Discuter:Éditions Amsterdam

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Cher 82.231.248.67,

Ce ne sert à rien de corriger indéfiniment si vous révertez systématiquement. Donc, pouvez-vous expliquer pourquoi

  • Vous mettez un singulier après "éditions Amsterdam" qui est au pluriel (c'est compréhensible dans la première phrase où "éditions Amsterdam" est considéré comme un bloc, pas ensuite quand le terme est inséré dans une phrase).
  • Vous retirez les mentions des liens entre vos éditions et les auteurs que vous publiez. Ce n'est pas tout-à-fait la même chose d'être accepté par un comité de lecture pour ses qualités propres et d'être publié par ses copains. Il serait honnête de le signaler.

Bien à vous,
Remi Mathis 28 novembre 2006 à 10:09 (CET)
PS : Vous n'êtes pas obligé de sauvegarder à chaque fois mais pouvez "visualiser" et ne sauvegarder qu'une fois tout à la fin.
PPS : Maintenant que vous avez découvert Wikipedia avec délices, pourquoi ne pas contribuer à d'autres articles que celui de votre entreprise ?

Bonjour,

Il ne s'agit pas de ma maisond d'édition.

J'ai *déjà* contribué à plusieurs articles sur divers sujets.

Je m'occupe de mettre à jour les pages de *tous* les éditeurs indépendants que je connais sur Wikipédia.

Pour répondre à vos questions : "Editions Amsterdam" est le nom (raison sociale) de cette maison d'édition, le nom de cette maison d'édition n'est *pas* "Amsterdam"... Je reprends l'usage de l'éditeur. (J'ai trouvé ça curieux aussi au départ.)

Jérôme Vidal (auteur d'un livre publié par Editions Amsterdam) apparaît clairement comme son fondateur dans l'article et comme un de ses collaborateurs actuels.

Autre cas : Charlotte Nordmman apparaît clairement comme une des personnes qui ont collaboré à la fondation d'Editions Amsterdam et comme une auteure Editions Amsterdam (à ma connaissance, elle n'est plus qu'auteure et ne collabore pas aujourd'hui à cette maison d'édition autremernt que comme auteure).

Voilà.

