Discuter:35 heures

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Sommaire

[modifier] Introduction très polémique

Elle aurait créé seulement 50 000 emplois entre 1998 et 2002, pour un coût très élevé pour les finances publiques[1].

Cette phrase me semble non neutre. D'après mes lectures récentes, il n'y a pas consensus sur le nombre d'emplois créés pas la mesure, cela va de 400.000 créations à 100.000 destructions. Je ne sais pas quelle valeur est la plus réaliste, mais de toute façon, la référence proposée n'est qu'une présentation powerpoint d'un opposant aux 35 heures. Il serait bon de creuser un peu, ou simplement de renvoyer vers d'autres pages mieux renseignées sur Wikipedia comme Sophisme d'une masse fixe de travail ou Réduction du temps de travail

Mf9000 31 octobre 2007 à 14:27 (CET)

Tout le paragraphe me semble non neutre. Le concept des 35 heures ne pourrait-il pas être intéressant, même si son application a, selon l'article, laissé à désirer ? (voir Pierre Larrouturou)

[modifier] Recomposition

on devrait pouvoir ordonner les arguments dans quelques cases telles que:

origine historique
intentions de la réduction du...
résultats initialement espérés
effets pervers décomposés en
soit de simples difficultés et obstacles pour atteindre le résultat (loi de Murphy)
soit un résultat complétement contreproductif et désastreux, opposé à celui recherché (effet boomerang)

Un effet pervers est un résultat non désiré et fâcheux d'une action qui se retourne contre les intentions de ceux qui l'ont engagée, selon la formule « l'enfer est pavé de bonnes intentions ». Il peut se traduire par :

soit de simples difficultés et obstacles pour atteindre le résultat (loi de Murphy) soit un résultat complétement contreproductif et désastreux, opposé à celui recherché (effet boomerang) Ces résultats « contreproductifs », ces « dommages collatéraux », « effets secondaires » et « conséquences non désirées », sont nombreux,

tant dans la vie courante, que dans les domaines concernant la société : politique, économique, du managérial, social, juridique, militaire, culturel, etc.


Vas-y modifie joyeusement cette version de travail qui est fait pour ça. Il en ressortira forcément quelque chose. --Powermonger·(kongossa) 25 janvier 2006 à 17:55 (CET)


Un effet pervers est un effet non désiré, positif ou négatif.

[modifier] je pense que l'approche n'est pas la bonne

Cet article ne devrai pas parler uniquement des 35 heures franco-française, mais de l'historique du temps de travail à travers les siècels passés, les conséquences sociales de la réduction, etc ... Je préférais la version précédente. HDDTZUZDSQ 25 janvier 2006 à 21:53 (CET)

Je dirai plutôt que cet article ne porte pas le bon titre, il devrait s'appeler Réduction du temps de travail (France) ou Loi Aubry ou etc. --ArséniureDeGallium 27 janvier 2006 à 18:30 (CET)

[modifier] Renommage

Je pense qu'à terme, il faudra renommer l'article Réduction du temps de travail (Lois Aubry) car il est franco-centré et le sera toujours vu la base de départ. --Powermonger·(kongossa) 26 janvier 2006 à 15:49 (CET)

oui je suis de cet avis, ou bien Réduction du temps de travail (En 2000 en France), car je pense que pour l'instant il n'y a pas de contributeurs qui dominent le sujet général Réduction du temps de travail sur le globe au cours des sièclesChracothensalgorithm 26 janvier 2006 à 17:26 (CET)
Le terme de 35 heures est devenu historique (en France, mais aussi en Allemagne) , ancré dans les esprits (par le retentissement médiatique , en Europe entre autre ). Laissons ce terme en titre , mais il y a besoin d'une redirection de Loi Aubry . La réduction du temps de travail doit être un article généraliste effectivement sur le monde , même si pour l'instant , il n'y a personne pour y contribuer . Cela viendra avec nos syndicalistes et nos universitaires . La RDTT ( France ) doit être aussi un article relatant l'histoire en France ,plus étendu que les 35 h . Il faudrait donc peut-être scinder l'article existant pour laisser la place aux autres pays .--Michka B 15 mars 2006 à 09:32 (CET)

[modifier] Guerre et paix

On arrive au format guerre et paix sur cet article ! Qui voudra résumer ? --Powermonger·(kongossa) 26 janvier 2006 à 18:22 (CET)

