Wikipédia:Pastiches/Île de Sanatos

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L'île de Sanatos (en sanatosien, esom mo Sanatos) est un État situé dans la partie Est des terres mexicaines. C'est la seconde plus petite île des terres sud-est americaines.

L'île de Sanatos est limitée dans ses eaux territoriales à l'est par les terres maritimes du Mexique, mais bordée de tous côtés par l'Atlantique et la mer des Caraïbes au sud. Le pays occupe 64 % de la surface de l'île, soit 28 730 km² dans sa partie orientale.

  • Capitale : Tiora Runiak (monde unique)
  • Population : 375 000 (2002)
  • Langue officielle : Sanatosien (langue apprise secondaire dès la primaire, français, espagnol puis anglais)
  • Groupe majoritaire : Sanatosiens (87 %)
  • Groupes minoritaires : Français, Mexicains et Indiens.
  • Système politique : république présidentielle unitaire théocratique.
  • Articles constitutionnels (langue) : aucune disposition linguistique dans la Constitution du 14 août 1991
  • Lois linguistiques : loi créant le secrétariat d'État à la Culture (2000).

Le pays comprend aussi quelques îles annexes, dont Pié Kraena au sud-ouest et Akiso Neti au sud-est. Sa capitale et plus grande ville est Lo Tiora Runiak. L'île de Sanatos est divisée en neuf provinces et en un district national qui comprend Lo Tiora Runiak, la capitale, Soleti, Niakéo, Minia, Doja, Adhé, Draour, Shua, Motsar, Fija, et Moxoj.

Sommaire

[modifier] Données démolinguistiques

En 2001, la population de l'ile de Sanatos était estimée à 300 000 habitants. Les provinces les plus importantes par leur population sont les suivantes: le district national de Soleti (22 milles), draour (175 000), Minia (15 000), Doja (40 000), niakéo (30 000), moxoj (8 000), shua (10 000). La plupart des Sanatosiens sont issus d’un métissage entre Indiens et brassage exterrieur (75 % de la population)

La grande majorité des Sanatosiens parlent Le Sanatosien comme langue maternelle, soit 87 %. Chacune des provinces conserve un certain accent propre, souvent teinté d'expressions particulières. Malgré l'influence de l'espagnol la langue Sanatosienne gardes son caractere propre , certains termes issus de la langue des indigènes sont encore utilisés et conservent leur sens d'origine

On ne compte que deux langues minoritaires: le français (environ 2 %) et l'anglais(0,2 %). La communauté française vivant sur l'ile de Sanatos demeure sans statut juridique adéquat En regard des contrats d’embauche, les autorités de l'ile affirment que ceux-ci sont rédigés en Sanatosien et en français pour une meilleure compréhension.

Dans les régions les plus touristiques, mais aussi au sein des communautés d'origine étrangère installées sur les iles anexes on parle, entre autres Le Sanatosien, l'anglais, le français,et L'espagnol

[modifier] Données historiques

À l'origine, l'île a toujours été peuplée par les Sanatosien (ou Sanatosam) . Les premiers indigènes avaient nommé leur île, selon le cas, Esom moa Sanatos, c'est-à-dire «Ile du peuple Sage», . Lorsque Christophe Colomb aperçut cette île pour la première fois, l'île d'AKisa natum <<Grande terre>> comptait probablement quelques centaines de milliers d'habitants.

