Discuter:Problème de la mesure quantique

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J'ai exposé une définition du "problème de la mesure" quantique : je pense que c'est elle qui est communément acceptée. Je reprends la discussion que j'avais entamée au café : je pense que l'expérience de Scully n'a qu'un rapport lointain avec le problème de la mesure, et sa description devrait disparaître de cet article (indépendammen t des problèmes de clarté et de formulation). Rogilbert : peux-tu argumenter et expliquer en quoi l'expérience de Scully illustre particulièrement le problème de la mesure ? L'expérience de Scully illustre plutôt des effets EPR qui sont des effets mettant en jeu des correllations entre particules différentes. Le problème de la mesure concerne des états superposés d'une même particule. Ce n'est pas la même chose.

Je vais continuer à étoffer cet article; j'ai déjà étoffé l'article Observable en prévision de celui-ci. Le problème est de ne pas redire tout ce qui a été dit dans l'article du "Chat", notamment à propos des "solutions". A priori, je resterais sur un exposé du problème en lui-même, et cf. le Chat pour les "solutions" (il faudrait aussi étoffer l'article sur la Décohérence) --Jean-Christophe BENOIST 15 août 2006 à 19:13 (CEST)

L'article est beaucoup mieux ainsi, c'est vrai.
En c e qui concern l'expérience de Scully, je trouve qu'elle illustre bien le problème car, si l'on retire les détecteurs, la figure d'interférence revient, et à mon avis, c'est assez parlant. En mesurant la particule passive, ceci à une incidance directe sur la particules siganl. et donc la figure disparait, en ce même si les détecteurs des particules passives se trouvent plus loin que le détecteurs. Le simple fait que nous connaissions les propriétés d'une particule passive à une incidence sur la particule signal, ce n'est pas une des façettes du problème de la mesure quantique ?
Mais bon, c'est vous qui voyez...
Amicalement, Rogilbert @@ @ @@
A propos, toute mes excuses pour ne pas avoir répondu, mais j'avais complètement oublié. Désolé
Tout dépend de la définition que l'on donne du "problème de la mesure". Je pense que le terme est "copyrighté" et correspond à la problématique initialement posée par Von Neumann et Schrödinger. Les effets EPR en général, et l'expérience de Scully en particulier, illustrent UN problème, mais pas LE problème de la mesure. Ces expériences illustrent la NON LOCALITE de la physique quantique, et les correllations à distance. Il se peut que la non-localité soit liée fondamentalement au "problème de la mesure (©)", mais c'est loin d'être évident. D'ailleurs, la plupart des solutions imaginées pour résoudre le "problème de la mesure (©)" ne visent pas à expliquer la non-localité. Il vaut mieux garder l'esprit clair et ne pas mélanger ces deux "mystères" de la physique quantique. Cordialement. --Jean-Christophe BENOIST 18 août 2006 à 22:50 (CEST)

[modifier] exemples historiques

Des exemples historiques on en a tous et on peut en faire ce qu'on veut, je viens de lire une page où on compare la prudence de copernic avec la prudence des tenants de l'école de Copenhague, pour ma part naivement je dirais exactement le contraire, que le système de copernic reste encore à trouver, et que la mécanique quantique ressemble aux épicycles, et fait d'excellent calculs dans un certain cadre, (bizarrement c'est aussi une question d'échelle). Peut-être que le "sens" et la "réalité" n'existent pas en science, mais la terre tourne autour du soleil, c'est un peu plus "vrai" que le contraire. j'en viens donc à l'article:

"Il suffit de penser à Galilée (Galileo Galilei), qui considérait à juste titre qu'il n'y a pas lieu de se demander, entre deux mobiles en translation uniforme l'un par rapport à l'autre, lequel est « réellement » au repos et lequel « réellement » immobile. A l'époque, les aristotéliciens lui reprochaient de ne pas vouloir répondre à une « vraie » question scientifique; mais Galilée s'en tenait à sa position, selon laquelle son principe de relativité enlève tout sens à la question du mouvement « réel »."

Et bien il me semble que le problème n'était pas si mal posé que ça, et qu'il n'est pas besoin de dire qu'il a été évincé, puisqu'en RR par exemple, on doit introduire un référentiel initial, n'ayant pas subit d'accélération, pour pouvoir définir des vitesses et éviter les paradoxes. Comme quoi il y a souvent un truc à définir, à créer, ou à préciser derrière une question, même "insensée", ne serait ce que pour dire en quoi elle est insensée, il faut un cadre,(ce cadre étant contraire à "l'intuition"). Enfin, c'est pour la ramener parceque c'est pas très important quand même.Klinfran (d) 24 février 2008 à 01:05 (CET)