[modifier] 7 ou 8 pages

y a pas le feu , on n'en est qu'à 7 ou 8 pages. Sur un sujet aussi polémiquement délicat, le simplisme n'est probablement recommandé. Une question de détail, je ne sais pas pourquoi certains contributeurs mettent autant en exergue la CFDT dans cette réforme législative??? je vais pondérer la chose en rappelant la position précise de cette confédération. Y a-t-il d'autres contributeurs neutres qui pourraient compléter neutrement avec les positions (en 1997-2000) des CNPF, CGT, FO, CGC/CFE etc? Pendant que j'y suis je trouve qu'un des bons moyens de dé-polémiquer l'article est de rappeler qu'il n'ya pas que la dichotomie gauche/droite mais aussi la dichotomie réformistes(de d et de g)/interventionnistes(de d et de g) ce qui donne deja sans se fatiguer 4 catégories d'acteurs et d'opinions à nuancer. Merci d'avance. Michelbailly 26 janvier 2006 à 21:26 (CET)

Enfin, les lois Aubry étaient quand même pour faire plaisir à la CFDT et la ramener dans le giron de la gauche. Les autres syndicats préféraient des augmentations de salaire. C'est typiquement une réforme pensée par la CFDT et largement mise en oeuvre par elle, la CGT ayant perdu son stylo (toujours pas retrouvé). --Powermonger·(kongossa) 27 janvier 2006 à 08:14 (CET)
Les lois Aubry résultaient d'une demande sociale (c'était clairement dans le programme de Jospin). L'ensemble des syndicats de salariés y ont adhéré (la preuve c'est la manifestation unitaire des grandes confédérations pour la défense des 35heures en 2003 au moment de la suppression par F.Fillon, par l'allongement considérable du contingent d'heures supplémentaires). Par ailleurs dire que les syndicats auraient préféré des augmentations de salaire; c'est ne pas avoir compris l'idée de départ : 35h payées 39, cela fait augmenter automatiquement le salaire horaire.D'autre part, le gouvernement Jospin attendait 700 000 emplois. Signalons qu'en 2002 seul la moitié de la population active était passée aux 35heures, dans la fonction publique et dans les entreprises où la négociation salariale était possible. Il est par ailleurs nécessaire de distinger les deux lois Aubry qui n'ont pas eu le même impact. Enfin, mettre la CFDT à gauche c'est plutot curieux mais ça aussi c'est très polémique donc il ne faut pas s'engager dans cette voie là.194.206.60.3 27 janvier 2006 à 08:24 (CET)
Je me souviens qu'à l'époque, Blondel disait que les salariés préféraient toucher plus que travailler moins ! Que la CGT est manifesté contre, c'est normal. Dans notre pays, le bloc réactionnaire de gauche est contre. Contre les emplois-jeunes, contre leur suppression et contre leur re-création. Pour les 35 heures même chose. En 2002, seules les entreprises de + de 20 sont passé et les fonctionnaires, accord ou pas accord. La CFDT sous Notat était au centre-gauche et commençait à dériver vers le centrisme bon teint comme de nos jours. L'un des buts était de ramener au bercail la "cheville ouvrière" du PS en appliquant ses propositions. --Powermonger·(kongossa) 27 janvier 2006 à 08:38 (CET)
Tiens, moi je te réponds par des arguments sientifiques.*de quoi se documenter

La CFDT a perdu 60 000 adhérents depuis qu'elle s'est rapprochée du centre droit. Renseigne toi. Et arrete un peu avec les réactionnaires de gauche. Ouvre un dico et regarde ce que veut dire réactionnaire : ceux qui veulent un retour en arrière, c'est à dire ici revenir sur la situation du début du dix neuvième siècle. J'exagère à peine: les récentes réformes, comme la loi de mai 2004, laisse plus de place à la négociation qu'à la loi et élargit les possibilités de dérogation par rapport à l'ordre public social.62.39.126.3 27 janvier 2006 à 08:57 (CET)