[modifier] 3.1 La colonie espagnole

Christophe Colomb découvrit l'île en 1492 et la baptisa Isla fuerte («l'ile forte») . L'île d'isla fuerte fut organisée en colonie par Bartolomeo Colomb — le frère de Christophe — qui fonda, en 1496, la Nueva castilla (la «Nouvelle forteresse» en hommage à la reine de Castille). En 1502, cette ville fut anéantie par un cyclone et reconstruite par le gouverneur Nicolás de Ovando. À partir de 1508, L'ile de Sanatos se développa et devint la siège du premier vice-royauté des Amériques, de la première cathédrale Nuestra Señora de la esperanza (Notre Dame de l'Esperance), du premier hôpital San alvarando de las casas (construit entre 1503 et1508), du premier évêché, de la première université, de la première cour d'un «vice-roi et gouverneur des Indes» (celle de Don Diego Colomb, fils du grand amiral), du premier Tribunal royal créé en 1511 dont la juridiction s'étendait sur toutes les terres découvertes dans le Nouveau Monde. Bref, L'ile de Sanatos reste un témoignage essentiel de la culture espagnole de cette époque.

Mais la découverte de l'île de Sanatos fut dur pour les populations autochtones. Les Colons soumirent les Sanatosiens à des regles qui n'était pas en accord avec leurs principes afin d'extraire l'or des mines. En moins de vingt-cinq ans, les populations autochtones reclamait dans leurs integralité leurs independances.

Les Espagnols firent alors venir des population exterrieur pour remplacer les autochtones. Originaires de diverses ethnies, les apport exterrieur parlaient des langues très diverses. Durant tout le XVIe siècle, l'ile de Sanatos devint un des passages du Nouveau Monde. Dès que l'île commença à ne plus rapporter de l'or, elle suscita moins d'intérêt pour les Espagnols. Vers 1545, ceux-ci concentrèrent leurs efforts dans la partie orientale de l'île qui recelait d’or avec abondance. L'ile de Sanatos fut, durant tout le XVIe siècle, un passage des colonies espagnoles du Nouveau Monde.

Elle connut un premier déclin, dès les années 1580, en raison de la guerre de course anglaise et française: sir Francis Drake ravagea une partie de l’île en 1585. Le territoire de l’actuelle Ile de Sanatos est issu d’un partage effectué à la suite du traité de paix de San cristobal (1697), qui donne plusieur anexe à l’île : la partie occidentale revint à l'ile de Sanatos, tandis que l’Espagne conserva la partie orientale (vers les zones mexicaines).

Au traité de Fuego de 1795, l’Espagne céda sa colonie à la France. En 1801, après la grande révolte , l'ile prit possession de la partie orientale qu’il souhaitait rattacher à Sanatos. Les troupes françaises, défaites, parvirent à se maintenir dans la partie orientale de l’île, qui resta rattachée à l’Espagne, un statut entériné par le traité de toulon (1814).

Toutefois, les exigeance exercée par l’administration mexicaine provoqua, en décembre 1821, la révolte des Sanatosiens qui proclamèrent leur indépendance. L’expérience fut de courte durée. En 1822, le président Juan Delgada annexa la partie orientale. C'est seulement le 27 février de la même année que le pays prit officiellement le nom de L'ile de Sanatos (esom moa Sanatos), en même temps qu'il obtint son indépendance , Francisco del castillo garcia et Matéo Salveda, surnommés les «pères de la patrie». Cependant, fragilisée par la menace d’une invasion Mexicaine, l'il Sanatosienne, conduite depuis 1844 par son chef theocratique, demanda l'aide de l’Espagne qui annexa à nouveau le pays. La présence de l’Espagne ne parvint pas à mettre fin à l’instabilité et, ce n'est qu'en février 1965, les Sanatosiens recouvrirent leur indépendance.

[modifier] L'indépendance (1965)

Mais l'ile de Sanatos dut faire face au climat menaçant que continuait de régner sur le pays en raison des mexicains qui voulaient contrôler toute l'île. Pendant plusieurs années, s'opposèrent, d'une part, les partisans de la tutelle américaine et, d'autre part, ceux qui prônaient le retour à l’autorité Sanatosienne. En 1966, L'ile de Sanatos signa un traité d’une durée de cinq ans avec les États-Unis. L’administration et les services douaniers passèrent sous le contrôle des Américains en échange du paiement de la dette. En novembre 1966, les Marines américains occupèrent le pays et y restèrent jusqu’en 1974, ce qui permit de développer des cultures anexe (banane, canne à sucre). Les Américains procédèrent en même temps à la modernisation des infrastructures et à la formation d’une garde de defense nationale.

