Discuter:1 (nombre)

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transféré, pour être dans la même norme que en: il y pas mal de boulot de remettre tout ca en place mais je m'y met avant que ca ne soit trop confus pour tout le monde!!! --Jef-Infojef 27 nov 2004 à 05:42 (CET)


J'ai regardé ce que les autres ont fait :it :es etc. et je constate qu'ils n'ont pas respecté de norme particulière. Ils n'ont pas fait comme les en: Je pense que c'est vraiment changer tout pour rien. Surtout quand je certain liens sur «un» ou «deux » nous renvoient à 0 (nombre) ou 1 (nombre) je ne trouve pas ça terrible, surtout dans les articles de français par exemple. 83.193.194.122

Sommaire

[modifier] Traduction

Ne connaissant pas la traduction exacte de Meandric, je l'ai traduit par serpentin, à remplacer éventuellement par le terme exact (s'il existe)... --Jim2k 27 nov 2004 à 15:53 (CET)


[modifier] section retiré

J'ai retiré la section suivante de l'article. - phe 16 juillet 2006 à 13:32 (CEST)

[modifier] Origine du « UN »

UN exprime le premier des nombres. Sa graphie en chiffre, 1, marque l'énergie ascendante qui redescend verticalement. Dans l'absolu Un a été en quelque sorte divinisé. « Dieu, c'est Un, le Nombre des Nombres » affirme Hiérocles, disciple de Pythagore. De ce point de vue, dans le Principe, il n'est ni pair, ni impair, ni masculin, ni féminin, il est sans qualificatif. Il est cause de Tout. « L'activité absolue est Unique, elle est “Cause causale”, nullement “cause cosmique”, elle est l'Unité et non encore l'Unité ternaire » (Schwalier deLubicz, Propos sur l'Esotérisme et le Symbole), l'Unité ternaire étant inhérente à la manifestation. Amadou-Hampaté Bâ rapporte que chez les Peuls, « le “un” n'est pas considéré comme un nombre, mais est l'unité inconnaissable et indéterminée. » (Amadou-Hampaté BÂ, L'Eclat de la Grande Etoile).

Dans le relatif, il en va tout autrement ; 1 est masculin, phallique. Le trait plein, yang, du Yi King, lorsqu'il est mutable, engendre le trait yin séparé en deux tirets, le deux. UN n'engendre pas seulement le deux mais tous les nombres par sa propre répétition. Il se divise lui-même sans se diviser. Il n'est multiple d'aucun autre mais il est le diviseur de tous. Il divise tout nombre et, pourtant, il ne divise pas puisque le résultat de la division d'un nombre par un est ce nombre lui-même. Un est aussi important pour les nombres que le mot Dieu qui supporte tous les autres mots. Le philosophe Emerson pressent cette unité lorsqu'il écrit, non pas à propos des nombres mais à propos des mots : « On dirait qu'une seule personne est l'auteur de tous les livres qui existent dans le monde ; il y a en eux une unité si fondamentale qu'on ne peut nier qu'ils soient l'œuvre d'un seul homme omniscient. » Ainsi les mots, comme les nombres, nous ramènent-ils à l'Unité, au divin. De ce point de vue, le 1 supporte tous les autres nombres. Tous ne sont en fait qu'un. « Ex Uno non fit nisi Unum »

« De l'Un ne peut procéder que le Un » écrit Leibniz. La conscience de cette vérité est ancienne. Au premier siècle avant Jésus-Christ, le grec Cornélius Agrippa énonçait : « Le nombre n'est que la répétition de l'Unité. L'unité pénètre le plus simplement tous les nombres, et étant la mesure commune de tous les nombres, leur source et leur origine, elle les contient tous étant joints uniquement, demeurant incapable de multitude, toujours la même et sans changement : c'est ce qui fait qu'étant multipliée, elle ne produit rien qu'elle-même. Un est le principe de toutes choses et toutes vont jusqu'à un, et après lui il n'y a rien (…) Un se rapporte donc à Dieu qui, étant un et innombrable, crée cependant quantité de choses et les contient dans soi. »

Chaque partie du tout est comparable à un hologramme brisé en morceaux dans laquelle il est possible de voir apparaître l'objet entier, tout point de la plaque photosensible contenant tous les points de l'objet. La division de l'Unité, son fractionnement (1/2, 1/3, 1/4, 1/5 etc.), tend vers le zéro mathématique, mais « les fractions ne peuvent être des “ parties de l'unité”, comme on le dit, car l'unité arithmétique véritable est nécessairement indivisible et sans parties ; et c'est d'ailleurs de là que résulte la discontinuité essentielle du nombre qui est formé à partir d'elle » (Guénon, Les Principes du Calcul infinitésimal).

L'Unité ne s'oppose qu'en apparence à la diversité nous dit Pascal dans l’une de ses Pensées : « Tout l'univers est contenu dans l'Unité ». Pourtant, l'Unité est-elle concevable en soi ? Dès qu'il y a une chose créée, il y a cette chose et celui qui la regarde. Le binaire ne peut connaître l'Unité, seule l'Unité peut connaître ce qui est issue d'elle. C'est pourquoi il est souvent question de la bi-unité divine ou du multiple-un.