Justement, lorsque à la fin des années 90 on en revient au programme commun de 1973, c'est de la réaction. Il n'y a qu'en France que la loi régit aussi durement le travail. Le fait de revenir au contrat social n'est pas un bond en avant ou un retour en arrière, simplement un changement de méthode comme l'ont fait la quasi totalité des pays du monde (eh oui, il existe d'autres pays que la France, si, si...). La CFDT est plutôt centriste qu'au centre droit. Mais auparavant, elle était le "syndicat du PS" commr la CGT et FO était les toutous du PCF (ne parlons pas des autres syndicats, qui ne représente que leur président, sa voisine, sa mère et deux cousins). La redistribution s'est faite après des 35 heures où la CFDT à compris qu'être proche du PS ne la menerai à rien, puisque la droite avait choisi FO comme interlocuteur. D'où un tournant, où elle abandonne la politique, au profit d'un profil "rhénan" avec des adhérents à l'image de la société française (travailleur du privé de gauche et de droite) et un objectif de négociation dans l'intérêt du travailleur plus que dans l'intérêt d'une cause idéologique. --Powermonger·(kongossa) 27 janvier 2006 à 09:20 (CET)

Ben voyons. Et quand on part des années 90 pour revenir aux années 40, c'est quoi alors??? Même l'OCDE donne indice de flexibilité du travail relativement bon à la France. Pour licencier un travailleur en France, il faut une convocation, un entretien et ...c'est tout. Le code du travail se constitue d'un noyau dur (l'ordre public social) et le reste...c'est beaucoup de négociation, notamment dans le temps de travail (modulation, compte épargne temps, temps partiel, CDD, CNE). Moi je le déplore mais dans tous les cas tu ne peux pas dire que le code du travail est rigide. Mais tu ne réponds que par des provocations, des préjugé, ... Moi j'essaie vraiment de poser des arguments. Tu n'as même lu le doc? J'aurais aimé que tu dises "a ben non, c'est con ce qu'il dit par ce que..." Non, tout ce que tu fais c'est dénigrer sans y connaître quoi que ce soit. Sur les syndicats c'est pareil t'y connais quedalle. Même l'expansion, pourtant mensuel au combien libéral, souligne le potentiel de certains syndicats (ils ont notamment fait un article sur SUD plutot élogieux, dans le sens où ils savent instaurer un rapport de force). Maintenant si le syndicalisme s'est affaibli en France, c'est peut être par ce qu'il n'est pas assez dur. Par ce que quand ils lancent de grands mouvements sociaux, les gens répondent présents. Maintenant tu parlais des autres pays, ben je vais t'apprendre une nouvelle : il n'y a pas que le modèle anglo saxon ultra libéral. La typologie d'Esping Anderson montre qu'il existe une diversité des modèles sociaux (méditérannéen, germaniste, français, nordique, anglo saxon) mais qui sont fortement attaqués par la logique libérale. Maintenant tu parles de négociation : tu sais bien qu'elle passe par un rapport de force qui est largement en défaveur du salarié depuis le changement de cadre socio économique intervenu dans les années 70. Lis le doc, on rediscute après.62.39.126.3 27 janvier 2006 à 09:32 (CET) "D'où un tournant, où elle abandonne la politique, au profit d'un profil "rhénan" avec des adhérents à l'image de la société française (travailleur du privé de gauche et de droite) et un objectif de négociation dans l'intérêt du travailleur plus que dans l'intérêt d'une cause idéologique. -" ==>mdr c'est grâce à ça qu'elle perdu ses adhérents qui sont partis à SUD et à la CGT (résultats d'études de la CFDT :)

