'amener à être inssufisante et donc à appeler d'être dépassée par une autre situation : par exemple (non hégélien) : je connais des , mais posséder des groupes nominaux n'est pas satisfaisant, je vais donc devoir apprendre des pour pouvoir utiliser le vocabulaire (cet exemple pose le problème que le vocabulaire est insufisant si on veut faire un phrase, et pose donc le problème de la légimité de postuler que je veuille faire une phrase : ce point est normal pour Hegel nous y reviendrons ensuite). Par un même mouvement négatif le deuxième moment appellera de lui-même.
    • cette progression de surcroît à la spécificité d'être une évolution "criculaire" : l'idée est que la progression par d'un point (1er moment) pour en sortir (2ème moment) pour enfin y revenir mais en ayant intégré l'acquis du 2ème moment, si bien que le retour n'est pas précisément un retour au point de départ, mais une reconsidération du premier moment
    • Cette progression n'est pas temporelle mais conceptuelle : les différents moment d'un niveau sont dans une relation d'implication conceptuel, de condition à conditionné : ainsi dans l' Esprit absolu, la religion n'intervient pas pas temporellement après l'art romantique, mais conceptuellement : on ne peut penser ce qu'est la religion dans son abstraction si l'on ne pense pas le concept d'abstraction premeri qu'est l'art.


  • L'Infini : l'infini n'est pas une notion quantitative chez Hegel (comme lrsque l'on parle de l'infinité du temps, ou d'un espace infini), mais qualitative, et peut se comprendre comme "ce qui dépend de soi". Le fini est ce qui est précaire car dépend (dans tous les sens du terme) d'autre chose : il repose sur autre, il est tourné vers autre chose... A ce titre l'infini ne se trouve que dans le troiième moment dialectique : le retour à soit : c'est à ire qui se connait comme autre Cela peut paraître curieux mais il y a différents type d'infini :

Finitude = la précatié : est fini ce qui dépend d'autre chose et peut donc

  • Le vrai, la vérité d'une chose : n'est pas la définition traditionnelle de l'adéquation du concept à la chose, de la pensée à la réalité. Hegel défini la vérité comme l'accord du concept (au sens hégélien) avec son effectivité

[modifier] Les textes relatifs à l'Esprit Objectif

L'Esprit objectif est le moment encyclopédique de ce qu'il est coutûme d'appeller la Philosophie Politique de Hegel. Ce moment est approfondi par Hegel dans son ouvrage systématique intitulé Principes de la Philosophie du Droit, ou encore Droit Naturel,d publié en 1820. Il s'agit tout comme de l'encycloépdie d'une succession de paragraphes organisés dans un plan plus détaillé que dans l'encyclopédie. La construction formelle détaillée du droit objectif est ainsi la suivante.



[modifier] Qu'est-ce que l'Esprit objectif

C'est le deuxième moment de la "Philosophie de l'Esprit". En tant que moment de la philosphie de l'esprit, l'espit objectif est une analyse philosphique par l'esprit de sa propre manifestation (dans la logique l'esprit analyse les outils logiques donc ils dispose, dans la Philosophie de l' Nature, il analyse le monde qui lui fait face). En tant que deuxième moment de la Philosophie de l'Esprit, l' Esprit objectif est le moment de

[modifier] Le droit abstrait

[modifier] La propriété

[modifier] la possession

[modifier] l'usage de la chose

[modifier] l'altération de la propriété

[modifier] Le contrat

[modifier] Le déni du droit

[modifier] Le déni du droit sans parti pris

[modifier] la fraude

[modifier] la contrainte et le crime

[modifier] La moralité

[modifier] Le propos et la responsabilité morale

[modifier] L'intention et le bien être

[modifier] Le Bien et la consience morale

[modifier] L'éthicité

[modifier] La Famille

[modifier] Les Grands thèmes

[modifier] Le Rationnel, le Réel et l'Effectif

Dans sa préface aux principes de la philosophie du Droit Hegel écrit :


« Was vernünftig ist, das ist wirklich; und was wirklich ist, das ist vernünftig. »

« Ce qui est rationnel est réel et ce qui est réel est rationnel »[3], ou encore « ce qui est rationnel est effectif et ce qui est effectif est raionnel »[4]

Cette phrase a fait l'objet de nombreux commentaire à son origine, et semble être encore mal comprsie. Les différentes interprétation sont : - une théodicé : le rationnel renverrait à une justification de la réalité et du mal règnant par la volonté divine qui choisirait entre les mondes possible celui dans lequel il y a les moindre mal et maximum de bonheur et qu'ainsi « notre monde est le meilleur des mondes possibles ». De cette interprétation ressortirait que le mal est un mal avec lequel il faut composé, et qui participe du Bien. - le rationnel serait l'intelligible, et l'intelligible déterminerait tout ce qui est réel. De cette interprétation ressortirait que Hegel que l'Espit Absolu serait un Esprit tout puissant sur le Monde allant à le déterminer.