Bien à vous, SN

Rémi mathis, vos propos manifestent votre ignorance qui semble totale en la matière : "être publié par ses copains", dites-vous ? J'aimerais avoir des copains comme Eric Hobsbawm, Judith Butler ou Jonathan Israel (tous édités par Amsterdam) et tous considérés comme des sommités dans leurs domaines respectifs. Fréquentez au moins UNE librairie de sciences humaines avant d'écrire de pareilles bêtises.80.119.179.47 14 décembre 2006 à 21:37 (CET)
Cher 80.119.179.47,
Permettez-moi de vous répondre :
  • Sur la forme :
    • Je vous prie de modérer vos propos. Surtout vis-à-vis d'une personne que vous ne connaissez pas.
    • Si vous avez quelque chose à me dire, je possède une page de discussion et une adresse électronique
    • Quand vous insultez quelqu'un, évitez de le faire anonymement. Que de distraits chez les gens qui assument leur pensée !
  • Sur le fond :
    • Quand on insulte des gens que l'on ne connaît pas, on dit pas mal de bêtises, et c'est dommage. Je suis moi-même doctorant en histoire, je suis l'activité éditoriale par goût mais aussi parce que je fais des comptes-rendus pour des revues scientifiques et un site internet, je suis auteur d'articles dans des revues (avec comité de lecture) et ai un volume en préparation (chez un éditeur indépendant, d'ailleurs). Je pense donc connaître un minimum l'édition en sciences humaines, de l'extérieur et de l'intérieur, ayant noué des relations amicales avec plusieurs éditeurs et connaissant pas mal de gens qui publient régulièrement.
    • Il se trouve que certains éditeurs indépendants, négligeant de faire appel à des historiens ayant fait leurs preuves (par facilité, manque de relations, croyance en la non-technicité d'un tel travail ou idéologie) font eux-mêmes certains travaux (je pense par exemple à une édition de texte qui m'est passée sous les yeux l'année dernière) et que cela ne donne pas toujours de bons résultats (en l'occurrence, il y avait de grosses erreurs et des naïvetés). On peut trouver le même type de non-professionalisme chez de gros éditeurs, j'en conviens et ne manque jamais de le souligner dans mes CR (par exemple en préférant le mauvais livre d'un homme célèbre au bon livre d'un inconnu).
    • Dans le cas des éditions Amsterdam, quels que soient les talents (que je ne remets pas en cause) de Jérôme Vidal, je soulignais que la pratique de l'auto-édition (faire publier ses travaux par l'entreprise que l'on a soi-même fondée et pour laquelle on travaille) pose un problème moral et scientifique de validation de l'information.
Remi Mathis 15 décembre 2006 à 16:38 (CET)
PS : Oui, même Judith Butler a des amis. Incroyable, non ? Et vous n'en faites pas partie, comme c'est malheureux...
Je veux bien vous croire : vous connaissez un minimum l'édition de sciences humaines. Par contre, je ne vous ai pas insulté, j'ai souligné votre ignorance qui m'a, comment dire... sidéré. Saisissez-vous la nuance ? En outre, relisez votre premier message avant d'interpellet autrui sur le ton qu'il emploie. Quant au fait que vous soyez doctorant en histoire, d'une aprt ça me fait une belle jambe (moi je suis agrégé de philo et toc), d'autre part, ça ne fait qu'agraver les choses si vous voulez mon avis. La traduction de "l'invention ed la tradition" chez Amsterdam a été un évenement dont on a pas mal parlé dans le milieu des historiens. Ceci dit, Amsterdam n'a publié que trois ou quatre livres d'histoire au sens propre (je emt de côté les recueils de témoignage oraux de Terkel), presque tous écrits par des auteurs tirant leur légitimité du milieu universitaire. (Israel, Hobsbawm...) En ce qui concerne vos propos sur ce que vous nommez "l'auto-édition" et la "validation morale et scientifique de l'information", vous me permttrez donc d'être un peu dubitatif : est-ce que ce terme d'"auto-édition" (au sens nouveau que vous lui donnez : publier au sein d'une maiuson d'édition pour laquelle on travaille par ailleurs) s'applique aussi aux Empecheurs de penser en rond (de stengers et pignarre) jusqu'a son rachat par le seuil ou aux éditions du Pömmier (de Michel Serres) ? Dans quelle mesure "La République des Idées" releve-t-elle de "l'auto-édition" ? Dans quelles mesures les livres de BOursieu publiés au Sens Commun ou chez Raisons d'agir, ceux de Pierre Nora dans la Bibliothèque des histoires de Gallimard, etc. relevent-ils de l'"auto-édition" ? Je vous laisse méditer là dessus...(si vous voulez voir à quoi ressemble vraiment de l'auto-édition jetez un oeil sur http://www.imprimermonlivre.com , http://www.editions-universelles.net ou http://www.lulu.com/fr )
