Discuter:Rassemblement Wallonie France

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[modifier] Pointe avancée du mouvement wallon ?

Pour éviter de passer directement à la procédure : désaccord de neutralité, je déplace ici un paragraphe partisan qui concerne plus l’article Réunionisme que celui sur le RWF. Les personnalités citées ( à la sensibilité réunioniste plus ou moins affirmée ) que je sache ne se sont pas ralliée au parti mais éventuellement à l’idée, ce qui peut être mentionné dans l’article sur le réunionisme/rattachisme, à condition bien entendu de trouver source(s) ou citation(s) pour chacun. Quant aux sondages récents, sans chiffres et sans sources…ainsi que la phrase de conclusion…sans commentaires. - Ben2 26 août 2007 à 10:44 (CEST) :

En dépit de ses succès électoraux mitigés, l'idée de la réunion de la Wallonie à la France a gagné de nombreux intellectuels au sein des partis traditionnels. François Perin, Jean Defraigne, ancien Président de la Chambre (MR), Robert Collignon, ancien Président du Parlement wallon, Claude Eerdekens et Yvan Ylieff, tous deux anciens ministres du PS, ont une sensibilité réunioniste plus ou moins affirmée. L'influence du RWF-RBF s'inscrit donc bien au delà de son score électoral. Des sondages récents ont montré que, en cas d'indépendance unilatérale de la Flandre, le rattachement de la Wallonie à la France avait la préférence des Wallons sur un État wallon indépendant. Dès lors, le réunionisme de Paul-Henry Gendebien est désormais la pointe avancée du mouvement wallon.

[modifier] Pas totalement faux.

Ce paragraphe n'est pas totalement faux. En effet, ces intellectuels sont bel et bien sympathisants du mouvement réunioniste, et ont approché le RWF, M. Perrin figurait sur les listes électorales pour les élections provinciales d'octobre 2006, M. Collignon a bien soutenu le mouvement RWF lors de ces mêmes élections. De plus, l'actualité de ces dernières semaines et le sentiment séparatiste faisant rage au Royaume de Belgique, l'idée d'une réunion de la Wallonie à la France fait son chemin, comme lu sur divers forums d'opinions sur internet.

En ce qui concerne les sources des chiffres, ceux-ci, pour les dernières élections, figurent en bas de page.

"Pas totalement" c'est très gentil. En réalité, François Perin a donné son accord parce que Gendebien lui avait promis que son raliement temporaire permettrair peut-être d'obtenir un siège par apparentement. En réalité, Perin ne scroit pas au succès du RWF en tant que parti présidé par Gendebien. Son analyse et sa position actuelle est clairement indiquée dans le livre de Jules Gheude, un de ses anciens collaborateurs,"La mal belge sous le scalpel de François Perin" aux éditins Mols.

Ni Robert Collignon, ni Eerdekens n'ont jamais soutenu le RWF, mais bien le rattchisme !