Visiblement, tu n'as jamais licencié personne, ni préparé de plan social ! Je l'ai déjà fait, et j'affirme que pour licencier, il faut une convocation, un entretien, un dossier gros comme un annuaire, quinze mille réunions, un gros chéquier et une armée d'avocats. Tu ferais bien de commencer par bosser plutôt que de porter des jugements à peine bon pour un étudiant. Toutes les organisations mondiales (toutes) ont dénoncé la rigidité du code du travail français (le noyau dur). Aucun pays n'a un code du travail aussi épais que le code français (même avec une couverture en cuir).
Les syndicats sont faibles, parce que inutiles. Aucune réforme majeure depuis 1968 n'a été due à un mouvement social. Toutes viennent de la sphère politique. En effet, la dualité syndicat-parti de gauche s'est faite au détriments des syndicats qui n'avaient plus rien à négocier (ou presque). Les grands mouvements sociaux sont d'abord le fait des fonctionnaires dont syndicats et employeurs se confondent depuis 1981. Le taux de syndicalisation dans le privé, c'est peanut. Lorsqu'il y a un mouvement social dans le privé, naissent des "ententes" qui mobilisent les salariés en dehors du fait syndical. Ceci dit, sept pages me semblent essentielles.
SUD est un cas à part dans le syndicalisme, puisque le cartel de la réaction (CGT-FO-PCF) empêche la révision de la loi sur la représentativité. Il existe un modèle français de modèle social : celui qui rigidifie le marché de l'emploi et permettrait, si il était appliqué jusqu'au bout, d'avoir 20% de chomeurs, 70% de fonctionnaires et 10% de salariés. Un modèle tellement chouette que personne ne l'a copié...
La CFDT perd des adhérents, mais pas n'importe lesquels. C'est avant tout l'entrisme trostkyste qui part puisqu'il n'y a plus d'espoir d'en faire un parti politique. Mais 60 000 personnes, c'est 0,2% du salariat. En échange, elle a gagné une influence bcp plus forte envers le patronnat et le gouvernement, en s'affirmant comme mature.
Quand à l'OFCE orthodoxe, c'est comme affirmer que les statistiques soviétiques étaient fiables ! Ce "truc" est accroché à la gauche comme une tique à un clébard ! --Powermonger·(kongossa) 27 janvier 2006 à 09:52 (CET)

Arrete c'est bon, toujours pas capable d'argumenter. Moi je l'étudie en cemoment le droit du travail. Et je peux te dire que je suis étonné d'entendre parler de "rigidités"( et de surcroit, même si elles existaient, elles ne sont pas respectées du fait de la faiblesse des contrôles). Tu ne m'as pas répondu sur le mot réaction : est ce que ça ne s'applique pas plutôt à une politique qui vise à instaurer les mêmes conditions de travail que par le passé (début du dix neuvième)? Par contre tu n'y connais VRAIMENT QUEDALLE EN ECONOMIE POUR DOUTER DE L'ORTHODOXIE DE L'OCDE. TU N'AS PROBABLEMENT JAMAIS LU AUCUN RAPPORT ECONOMIQUE: CE SONT LES PREMIERS A RECLAMER LES REFORMES QUE TU ACCLAMES ET TROUVENT QUE LE GOUVERNEMENT DEVRAIT ALLER PLUS LOIN. http://www.oecd.org/home/0,2605,fr_2649_201185_1_1_1_1_1,00.html Tiens, si tu sais lire, vas y et fais toi plaisir : ils ont les mêmes idées que toi.194.206.60.3 27 janvier 2006 à 09:59 (CET)

Les préjugés viennent plutot des gens qui ne savent rien des conditions de travail des ouvriers. L'étudiant, il se renseigne, il a des sources d'informations diversifiées (j'ai du mal à croir que tu sois dans la vie active du fait de la pauvreté de ton capital culturel : il y a des libéraux qui argumentent bien et qui ne se contentent pas de répéter les,journaux TV bêtement). Moi je pense que s'il était appliqué jusqu'au bout le code du travail, plus d'emploi pourraient être crés, en tout cas des emplois moins précaires. Va en Pologne (faire de la plomberie) : le marché du travail est une jungle. Le taux de chômage tourne autour de 20%. Alors arrête de parler de chose que tu ne connais pas.62.39.126.3 27 janvier 2006 à 10:06 (CET)

Pas de mouvements dans le privé? Le mouvement de 1995 a juste débarqué alain Juppé au passage. Le modèle que tu proposes ne profite qu'à une partie de la population, les plus riches. Mais j'ai hate de t'entendre parler d'études, de tendances, de conditions de vie. préjugés, préjugés, ....62.39.126.3 27 janvier 2006 à 10:11 (CET) (un jugement vient de déclarer légal au regard de la loi les licenciements économiques préventifs. Qui a dit flexibilité?) Et puis la CFDT maintenant, elle s'est crédibilisée envers la droite mais pour ce qui est des ouvriers et des gens précaires (4 millions quand même dont trois quarts sont des femmes) c'est la déroute. "Il faut un gros chèque pour licencier" : 1/10 du salaire par année d'ancienneté plus 1/15 pour les années au dessus de 15 ans. Vachement gros le chèque. Temps d'un licenciement : 5 jours pour convoquer le salarié, 2 jours pour envoyer la notification du licenciement. Après si c'est pas pour un motif réel et sérieux, le licenciement peut être attaqué. Mais bon, tu admettras que si on enlève cette disposition, le chef d'entreprise qui n'aime pas les salariés pas dans son goût (couleur de peau, origine ethnique, orientations sexuelles, ...) pourra se lacher au niveau des discriminations. A moins que tu ne sois un fervent supporter de Jean marie Le Pen, mais bon si c'est le cas la discussion s'arrête là.194.206.60.3 27 janvier 2006 à 10:21 (CET)