Hegel revient sur cette phrase dans le §6 du premier volume de son encyclopédie, La science de la Logique. Il revient le mot effectif en ces termes :

« L'être-là est pour une part apparition et seulement pour une part effectivité. [Certes] Dans la vie courrante on vient à appeler tout ce dont on a incidemment l'idée, l'erreur, le mal et ce qui appartient à ce côté des choses, ainsi que tout existence, quelque rebougrie et passagère qu'elle soit, de façon contingente, une effectivité [, mais ]même déjà pour une sensibilité ordinaire une existence contingente ne va pas mériter le nom emphatique de quelque chse d'effectif. »[5]


L'effectif se présente donc comme une réalité particulière : ce n'est pas tout le réel, mais seulement une partie. Emerge alors que la problématique de la phras n'est pas celle qui lui était attribuée à la première lecture : Hegel ne parle que d'une certaine réalité... celle ci il l'explicite par la suite dans la Remarque du §144 de la 3ème édition  :

« Effectivité et neccessité [ne sont pas] qu'une manière d'être pour un Autre [une condition], elles sont bien plutôt directement le contraire, elles sont posées comme le concret qui n'est pas seulement posé, mais qui est achevé en lui-même ».

Précision du §144


« L'effectif est un contingent, et inversement la possibilité est la simple contingence » [6]


L'effectivité n'est pas tout ce qui est, c'est ce qui, parmis ce qui est, se présente comme achevé, c'est-à-dire comme une totalité ; laquelle, comme contingent, n'est donc pas advenu selon un choix divin, ni par l'intelligible.

Quant au rationnel Hegel précise dans la Remarque du §6 :

« A l'effectivité du rationnels'opposent déjà aussi bien la représentation selon laquelle les idées, les idées ne seraient rien de plus que des chimères, et la philsopie un système de teos fantôme, que celle selon laquelle inversement les idées et les idéeaux seraient quelque chose de beaucoup trop excellent pour avoir une effectivité, ou aussibien quelque chose de trop impuissant pour s'en créer une. [...] Qui ne serait pasassez avisé pour voir dans ce qui l'entoure beaucoup de choses qui en fait ne son pas comme elles doivent être ? Mais cette sagesse avisée a tort de s'imagine qi'avec de tels ob-jets et leur devoir-être elle se trouve à l'intérieur de la science philosophique. Celle-ci a seulement affaire à l'Idée, qui n'est pas assez impuissante pour devoir-être seulement et ne pas être effective, et par là à une effectivité où ces ob-jets, structures, états de choses, etc., ne sont que le côté extérieur superficiel. »

L'efectif est rationnel signifie donc que « ce qui est achevé, accomplit, total, contient l'idée » Le rationnel est effectif : « L'idée est telle qu'elle se donne comme achevé ». La critique de fond de fond peut tient dans cette phrase toujours de la remarque du §6 :

« La séparation de l'efectivité d'avec l'idée est particulièrement en faveur dans l'entendement, qui tient les songes de ses abstractions pour quelque chose de véritable et tire vanité du devoir-être u'il aime à prescrire aussi et surtout dans le champ de la politique, comme si le monde l'avait attendu pour apprendre comment il doit être mais n'est pas ».

Cette phrase est la simple reprise de la démarche heglienne : à savoir la science philsophie porte sur ce qui est effectif (l'idée réalisée), et qu'elle ne peut récéler de l'effectif que l'idée. Cette idée de surcroît se réalise dans le mouvement dialectique qui exclu de voir dans cette phrase un acceptation du mal, car le mal chez hegel est assimilé au défaillant et dont à ce qui contient la source de sa propre déchéance et du passage au moment dialectique suivant : la propriété échoue dans ce qu'elle est car elle ne supporte pas l'opposition, c'est une réalité, mais non une effectivité car elle n'est qu'un moment passager ; ce qui est effectif c'est le non droit et la sanction du juge, et cette efctivité ne peut être apréhendé, pour être apréhendée de l'intérieur, que dns son mouvemnt dialectique. L'idée s'effectue d'elle même, et le mal qui est est sera éliminé de par le simple mouvement dialectique, rationnel, de l'effectuation de l'idée dans l'effectivité.

[modifier] Le Bien et le Mal

[modifier] La dialectique du maître et de l'esclave

[modifier] La raison dans l'histoire

[modifier] La hiérarchisation des peuples