Puisque cette histoire de légitimité 'est une thématique bourdieusienne, peut-être gagneriez vous également à consulter par exemple le numéro des Actes de la recherche en sciences sociales de 1999 qui s'ouvre sur le long article de Pierre Bourdieu intitulé "Une révolution conservatrice dans l'édition" ou bien les ouvrages de J. Schiffrin, le rapport de Sophie Barluet, le livre des Brémond, "l'Edition sous influence", que sais-je encore... peut-être vos propos y gagneraient-ils en discernement, voire même en.... légitimité.
Pour en revenir à votre message, je vous fait tout de même mes excuses pour avoir froissé votre ego "à comité de lecture" (tout comme la revue Social text soit dit en passant, triste victime en son temps de l'affaire sokal). Ah oui ! et l'anonymat : je ne vois aps en quoi cela pose un problème. Remi Mathis est juste un illustre inconnu pour moi. Quest-ce que ca change que je signe de mon nom propre alors que vous pouvez aussi bien m'interpeller comme vous l'avez fait ? Ultime remarque : je ne suis pas malheureux de ne pas être l'ami de Judith Butler dont je ne partage ni la philsophie ni les conceptions politiques, reste que c'est une intellectuelle incontournable. 84.102.176.111 19 décembre 2006 à 04:10 (CET)
Cher 84.102.176.111 (dont 80.119.179.47 était le nom de jeune fille, je suppose ?)
Merci pour le « minimum » et autres remarques. Si je disais que je doctore bravement, ce n'est pas pour faire le malin (des doctorants, il en a beaucoup et il y a aussi des mauvaises thèses) mais seulement pour souligner que je parle de choses que je connais, à la fois par intérêt personnel et par utilité universitaire. En tant que futur bibliothécaire, je suis par ailleurs les problématiques de l'édition et connais les ouvrages de Schiffrin, etc.
Je dois avouer que je suis en effet choqué que l'on profite de sa situation pour publier ses propres livres même quand l'on s'appelle Pierre Nora. Quand un Bourdieu dénonce les liens entre divers pouvoirs, les copinages entre politiques et médias etc. et agit exactement de la même manière, j'y vois une incohérence : on ne peut pas dire qu'il est "mal" de favoriser ses amis et faire de même (pardonnez la caricature de sa pensée).
Vous ne serez pas sans avoir remarqué que le résultat de tout cela est que seuls les spécialistes savent que certaines personnes passant pour de bons historiens sont en fait très contestables (et contestés). Tel académicien ayant jadis publié quelques ouvrages intéressants mais dont la senescence précoce n'empêche pas que ses amis le publient encore dans de prestigieuses collections. Ou même un philosophe qui s'est improvisé historien et dit des bêtises qui font autorité chez les non-historiens, alors que ces affirmations auraient été biffées rageusement dans une copie de licence...
Enfin, non, votre anonymat et "le mien" ne sont pas comparables. Je doute que vous connaissiez le nom exact et le parcours du commissaire européen au commerce extérieur. Mais si tous les actes qu'il signe étaient signés de "84.102.176.111" sans que vous puissiez savoir ce qu'il y a derrière, vous ne laisseriez pas d'être inquiet et vous auriez raison. Vous ne me connaissez peut-être pas mais vous pouvez vous renseigner sur moi, vous pouvez vérifiez mes dires. Vous, je ne sais même pas si je réponds à la même personne que la première fois.
Remi Mathis 19 décembre 2006 à 09:53 (CET)
Oui oui je suis bien la même personne que moi-même, je confirme. Ceci dit, je constate à vos propos que vous avez renoncé à considérer les ed. amsterdam comme un haut-lieu de "l'auto-édition", et considérez mainetnant que ses pratiques éditoriales ne diffèrent guère de celles de l'ensemble du monde éditorial. Je ne vois pas bien d'ailleurs comment elles pourraient procéder autrement. Bon, cessons ce débat. Je ne vais aps me disputer avec un futur collègue puisque je suis conservateur d'Etat... Tchao 84.102.176.111 19 décembre 2006 à 12:22 (CET)
Je ne renonce à rien. Je remarque juste que cette pratique est courante, me semble hautement contestable si le texte n'est pas validé par ailleurs et qu'il est sans doute d'autant plus pratiqué que l'éditeur est petit. Mais vous avez raison, arrêtons-là, ça ne mène pas à grand chose et il y a d'ailleurs des chances pour qu'on soit d'accord sur une bonne partie des choses. Vous travaillez où (si ce n'est pas trahir votre anonymat anonyme) ? Remi Mathis 19 décembre 2006 à 16:14 (CET)

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