Pouet-Pouet ! (Je sortirai cet argument à chaque attaque Ad hominem).
Tu confonds OCDE et OFCE !
Je te parle de choses que j'ai FAITES ! Le bref séjour que j'ai fait en France était pour préparer un plan social ! Je peux te dire que je connais bien le schimlblick. Si c'etait si simple et si facile, il n'y aurait pas d'entreprise disparue à qui on annulerait des licenciements (spécialité française).
Par ailleurs, j'ai fait des études économiques, à la différence près que j'ai déjà mon diplôme, toi, pas encore. Ne viens pas me donner des cours.
Les théoriciens de l'offre ont maintes fois démontrés que la fluidité du marché du travail est indispensable pour la croissance de l'économie et donc son taux de chomage.
La Pologne a encore des rigidités, et des handicaps (comme le secteur agricole) qui ne sont pas restructuré et qui pèsent sur l'économie. Ce n'est pas comparable. Allons plutôt voire en Angleterre ou au Danemark ou même en Suisse ce qui s'y passe. Ca devient comparable. L'Espagne et l'Allemagne, qui ont des droits du travail très rigides ont des situations de chomage comparable.
Les manifs de 1995, étaient politiques, plus que syndicales. Dix ans plus tard, la réforme est passée comme une lettre à la poste. La définition d'un mouvement syndical dans le privé, c'est syndicats contre patronat, pas contre gouvernement !
Multiplie par 2 ton chèque par application de la loi de modernisation sociale + ajoute le préavis. Enfin, pense au plan de reclassement. Et aux indemnités transactionnelles bien sur.
Je ne suis pas supporter de Le Pen, mais celà démontre ton ostracisme. Je met Le Pen et l'extrême gauche dos-à-dos : des anti-démocrates. Mais ce n'est pas pour ça que je fais un complexe de supériorité et que je refuse le dialogue.
--Powermonger·(kongossa) 27 janvier 2006 à 10:33 (CET)

J'ai mon diplome aussi. A la différence que je continue encore pour approfondir plus mes connaissances (et t'as fait où tes études? Université des sciences et techniques de Lille 1). L'OFCE fait partie du courant orthodoxe : les méthodes utilisées relèvent beaucoup de l'économétrie. Quand j'ai besoin de connaître la position orthodoxe, mes enseignants me la conseillent tout de suite. Maintenant je vais te dire un truc : la fluidité du marché du travail permet parfois d'arriver à un taux de chômage à 5% (pas toujours comme le montre la Pologne). Le modèle nordique est certes fluide en terme de rigité mais les services sociaux qui accompagnent les salariés sont sans comparaisons aucunes avec le modèle anglo saxon. Les inégaliéts n'ont rien à voir avec ce que tu proposes. Les théoriciens de l'Offre n'ont rien démontré du tout : c'est une approche normative mathématique, qui ne tient pas compte du bien être social des gens (concept d'utilité sociale complètement foireux). Pose toi la question : pourquoi plus on avance dans les réformes que tu préconises moins les gens se sentent bien (santé physique et mentale, disparité sociales, ....)? Comment cela pourrait il en être autrement quand on leur enlève une à une toutes les sécurités qu'ils avaient aquis, par rapport aux licenciements, la vieillesse, la maladie, le revenu? Dis moi comment ça se fait? Va voir comment les salariés vivent dans les pays anglo saxon (attention, pas le salarié type Bill Gates. Je parle des millions de précaires, des 40 millions de pauvres aux USA). Le plan social que t'as préparé en France, t'en es content? Tu as revu les gens que t'as foutu à la porte? Je me demande combien se sont suicidés, combien sont devenus alcooliques, combien sont devenus dépressifs. Sur le mouvement de 1995, effectivement c'était en parti politique : le message était MERDE AU NEOLIBERALISME. Les gens refusent veulent vivre décemment et on va les accuse de réactionnaires. Ben oui, j'ai oublié que être progressiste c'est faire un temps partiel payé moins que rien en CDD (ou CNE). Maintenant c'est cool, je suis progressiste, j'ai un CNE. C'est bien, c'est un emploi où je peux me faire licencier du jour au lendemain pendant deux ans . Qu'est ec que j'en ai de lachance. Et toi tu en voudrais du CNE? (Quant à la Démocratie, l'extrême gauche -enfin la gauche sachant que la LCR par exemple a un programme moins ambitieux que le PS en 1981- elle y est plus présente dans les fonctionnements structurels. J'aimerais bien voir un ovrier à la tête de l'UMP un jour rien que pour déconner. Ensuite, il existe des libéraux parmis les libéraux qui estiment que la démocratie devrait être pondérée par la productivité : dehors les chômeurs, les retraités. Ne vient faire de leçons sur la Démocratie. L'UMP est plus proche de Le Pen que la LCR de LO, qui est n'est pas démocratique effectivement). J'ai du mal à croir que tu as fait des études économiques : pas une seule fois tu ne cites d'études. Tu ne sais pas que l'OCDE, le FMI, l'OFCE sont des organismes ayant un penchant pour le libéralisme. J'ai de plus en plus de mal à te croire.62.39.126.3 27 janvier 2006 à 11:03 (CET)

