Adolphe Biarent

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Adolphe Biarent (1871-1916), né à Frasnes-lez-Gosselies (Les Bons Villers), est un compositeur belge.

Il est élève au conservatoire de Bruxelles et de Gand. Un Prix de Rome (belge) obtenu en 1901 lui permet de découvrir l’Italie et surtout l’Autriche et l’Allemagne, sur les traces de ses maîtres préférés, Beethoven et Wagner.

De retour en Belgique, il mettra toutes son énergie pour doter Charleroi d’une vie musicale de qualité[1]. Son œuvre, qui doit beaucoup à Franck et Wagner, salue discrètement celle de ses contemporains allemands et autrichiens.

Sommaire

[modifier] Œuvres

[modifier] Musique d'orchestre

  • Fingal, ouverture 1894
  • Impressions du soir 1897
  • Œdipe à Colone, cantate pour soli, chœurs et orchestre 1901
  • Trenmor, poème symphonique 1905
  • Symphonie en ré mineur 1908
  • Sonnet pour violon et orchestre : Le Réveil d'un Dieu (d'après José-Maria de Heredia) 1909
  • Sonnet pour violoncelle et orchestre : Floridum Mare, d'après José-Maria de Heredia 1910
  • La Légende de l'amour et de la mort 1910
  • Marche triomphale 1910
  • Trois mélodies pour chant et orchestre 1911 :
    • Au long de la Sambre
    • Coin de terre
    • La Fête au bois
  • Poème héroïque, d'après Hjalmar de Leconte de Lisle 1911
  • Contes d'Orient, suite symphonique 1911
  • Rhapsodie wallonne, pour piano et orchestre 1911

[modifier] Musique de chambre

  • Sonnet, pour piano 1904
  • Sérénade, pour piano 1904
  • Esquisses, trois puèces pour piano
  • Nocturne, pour piano 1905
  • Feuille d'Album et Nocturne pour piano 1905
  • Nocturne, pour chant, harmonium, piano, harpe et cor 1905
  • Quintette, en ré mineur, pour piano et cordes 1912
  • Douze préludes Moyen-Age, pour piano 1913
  • Sonate, pour violoncelle et piano 1914
  • Huit mélodies, pour mezzo-soprano et piano

[modifier] Notes

  1. Lire en ligne
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