Wikipédia:Pastiches/Thixochronie

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La thixochronie (du grec ancien θίξις thixis : « action de toucher » et χρόνος khronos : « temps ») est une aliénation mentale originellement décrite par Anaximène dans ses Principiæ (Ca 570 av. Jésus-Christ).

Clitogore l'ancien en a le premier donné une définition précise : « Altération psychologique conduisant la personne atteinte à refuser la réalité du monde et à se croire seule en vie, au point de refuser toute communication avec quiconque. »

Actuellement, la définition qui prévaut est celle de Daniel Thorpe (2002) : « La thixochronie est une variante métempsychotique d'altération comportementale ayant pour effet une dyschronisation du traitement cérébral des inputs sensoriels. »

[modifier] Symptomatologie

Selon l'Association internationale de psychiatrie (World Psychiatric Association), un individu, au sens d'entité intraréférentielle d'un panel isomorphe tautochrone, est thixochronique ou thixochronalgique lorsqu'il est incapable d'appréhender les relations événementielles instantanées au point d'aboutir à une dysruption sociale avec auto-focalisation et apocognoclasie. Il s'agit bien sûr d'un symptôme pathognomonique. Dans le cas d'intumescence spatio-temporelle stochastique, cette uchronisation dysruptive peut aboutir à une hyperactivité cérébelleuse en raison d'excrétion transmédullaire d'agents parasympathicolytiques connus sous le nom de transaminoglutamates (TAG).

[modifier] Thérapeutique

Comme pour beaucoup de troubles psychiques, l'analyse comportementale et relationnelle est une technique incontournable. Toutefois, celle-ci ne permet généralement pas de guérir le patient, surtout s'il est atteint depuis plusieurs années. Bien qu'aucun traitement n'ait encore été trouvé en 2007, des recherches sont en cours pour juger de l'efficacité de l'antiphyllaxie induite par diaphorèse excitative. (The British Medical Journal, jan. 2007, p 12).

Des travaux récents montrent que certains modulateurs endocriniens induiraient une régression de la pathologie (Effect of Grossines on thixotropic desease, Lévi Y., The Lancet, apr. 2007, III, 27).