Tiens j'avais pas lu le paragraphe sur le plan de reclacement. C'est dégeulasse, on doit essayer de trouver un emploi aux salariés plutot que de les foutre dehors avec un coup de pied au cul dehors. Vraiment scandaleux! Et le profit alors? Moi je veux du 15%, rien à foutre que les salariés crevent. Je n'ai jamais vu une personne ayant aussi peu de respect pour la personne humaine.

Par l'usage intensif de "Je" tu démontres que tu défend un point de vue, et non la neutralité.
Ton aveuglement idéologique fait le reste. Tu confond OCDE et OFCE, FMI et OMC. Bref, pas encore mature. J'arrête la discussion ici. Pour info, dans le pays où je bosse, le CNE fait figure de contrat surprotégé. Mon contrat est comme une PdConso de CNE a vie, et sans indemnités. J'oubliais : Pouet-Pouet !--Powermonger·(kongossa) 27 janvier 2006 à 11:21 (CET)

[modifier] trève de polémiques!

depuis le début de ce projet d'article, il est clair que certains se servent de la wikipédia comme d'une tribune politique. Mais ceci n'est pas conforme aux principes de neutralité de wiki! une alternative serait de créer une page version de travail /arguments de D et arguments de G pour que les fanatiques puissent se défouler tranquillement! Réduction du temps de travail/Version de travail/Droite et gauche Michelbailly 27 janvier 2006 à 11:25 (CET)

Au départ j'ai proposé un document de travail pour le sujet, à savoir les 35 heures. Une provocation infantil à suivi de la part de Powermonger. Je n'aurai pas du répondre. (aller une dernière quand même, je parlais d'un CNE condition ouvrière, sans diplôme)62.39.126.3 27 janvier 2006 à 11:39 (CET) [de quoi se documenter http://mouv.eco.free.fr/doc/t35heures.pdf]==>étude scientifique de l'IRES

SVP, au lieu de garder un n° anonyme IP, tu ne pourrais pas te connecter avec ton nom ou ton pseudo svp. Oui ton le monde sait reconnaître une provocation dee propagande politique, il suffit de feuilleter l'historique des articles Michelbailly 27 janvier 2006 à 11:44 (CET)

Par ailleurs dans l'article j'ai rajouté un certains nombre de dates sur la RTT (en France). 194.206.60.3 27 janvier 2006 à 11:48 (CET)OTo

[modifier] effet pervers?

je me demande effectivement si un effet pervers en économie ou politique est obligatoirement fâcheux ou juste imprévu. Michelbailly 29 janvier 2006 à 05:41 (CET)

Non, un effet pervers est un effet imprévu, qu'il soit négatif ou positif. Sur les trente cinq heures, par exemple, il y a deux types d'effets : positifs (la RTT favorise le temps libre donc une forme d'émansipation pour certaines catégories, notamment les femmes, qui sont d'emblées pénalisées par l'importance du travail domestique cumulé au travail salarié) ou négatif (la RTT va augmenter l'intensité du travail et accroître dans certains cas la pénibilité lorsque l'entreprise n'embauche pas).