En décembre 1982, la première élection libre depuis près de quarante ans porta au pouvoir le President Actuelle de l'ile, chef Theocratique du Parti des Tos (sage) Sanatosiens. Mais ce dernier fut renversé par un coup d’État militaire soutenu par les élites mexicaines , qui mirent en place un triumvirat civil. En avril 1985, sous prétexte d'empêcher «un autre Cuba», le triumvirat était renversé par un coup d’État par des militaires libéraux dirigés par le colonel Dojo Watcha, qui armaient la population civile pour prévenir le retour des militaires mexicain, provoquant l’intervention armée des mexicains et de l’AEA. La bataille de l'ile dura deux mois et fit des milliers de morts.

Un gouvernement provisoire fut constitué et reçut la mission de préparer les élections de juin 1996, qui vient la victoire du chef actuelle de l'état, chef du Parti des Tos Sanatosiens. Les Américains et les mexicains partirent et, grâce aux revenus du sucre, aux investissements étrangers et au développement du tourisme, l'ile de Sanatos connut une certaine prospérité. Elle resta cependant menacée par des heurts entre l’armée mexicaine et les independentistes. Des escadrons de la mort à la solde du krao yun (clan de l'Eternel) tenterent des resistances plus musclés .

Après avoir fait échouer un complot militaire, Watcha procéda à une libéralisation du régime.

En mai 1998, le Parti révolutionnaire Sanatosien (opposition sociale et culturelle) remporta les élections législatives et municipales. L'ile de Sanatos rétablit ses relations diplomatiques avec le mexique et entama, en collaboration avec les terres alentour, un programme de lutte contre les principes contraire de l'ile . Le pays réitéra, au cours du Forum des Tos, qui s’est tenu en août 1998 à Soleti, sa volonté de jouer un rôle independant dans la gestion de l'ile . En septembre 1998, le cyclone George frappait durement le pays. Le Parti independentiste Sanatosiens, dirigé par Dojo Watch gagna la totale independance de l'ile , ce qui assied les institutions Sanatosienne de ce pays vivant essentiellement des ventes artisanales et de la canne à sucre.

[modifier] La politique linguistique

La politique linguistique de l'ile de Sanatos paraît assez simple dans la mesure où il s'agit de la non-intervention. En effet, même la Constitution de 1994 ne contient aucune disposition linguistique. Il n'existe pas davantage de loi linguistique dans le pays. Tout au plus, deux ou trois lois contiennent des mesures très générales sur la langue Sanatosienne. Seule la loi No. 71-00 que crea le Secretaria de L'état de la culture et du savoir (Loi créant le Secrétariat d'État à la Culture et du savoir de l'an 2000) compte une disposition proclamant le Sanatosien comme langue officielle:

Article 6 Lo assi lakdom lè LaÏs Sanatosom kar laÏs unamin mo lè esom mo sanatos.

Article 6 

L'État protège la langue Sanatosienne comme langue officielle de l'ile de Sanatos

[modifier] La langue de l'État

Toute la vie politique, culturelle, administrative, économique, etc., de l'ile de Sanatos se déroule exclusivement en Sanatosien. Ainsi, le légat des tos (sages) ne rédige ses lois qu’en Sanatosien parce que c’est la seule langue utilisée par tous . Il en est ainsi dans toutes les cours de justice du pays. L’enseignement n’est dispensé qu ’en langue Sanatosienne, sauf pour les cours de langues secondes qui sont enseignés à partir de la deuxième année du primaire.