Le Créateur, Dieu, est chanté par le poète persan : « Son unité est une essence par laquelle [existe] toute multiplicité, et Lui-même constitue la cause par laquelle existent toutes les causes » (Marquet Yves - Poésie ésotérique ismaïlienne : la Ta'iyya de 'Amir al-Basrî - Paris : Maisonneuve et Larose, 1985, v. 52, p. 50). Dans l'ancienne Égypte, l'une des épithètes d'Amon, Dieu créateur anthropomorphe, « roi des Dieux », est « Un qui se fait millions ». La convergence est grande entre les diverses traditions puisque saint Thomas d'Aquin dit : « Mesure la multitude par l'unité. »

Cette vérité est aujourd'hui comme toujours réaffirmée, que cela vise une multitude apparemment extérieure à l'homme ou la multitude des facettes intérieures de nous-mêmes : « Dans la multitude vois l'Unité, dans l'Unité vois le multiple contenu en puissance et puis résorbe par la Conscience toute consciente » (Emmanuel-Yves MONIN - Le Son du Désert). Le multiple naît de l'Un pour retourner à l'Un. Empédocle affirmait déjà : « A un moment, l'Un se forma du Multiple, en un autre moment il se divisa et de l'Un sortit le Multiple. »

Et Teilhard de Chardin, dans sa vision de l'unité en gestation dans le bouillonnement du multiple, émet la même hypothèse : « Tout se passe comme si l'Un se formait par unification successive du Multiple et comme s'il était d'autant plus parfait qu'il centralise sous lui plus parfaitement un plus vaste Multiple » (Mon Univers).

Dieu est l'Alpha et l'Omega. Omar Khayyâm de dire dans l’un de ses Quatrains : « J'ai prononcé la première lettre de l'alphabet et mon cœur m'a dit : “Maintenant, je sais. Un est le premier chiffre du Nombre qui ne finit pas.” »

Dans cette Création sans cesse renouvelée, que sommes-nous ? A cette question il est répondu : « vous êtes le Multiple de Dieu qui s'est créé par l'Unité de Dieu. » (Karuna - Les Sons de Dieu).


[modifier] Confusion(s)

Je trouve regrettable qu'on mélange sans aucune précaution ce qui est relatif : au chiffre '1', au nombre '1', au mot 'un' dans toutes ses acceptions, et à tous ses dérivés (y compris 'one' - et pourquoi pas 'uno'?). Il me semble pourtant que la rubrique a pour titre "1 (nombre)" !

Pour ce qui est des Maths, la liste des propriétés triviales de 1 (méandrique, hexagonal centré "pour n'en citer que quelques-uns" -sic!) et la liste des "* un est le nombre de ..." sont vraiment d'un intérêt nul.

Pour le reste, on dit que 'un' est le titre de x chansons : je suppose plutôt que c'est 'One'; idem la compagnie ferroviaire anglaise ou les monnaies américaines. Quant à l'euro et à son centime, je ne comprends même pas ce que çà veut dire...

Tout çà fait vraiment inventaire à la Prévert -- Fr.Latreille 7 mars 2007 à 22:48 (CET)

[modifier] Référencer que 1 est l'unique entier entre 0 et 2 par les axiomes de Péano?

Bonjour,

Ainsi on aurait besoin de prouver que 1 est un entier exactement entre 0 et 2 et que la source est les axiomes de Péano?

C'est quoi cette blague?

Je vais fortement appuyer les reverts de Touriste :

Bon sur les ax de péano, pour ceux qui connaissent c'est versus syntaxe et c'est donc indépendant d'un modèle particulier qui se ferait sur |N, d'autant plus qu'on sait (thm d'incomplétude) qu'on ne peut prouver que ces axiomes ont un modèle.

Maintenant si on veut jouer à la déf du nb 1 :

1. C'est la classe des propriétés satisfaites par un unique élément (Frege)

2. C'est le successeur de l'unique élément sans prédécesseur (ax de péano)

3. c'est {0} dans la théorie des ordinaux actuelle (issue de von Neuman qui commençait d'azilleurs l'énumération un cran au delà)

4. C'est le couple bien ordonné (0, 1) vu comme nb rationnel

5. C'est l'ensemble des rationnels <1 par coupure de Dedekind, vu comme nb réel.

6. C'est +- en thie de la démonstration, par convention, l'ensemble des preuves que (p->p) -> (p->p) n'utilisant qu'une seule fois la règle de coupure (i.e. : (A ou B) et (nonA ou C) --> (B ou C) )

etc et moult autres def conventionnelles (sans aborder les pbatiques de la déf de ce nb d'Aristote à nos jours en philo)

On peut parler de tout cela dans l'article, mais prétendre qu'une justification définitive que 1 est l'entier entre 0 et 2 en évoquant les axiomes de Péano est simplement non pertinent. Ce n'est qu'une convention de codage inessentiel, l'important est l'interprétation de ce codage dans une théorie précise.

--Epsilon0 19 septembre 2007 à 21:30 (CEST)

J'ai prévenu l'IP que sa blague, bien que très drole de prime abord, perdait son coté zigomatique à force de répétition. En gros, soit c'est pas une blague et il est capable de comprendre ce qui est écrit ci dessus (voire de contre-argumenter), soit c'est un troll et il gagnera un blocage si il recommence. Maloq causer 19 septembre 2007 à 21:46 (CEST)
Vous trouvez pas qu'elle est ridicule cette phrase d'intro universelle pour tout les nombres? La phrase d'intro d'un article devrait parler de ce qui donne au sujet le droit d'avoir un article. Barraki Retiens ton souffle! 21 septembre 2007 à 13:22 (CEST)

[modifier] kilo - milli dans l'article 1 ?

Pourquoi cette phrase en introduction de l'article 1 ? Le préfixe du système international pour 1000^1 est kilo (k), et pour son inverse milli (m).