Effets pervers positifs : - hausse de la productivité (par réorganisation) - effet de noria (les embauches profitent aux jeunes qui ont un coût moindre par rapport à leur productivité) - la hausse du temps libre profite à l'activité économique pour certaines professions (tourisme, loisirs) - émancipation pour certaines personnes (voir à ce propos l'étude de dominique Méda, dont j'ai malheureusement oublié la référence)

Effets pervers négatifs : - au lieu d'embaucher certaines entreprises vont intensifier le processus de production, ce qui peut se traduire ar un accroissement du stress, de la fatigue et de la pression sur le salarié - le travail dissimulé augmente du fait de la hausse du salaire horaire (temps de travail effectif non déclaré)

Ce sont des effets non prévus. La RTT provoque des effets prévsibles comme des créations d'emploi pour maintenir la production constante ou pour l'augmenter (pour les chiffres, y'a eu assez de débats comme ça) et dans un autre sens la hausse du salaire horaire peut affaiblir les entreprises dans des secteurs à forte compétitivité prix. Prière de pas venir raler pour les chiffres, merci de votre compréhension :-)82.127.176.254 29 janvier 2006 à 16:33 (CET)


82.127.176.254 29 janvier 2006 à 16:33 (CET)

[modifier] Compléments ?

J'ai parcouru l'article et j'ai quelques interrogations :

  1. il n'est pas question de l'historique du débat (semaine de 4 jours, etc.) et des positions du MEDEF en particulier sur la question (avant la mise en place), ni de la position des partis politiques à l'Assemblée, etc.
  2. la logique de mise en oeuvre globale telle que la loi Aubry la prévoyait, telle qu'elle a été ensuite modifiée (Aubry II, Fillon, etc.), devrait être plus décrite (attendus de la loi, etc.)
  3. il serait alors plus simple de décrire la mise en place du dispositif, les contrats signés dans les entreprises, leurs caractéristiques (temps contre flexibilité et/ou salaires, etc.)
  4. une évaluation critique des résultats, pour sortir de la croyance à des chiffres "absolus", objectifs et scientifiques ! Mais ce serait pas mal de montrer que la mise en oeuvre n'étant que partielle, les effets le sont aussi !
  5. enfin un commentaire pourrait montrer les erreurs dans la mise en place (seuil de 20 salariés qui ne correspond à aucune réalité économique, par exemple). --JeanClem 11 février 2006 à 23:22 (CET)

N'hesitez à rajouter des choses.--Aliesin 11 février 2006 à 23:35 (CET)


Oui... .. dans la série questions diverses...

  1. Par rapport au cout des 35 heures, il y a quelque chose de pas clair : il y a bien le chiffre de 16 milliards d'euros dans la référence donnée, mais cela correspond à l'intégralité des dépenses liées aux allegements divers et variés. Non seulement aux 35 heures. La plus grande partie de ces 16 millards sont en fait les allègements fillon... ... D'ou question : si quelqu'un maitrise le sujet des allegements fillon, et si ils ont un lien avec le schmilblick, il serait peut etre interessant de préciser un peu plus que cela. Si ils n'ont aucun lien, il faut corriger.

En l'état actuel, ce n'est pas clair et l'on n'y comprend rien.

Voila. Désolé si cette remarque est écrite n'importe ou.

[modifier] les 35 heures

je souhaiterais savoir combien, dans tous les secteurs d'activité, de travailleurs bénéficient de ces 35 heures. merci

A priori tous, puisque toutes les heures supplémentaires faite au delà des 35 heures sont payées plus. Maintenant, les salariés à temps partiel n'en bénéficient pas.
Dans la réalité, c'est bien différent : le passage aux 35 heures a permis aux employés, dont le temps de travail était mesuré, d'en bénéficier de façon instantanée ; la part de travail non réalisée a fréquemment été reportée sur les cadres, dont les horaires étaient rarement mesurés, et qui ont simplement assumé quelques pour cent de travail en plus, en contravention flagrante, connue, et acceptée, avec la loi. Aujourd'hui je connais peu d'entreprises où les cadres travaillent 35 heures. Pardon : je n'en connais pas dans mon environnement professionnel. Ce seul mécanisme suffit à expliquer en partie pourquoi l'idée d'une augmentation des embauches est restée un rêve. Je ne vois cela nulle part dans cet article.--Environnement2100 (d) 16 janvier 2008 à 04:20 (CET)