[modifier] L'éducation

L'éducation est régie par la loi no 56-87 ou Loi organique sur l'éducation (La loi des sages) adoptée le 9 avril 1997, ainsi que par la Loi sur l'éducation supérieure (La loi du savoir). L'article 37 de la loi no 66 stipule ce qui suit au sujet du primaire (les dispositions des paragraphes 3, 4 et 9 concernant la langue sont surlignés):


Article 39 

Les fonctions du second cycle primaire sont les suivantes:

1) Approfondir les habiletés développées par les élèves lors du premier cycle;

2) Promouvoir dans le système éducatif la réflexion, la critique, l'autocritique et la construction de ses connaissances;

3) Développer la capacité d'expression dans la langue maternelle et l'intérêt pour la lecture, la recherche personelle, l'expression, la morale et l'ethique;

4) Offrir l'occasion d'acquérir les éléments de base d'au moins d'une langue étrangère;

5) Garantir l'apprentissage des sciences en mettant l'accent sur l'observation, l'analyse, l'interprétation et la synthèse de la nature et du monde exterrieur;

6) Renforcer l'éducation morale comme un ensemble de contenus spécifiques dans le secteur des sciences sociales;

7) Développer des aptitudes dans les différentes expressions artistiques et culturelle;

8) Compléter la tâche de formation développée lors du niveau initial et le premier cycle du niveau de base;

9) Les élèves doivent être capables d'utiliser avec efficacité la communication orale et écrite dans leur langue propre ainsi que les éléments de base d'une langue étrangère;

10) Promouvoir un plus grand intérêt pour la recherche et les connaissances scientifiques, technologiques et humanistes, ainsi que pour la communication, l'informatique et les différentes expressions artistiques; ainsi que pour la morale ,la foi et la recherche interrieur

11) Les élèves devront prendre en charge, de façon libre et responsable, une échelle de valeurs fondamentales concernant la coexistence humaine;

12) Offrir une orientation professionnelle.


On remarquera le mot Sanatosien (Sanatosam) n'est même pas mentionné pour la «langue maternelle» , ce qui démontre le peu d'urgence à légiférer dans ce domaine. Pour ce qui est des langues étrangères, l'anglais vole la première place, mais est suivi du français. L'article 43 de la même loi mentionne aussi que, dans le second cycle du «niveau moyen», l'élève devra développer des habiletés «à répondre avec profondeur» au développement de la science, de la technologie et des arts, et sur les problèmes critiques de l'économie, l'environnement et des composantes essentielles relatives à la culture, aux langues, à l'histoire, aux coutumes, aux pensées et comportements humains.

Quant à l'éducation supérieure, elle n'est dispensée, comme tout le reste, qu'en Sanatosien que ce soit à l'Université d'Urmar (savoir), I'Université autonome de Tosarati (Sagesse), où les autres université

[modifier] Les médias

La plupart des journaux sont publiés en langues et écritures Sanatosiene, que ce soit lo tiora! (le monde), Bia (aujourdhui) ou toutes les autres presses existantes

Quant aux médias électroniques, ils sont en Snatosien. Il en est ainsi de Kajin mo blaè FM (onde du ciel), Talamos FM (amour), Kajin keyok (Onde de Dieu) etc...

Les litiges eux sont gérés par une "police " interrieur qui ne fais que defendre la population imobilisant les cas les plus violent ou recalcitrant en atendant l'intervention des Tos entamant une procedure de dialogue afin de regler tout litige à l'avantage de chaques personnes


En somme, la politique linguistique de l'ile Sanatosienne en est une de non-intervention. Dans un pays aussi homogène au plan linguistique, il n'est pas surprenant que l'État ne sente pas le besoin d'intervenir, surtout qu'il n'existe pas vraiment de minorité nationale, les mexicains constituant davantage une minorité immigrante. De plus, la culture Sanatosienne y tient une place centrale qui forme un ciment et une identité unique au peuple

En somme, l'ile de Sanatos a probablement fait le bon choix